Sueur

fait quelques pas vers la source. L'Arabe n'a pas bougé. Malgré tout, il était encore assez loin. Peut-être à cause des ombres sur son visage, il avait l'air de rire. J'ai attendu. La brûlure du soleil gagnait mes joues et j'ai senti des gouttes de sueur s'amasser dans mes sourcils. C'était le même soleil que le jour où j'avais enterré maman et, comme alors, le front surtout me faisait mal et toutes ses veines battaient ensemble sous la peau. À cause de cette brûlure que je ne pouvais plus supporter

« giclé », « jaillit ». Cette souffrance devient une véritable torture : « rongeait », « fouillait ». De plus, il y a la souffrance que produit la sueur : elle est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une métaphore « ce rideau de larme et de sel ». « J'ai secoué la sueur et le soleil » => allitération en [s] ; ou harmonie imitative -> Bourdonnement qui traverse les oreilles de Meursault en pleine confusion. =>

giclé », « jaillit ». Cette souffrance devient une véritable torture : « rongeait », « fouillait ». De plus, il y a la souffrance que produit la sueur : elle est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une métaphore « ce rideau de larme et de sel ». « J'ai secoué la sueur et le soleil » => Allitération en [s] ; ou harmonie imitative -> Bourdonnement qui traverse les oreilles de Meursault en pleine confusion. =>

d'action « giclé », « jaillit » = idée d'une agression, caractère agressif de la lumière. #souffrance → torture = « rongeait », « fouillait » #sueur : « la sueur amassée dans mes sourcils »(15), « J'ai secoué la sueur »(23) + métaphore « ce rideau de larme et de sel »(17). = source de souffrance, de gène #Allitération en [s] : « J'ai secoué la sueur et le soleil » : Bourdonnement, Meursault en pleine confusion. 1-MECANISME TRAGIQUE #engrenage tragique en 5 étapes : 1-l'erreur : le pas, 2-

que c’était stupide, que je ne me débarrasserais pas du soleil en me déplaçant d’un pas. (l.7)/ l’Arabe a tiré son couteau qu’il m’a présenté dans le soleil. (l.7)/ Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front (l.10) / J’ai secoué la sueur et le soleil. Interprétation : On pourrait presque affirmer que le soleil est le troisième personnage de l’extrait : il le domine de toute sa présence comme en témoigne l’emploi du mot « soleil » répété sept fois.  L 'arabe, étant un des deux

de la sueur des hommes », la sueur fait donc un rappel à la douleur, à l’effort, de plus la sueur peut rappeler aussi les larmes et donc la souffrance. Antithèse avec « esclavage et misère » et « germer et croître avec les moissons », donc rapprochement entre des termes négatifs et des termes presque mélioratifs. Il y a donc une association entre des termes concrets et d’autres abstraits. De plus, il y a une métaphore avec « qu’il fallut arroser de la sueur des hommes » et de plus « sueur » et « riantes »

première phrase, est sans nul doute le troisième acteur de cette scène de meurtre. On rencontre le mot « soleil » cinq fois dans ce court passage, et il est également présent à travers ses deux manifestations principales : la chaleur (« brûlure », « sueur », « brûlante ») et la lumière (« lumière », « étincelante », « éclatant »). C’est lui qui semble déclencher tous les événements. En effet, c’est « à cause de cette brûlure » (celle du soleil) que Meursault fait « un mouvement en avant », ce qui

« giclé », « jaillit ». Cette souffrance devient une véritable torture : « rongeait », « fouillait ». De plus, il y a la souffrance que produit la sueur : elle est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une  métaphore« ce rideau de larme et de sel ». « J'ai secoué la sueur et le soleil » => Allitération en [s] ; ou harmonie imitative -> Bourdonnement qui traverse les oreilles de Meursault en pleine confusion. => Le

à l’extérieur du corps a) Comment notre peau contribue-t-elle à l’excrétion des déchets de l’organisme? En excrétant la sueur b) Décris la composition de la sueur La sueur est constituée d’eau dans laquelle sont dissous des sels minéraux, de l’urée, de l’ammoniac, de l’acide lactique et un peu de CO2. Quel est le nom de la structure de la peau qui permet l’excrétion de la sueur Les glandes sudoripares Marie observe que la température du thermomètre s’abaisse lorsque l’eau à sa surface s’évapore à

d'un trouble physique -Champ lexical du corps :« front, dos, reins, aisselles » -Champ lexical de la maladie et su stress : «  sueur , respirant avec peine , » -accumulation «  la sueur ….aisselles » → accentue le trouble qu'elle ressent physiquement. -c'est aussi une gradation car au début la sueur coule puis elle la mouille pour enfin la piquer , peu a peu la sueur devient donc gênante jusqu'à lui faire mal. B) Une peur présente -l'adverbe « peu » pour « un peu peur » qui passe à l'adverbe