Stupidité

idiot ! Quel ingrat ! Quel manipulateur ! Quel arrogant ! Je le hais ! Je le hais, quel moment horrible, je suis humilié ! Mais, j'ai peur, très peur, il me fait peur, cet assassin... Ce n'est pas possible ! Son plan ? Génial ? Son plan n'est que stupidité, est-il aveuglé par la haine ? Est-il devenu fou ? oui, c'est cela. Il n'épouse en aucun cas mon point de vue, je n'ai jamais demandé à tenir le Trésor Public de cette façon, cette façon si cruelle et si méchante. C'est inimaginable, que lui prend-il

pour marquer l’importance de bien utilisé le temps et de réaliser la facilité de la fuite du temps. Ce poème didactique est écrit en forme de fable qui utilise la coccinelle pour emporter la morale du temps précieux. Le poète met on évidence la stupidité de l’homme à la dernière vers en disant « Mais la bêtise est à l’homme. ». Cela démontre comment l’homme est farouche et ne prend pas en considération l’importance de prendre l’avantage d’un temps donné. Le poète emploi des verbes à la première

dans les scènes d'hiver qui sont très réalistes. Vous trouverez plus d'information sur l'équipe au chapitre "Personnels du site". J'espère que ce document ne sera pas interprété comme une glorification de la guerre mais bien comme une preuve de la stupidité et la folie qui s'empare parfois de la race humaine, celle qui est supposée posséder l'intelligence et la sagesse. Encore aujourd'hui, les guerres persistent et les hommes n'ont rien appris du passé. Puissiez-vous, dirigeants de ce monde, acquérir

la justice qui condamne zadig seulement sur les dires des serviteurs du roi, de plus il est jugé, fouetté et exilé avant de pouvoir s'expliquer => ça va avec la justice nn ? Critique des coutumes et des superstitions : Il cherche à montrer la stupidité de la coutume, insister sur sa cruauté, chercher et détruire les causes du respect de la coutume, faire agir des arguments humains. Et ça avec religion non ? texte intéressant ;

très amoureux de Belle : quand il reprend son visage humain et apprend que sa mère refuse de le laisser marier Belle, il souhaite même redevenir un monstre pour la garder comme épouse (p.95) Beauté, bonté : humilité, splendeur physique Laideur : Stupidité, simplicité d’esprit, manque d’éloquence Beaumont (1756-8?) Belle : Elle n’est pas décrite physiquement mais on sait qu’elle est très jolie On apprend qu’elle est honnête, bonne, empathique Elle est réellement fille de marchand et n’a pas

longue date me barra la route. Dieu, se sont ils faits passer le mot de m'interrompre tous les 10 pieds ? Elle me reprocha de partir sans avoir dansé avec elle. Je lui expliquai la cause de ma fuite, a quel point j'étais honteux d'avoir dit une stupidité devant la belle Chloé et comment, par ceci, j'avais réduis mes chances de l'approcher de nouveau. J'allais reprendre mon évasion quand elle me dit quelle l'a connaissait. Le rouge me monta aux joues quand elle me charia sur sa beauté. Son regard

les belles ont droit » « ne doit point dérober aux autres les justes prétentions » « j’ai beau être engagé … à faire injustice aux autres». Sa démonstration est fondée sur un paradoxe : il fait de la fidélité –une vertu communément admise !– une stupidité contraire à la loi de la nature ; ce droit vient de la nature : « La nature nous oblige ».  Ce qui est considéré par tous comme vice devient dans sa bouche vertu ! Ce 1° argument finit avec la locution concessive « Quoi qu’il en soit », de toute

tuer le roi Venceslas, le Père Ubu « […] fai[t] périr tous les nobles et pren[d] leurs biens. »[1], et ce dans l’unique but d’avoir plus de richesses. Le Père Ubu pose des gestes en omettant de réfléchir à leurs conséquences. Il est d’une telle stupidité qu’il fait massacrer tous les magistrats et les financiers de son nouveau royaume, si bien que le pays se retrouve dans une situation déplorable que même la Mère Ubu décrie : « Plus de justice, plus de finances. »[2] Le Père Ubu court ainsi à sa

débuté comme ça. Moi, j'avais jamais rien dit. Rien. C'est Arthur Ganate qui m'a fait parler. ». Il ne décide donc pas de s'engager dans l'armée, de faire preuve de patriotisme, d'héroïsme ; il se voit contraint de prendre part. Dégouté par la stupidité, la vanité, l'inutilité et la cruauté de la guerre, il va tout mettre en œuvre pour quitter le front et n'y plus revenir. C'est à partir de ce moment qu'il commence à prôner la lâcheté comme moyen de survie. En effet, tout au long de son périple

mots qui sont criés au lieu de parler montrent la violence du personnage et de ses idées.   Charlie Chaplin a écrit ce discours dans une langue qui ressemble fortement à l'Allemand. Il montre que les propos qu'Hitler tenait était d'une grande stupidité. L'emploi du traducteur nous fait remarquer très vite qu'Hynkel répète beaucoup. Le manque de charisme se fait remarquer aussi. Pour continuer Charlie Chaplin nous montre un personnage qui sait se mettre en valeur: il est placé sur une estrade