Suffit Il De Bien Penser Pour Bien Agir

destructeur : A. Les choses disparaissent avec le temps Le temps se définit assez mal comme un "milieu indéfini où paraissent se dérouler irréversiblement les existences dans leur changement" (définition du Robert.). À vrai dire, on ne sait pas bien pourquoi, ni comment, mais le fait est que les choses changent, ou plutôt qu’elles n’existent plus, puisque tout ce qui est présent s’évanouit dans le passé. Et encore, on dit que les choses "passent", comme si elles ne faisaient que se déplacer dans

libertés ( cours sur la politique ) tandis que le second problème renvoie à celui de son existence . La liberté existe –t-elle  ou n’est-elle qu’une croyance illusoire ? Ces deux pbs ne sont pas dans la réalité totalement indépendants ( la liberté de penser qui est une liberté intérieure n’est indépendante que jusqu’à un certain point de la liberté d’expression qui est une liberté extérieure ) mais on peut les distinguer pour les appréhender séparément . 1 Nature ou essence de la liberté :

INTRODUCTION : Comment devons-nous nous conduire/comporter face aux vices, à la méchanceté des Hommes ? Comment agir ? Tel est le problème qu'aborde Marc Aurèle dans cet extrait de Pensées pour moi-même , dont la forme est celle d'une courte réflexion portant sur notre devoir et notre conduite envers les autres. Selon lui, nous ne pouvons et ne devons pas chercher à lutter contre le comportement incorrect des Hommes mais plutôt essayer de comprendre pourquoi ils agissent de la sorte. Marc Aurèle

nous-même c’est que nous somme libres- la morale c’est se penser libre ; la conscience de soi est première ; on ne peut rien apprendre sur le monde si on ne s’apprend pas soi-même- exemples : * rêve / éveil : 0 cohérence, 0 logique, on est « spectateur » ; on n’arrive plus à s’orienter dans l’espace et dans le temps * perception : il n’y a jamais 2 choses / expériences pareilles ; la conscience unifie la réalité- être objectif c’est penser qu’il y a des objets dans le monde, c’est être capable de

capacité de pensée, en revanche l'âme est une substance spirituelle et c'est en elle que réside la conscience ainsi que d'autre faculté comme la raison, la volonté, la mémoire ou encore l'imagination. S'il n'y avait pas de conscience on ne pourrait pas penser. Pour DESCARTES, le corps est pure matière, destiné a mourir alors que l'âme, est immortelle. La conscience est le corps la pensée contemporaine va plus loin que Descartes, elle ne sépare plus la conscience du corps, l'esprit de la matière

l'avenir si nombreuses que les invitations pour changer nos modes de faire, d'agir, de penser et de vivre surgissent de partout. D'où les malaises ressentis par un peu tout le monde : communautés scientifique et politique, éducateurs et éducatrices, parents, citoyens et citoyennes. Quoi faire ? Pourquoi choisir ? Comment choisir? Existe-t-il encore des frontières entre le bien et le mal, entre le permis et le défendu, ou bien les valeurs sont-elles toutes relatives ? Si quelque chose est possible par la

introduction. - « la conscience. Perception, connaissance plus ou moins claire que chacun peut avoir du monde extérieur ou de soi-même; sentiment intérieur qui pousse à porter un jugement de valeur sur ses propres actes, elle nous permet de différencier le bien du mal (en référence à la Génèse de la Bible). « Le pire état de l'homme, c'est quand il perd la connaissance et gouvernement de soi », affirme Montaigne dans les Essais. C'est ainsi que la conscience est promue au rang de ce qu'il y a d'indispensable

conscience est une donnée immédiate de la vie : une intuition. On ne peut pas se représenter la conscience car cette « chose » n’est pas un objet, quelque chose qui se montre, jeté devant soi. Pourtant, imaginer, percevoir, distinguer, réfléchir, juger, agir etc. Sont des actes qui ne prennent de sens que dans la mesure où ils sont présents à la conscience, éclairés par cette « chose ». Texte de Pascal : « le roseau pensant » Les Pensées. Je vis, et cette conscience d’être vivant est le premier savoir

pouvons éprouver un désir et agir selon ce désir sans rencontrer d’obstacle extérieur, puis réaliser après coup que ce désir s’est imposé à nous, qu’il a nous conduit à un comportement  que nous n’avons pas vraiment voulu. Ce genre d’expériences nous conduit à mieux définir la liberté : elle résiderait plutôt dans le pouvoir de choisir, dans notre capacité d’être l’auteur conscient et volontaire de nos actes, sans nous laisser pousser par des états émotionnels. Mais cela suffit-il à définir la liberté 

il y a des gens pauvres vis-à-vis de ce riche. Pour être le plus riche et souhaiter que les autres n’en pâtissent pas, je dois souhaiter que personne ne soit dans la misère et que mon enrichissement entraîne celui des autres. Cet exemple nous pose bien la question : Accomplir tous nos désirs, est ce une bonne règle de vie ? Notre exemple nous montre qu’il nous faut dès lors renoncer à certains désirs. Certains sont en contradiction avec des bonnes règles de vie. En effet une règle indique une conduite