Sueur

A. INTRODUCTION 1. définition Un produit nettoyant est une préparation cosmétique destinée à éliminer les impuretés, poussières, cellules mortes, sueur, sébum, éventuellement traces de maquillage. Ils peuvent prévenir des infections et parfois supprimer les odeurs désagréables. Ils doivent respecter l’équilibre de la peau : le pH, la flore cutanée, le film-hydrolipidique. 2. généralités 2.1 Leur formulation comporte toujours, des tensio-actifs, caractérisés par leurs détergence. 2.2 Classés

giclé », « jaillit ». Cette souffrance devient une véritable torture : « rongeait », « fouillait ». De plus, il y a la souffrance que produit la sueur : elle est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une métaphore « ce rideau de larme et de sel ». « J'ai secoué la sueur et le soleil » => Allitération en [s] ; ou harmonie imitative -> Bourdonnement qui traverse les oreilles de Meursault en pleine confusion. =>

première phrase, est sans nul doute le troisième acteur de cette scène de meurtre. On rencontre le mot « soleil » cinq fois dans ce court passage, et il est également présent à travers ses deux manifestations principales : la chaleur (« brûlure », « sueur », « brûlante ») et la lumière (« lumière », « étincelante », « éclatant »). C’est lui qui semble déclencher tous les événements. En effet, c’est « à cause de cette brûlure » que Meursault fait « un mouvement en avant », ce qui en retour provoquera

devant une occlusion intestinale. Le test à la sueur est l'examen de laboratoire qui fait le diagnostic de la maladie. Les glandes sudoripares* sont aussi touchées par la mucoviscidose et la sueur de ces malades est riche en chlore. Ce test consiste à doser le chlore dans la sueur : il faut dans un premier temps stimuler la sudation*, puis recueillir la sueur et enfin doser le chlore. Il est difficile à réaliser chez le nouveau-né dont la sueur est difficile à prélever. VI Lexique Exocrines* :

giclé », « jaillit ». Cette souffrance devient une véritable torture : « rongeait », « fouillait ». De plus, il y a la souffrance que produit la sueur : elle est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une métaphore « ce rideau de larme et de sel ». « J'ai secoué la sueur et le soleil » => Allitération en [s] ; ou harmonie imitative -> Bourdonnement qui traverse les oreilles de Meursault en pleine confusion. => Le

La sueur → Nom : référence à la chaleur du soleil. Amassée → Adjectif qualificatif de la sueur : Montre l'importante qualité de sueur donc traduit une chaleur lourde, étouffante Mes sourcils → Déterminant possessif / Les paupières → Déterminant indéfini : Meursault est extérieur à lui-même. A coulé → Verbe au passé composé au mode du passif : Meursault subit l'action, c'est la sueur le sujet. D'un coup → CCT : reprise de l'insistance sur le moment présent Les a recouvertes → le sueur est le

« giclé », « jaillit ». Cette souffrance devient une véritable torture : « rongeait », « fouillait ». De plus, il y a la souffrance que produit la sueur : elle est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une métaphore « ce rideau de larme et de sel ». « J'ai secoué la sueur et le soleil » => Allitération en [s] ; ou harmonie imitative -> Bourdonnement qui traverse les oreilles de Meursault en pleine confusion. =>

giclé », « jaillit ». Cette souffrance devient une véritable torture : « rongeait », « fouillait ». De plus, il y a la souffrance que produit la sueur : elle est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une métaphore « ce rideau de larme et de sel ». « J'ai secoué la sueur et le soleil » => Allitération en [s] ; ou harmonie imitative -> Bourdonnement qui traverse les oreilles de Meursault en pleine confusion. => Le

« mes yeux douloureux » (l-20). En plus de cela la souffrance et l’angoisse provoque la sueur chez Meursault comme les expressions le montrent : «  La sueur amassée dans mes sourcils » (l-12-13) ou bien encore «  J’ai secoué la sueur » (l-27) mais en utilisant aussi une métaphore « ce rideau de larmes et de sel » (l-15-16). A la ligne 27 il y’a une allitération en [s] dans la phrase « J’ai secoué la sueur et le soleil », d’une manière générale ici l’allitération est une harmonie imitative qui

« giclé », « jaillit ». -Cette souffrance devient une véritable torture : « rongeait », « fouillait ». -De plus, il y a la souffrance que produit la sueur : elle est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une métaphore « ce rideau de larme et de sel ». « J'ai secoué la sueur et le soleil » => Allitération en [s] ; ou harmonie imitative -> Bourdonnement qui traverse les oreilles de Meursault en pleine confusion. => Le