Sublimer Sa Souffrance Corrigé

CORRIGE TYPE Matière : Devoir n° : FR10 03 Epreuve de recette du : 29/07/14 statut: 81 7FR10CTPA0314 Objet d’étude : Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours Question (4 points) Que peut-on dire dans ces trois extraits de la relation entre maîtres et valets ? Vous répondrez à cette question en étant attentif à l’évolution de cette relation dans la comédie, de l’Antiquité au XXe siècle. Conseils de méthode pour la question - Lisez attentivement la question (en relevant

œuvre complète : Sartre, Huis clos (1944) Études d'ensemble : seul, à deux, à trois : des combinaisons qui modifient nos comportements / caractérisation des trois types humains représentés : des personnages caricaturaux ? / Ridendo castigare mores (corriger par le rire les comportements) : une pièce cathartique ? Florilège de citations. Prolongements éventuels : sortie au Musée d’Art Moderne de Strasbourg. Un extrait projeté et commenté en classe du film d’Agnès Jaoui, Le goût des autres (2000)

gars se feront un peu plaisir avant de mourir. Sa majesté présidentielle prend donc la parole, fière de son importance nouvelle et de marquer l’Histoire (avec une grande "H", vous savez désormais pourquoi) par sa sincérité politique, sublime innovation émanant de sa sublime personne. Le Président russe, comme je le disais, prend donc la parole et dit : « Grand peuple russe, dans maintenant neuf jours, Dieu va déclencher le déluge. Vous allez tous périr noyés. La pire des morts ! En attendant cette issue

dogmes et religions ) Bien que per�u comme un h�r�tique par les protestants et les catholiques, Rousseau se dit cependant chr�tien, et disciple de J�sus, tout en se livrant au libre examen des dogmes. Citations utiles : "L'Evangile est le plus sublime de tous les livres, mais c'est un livre. Dieu n'a pas �crit sa loi sur les feuillets d'un livre, mais dans le coeur des hommes." / "Moins un culte est raisonnable, plus on cherche � l'�tablir par la force." / Les protestants

à nos intérêts : elle est à la fois intéressée et intéressante. La belle œuvre d’art est celle qui stimule la volonté et la vie. On retrouve ici le critère de la vie que Nietzsche utilise pour juger toute chose. Sera donc beau l’art qui stimule, sublime, embellit et divinise la vie. On peut retenir de Kant l’idée que le jugement esthétique ne tient pas compte de l’existence de la chose, qu’il la juge simplement en tant que représe ntation. Mais il faut, visiblement, renoncer à l’idée que la beauté

conceptuelle, c'est toujours à chaque fois le sujet qui doit payer de sa personne pour l'accomplir : c'est le cas dans la tragédie, plus encore dans le grand style dont nous reparlerons. L'art est donc plus sérieux que la pensée, il met à l'épreuve de la souffrance son sujet, il est ce grand jeu sérieux qui ébranle le sujet dans la totalité de son existence tandis que la conceptualité ne joue qu'en superficie. La dualité reste entière, chacun se doit de l'affronter en personne ; c'est pour cela que pour Nietzsche

homme social, poli et mesuré, est porteur des valeurs du classicisme. La visée de l’écrivain est souvent morale. Il faut plaire et instruire (« placere et docere »). Ainsi la tragédie se doit de purifier (catharsis) les passions ; la comédie corrige le vice des hommes ; les fables délivrent une leçon. Les moralistes, par leurs portraits (La Bruyère, Les Caractères, 1687) et leurs maximes (La Rochefoucauld, Maximes, 1664) participent du même principe. Le roman est concentré et court (Madame de

lui en laisse pas étudier une seule jusqu’à ce que vous m’ayez prouvé qu’il est bon pour lui d’apprendre des choses dont il ne comprendra pas le quart ; que, dans celles qu’il pourra comprendre, il ne prendra jamais le change, et qu’au lieu de se corriger sur la dupe, il ne se formera pas sur le fripon. -6- 1ère Français (2ème partie) Sujet 112 Aide méthodologique ____________________________________________ Les pièges et les erreurs à éviter • Questions Question 1. Ne pas tenir

qui ne soit l'acte de quelque figure remarquable, construite de timbre, de durée et d'intensité‚." Musset : à... mon ami Edouard B... (1832) (Edouard Bocher) "Ah ! Frappe-toi le coeur, c'est là qu'est le génie. C'est là qu'est la pitié, la souffrance et l'amour..." Musset : Nuit de mai (1835) "Les plus désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots." Voltaire : Lettre à un avocat (1735) "Je n'estime la poésie qu'autant qu'elle est l'ornement

promeneur solitaire (1782) Chateaubriand : voir, par exemple, le lyrisme dans Atala (1801) et René (1802), la nostalgie des paysages américains dans les Mémoires d’outre-tombe (1848). Les thèmes récurrents : la mélancolie, le moi en souffrance (expression des sentiments personnels →  lyrisme, élégie), l’histoire, la nostalgie, le goût pour la solitude, les passions, la nature, les ruines, la spiritualité, le désir de fuite, etc. L’adjectif