Suffragette

bourgeoises, ainsi qu’un certain nombre de femmes soumises : revendications d’une amélioration de leur situation : * accès aux universités (1880 : ULB, 1920 : UCL), * accès aux droits juridiques et politiques courant anglo-saxon des suffragettes : elles pensent que c’est par le droit de vote que va passer l’émancipation des femmes (héritage important des femmes américaines). Le mouvement féministe continental et catholique (ex. en France, Italie, Espagne) met l’accent sur les qualités

et au travail, et prévoit des sanctions en cas d’infraction. Plusieurs de ses dispositions ont été contestées devant les tribunaux par des groupes d’anglophones et d’allophones qui la jugent discriminatoire. Les mouvements féministes LES SUFFRAGETTES En 1907, des bourgeoises francophones de Montréal, telles que Marie Gérin-Lajoie, Joséphine Dandurand et Caroline Béique, fondent la Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste (FNSJB). Cette fédération souhaite regrouper tous les organismes de

politique. Condorcet est l’un des seuls à avoir revendiqué la participation des femmes aux affaires de la cité. Si en 1848 on parle de suffrage universel, il n’est que masculin. De nombreuses femmes se sont battues sous la IIIème République ; les suffragettes militent mais il faut attendre l’ordonnance de C. DE GAULLE du 21 avril 1944 pour qu’il y ait une égalité des droits politiques au niveau juridique. A partir de cette date, les femmes peuvent voter et être élues. Jusqu’en 1944, il y avait une

à exiger plus d'autonomie dans autres domaines * Certaines réalisent que leur salaire est plus bas que celui des hommes * Groupes de femmes commencent à s'organiser pour réclamer l'égalité des droits économiques et politiques * Les suffragettes demandent le droit de vote * elles l'obtiennent officiellement du gouvernement fédéral en 1917 * Au Québec, les femmes obtiennent le droit de voter aux élections provinciales en 1940 La crise de la conscription au QC * l'enrôlement

de vote. Nous sommes proches à la fin des années 1880 d’un suffrage universel masculin. C’est donc par un processus logique que le début du XXème voit la montée en puissance de la revendication du suffrage féminin, à travers le mouvement des « suffragettes » et du Women’s Social and Political Union, mais ce mouvement militant issu de la bourgeoisie se heurte à l’opposition des libéraux et des travaillistes qui craignent un report de ces voix sur l’électorat conservateur. Libertés publiques et

réactions féministes : cette situation d’infériorisation provoque des réactions d’un certain nombre d’aristocrates et de bourgeoises. Revendications qui touchent à l’accès à des universités (1880 : ULB, 1920 : UCL), aux droits juridiques et politiques (suffragettes) : elles savent que c’est par le droit de vote que va passer la libération des femmes. → La situation du monde ouvrier comme la situation des femmes constituent des freins à cette démocratisation. XVIII – Les oppositions à la démocratie 1.

l’émancipation à venir. La situation de la femme freine encore l’avancée de la démocratisation. Les multiples facettes d’une infériorisation (droits politiques après WWII) : réactions féministes : revendication du suffrage universel En Angleterre, les suffragettes (= Militante britannique qui manifestait pour le droit de vote des femmes) vont jusqu’à mourir pour leur droit. Peu à peu l’idée envahit toute l’Europe de l’Ouest. 4 La subsistance de 4 empires autoritaire dans le Sud et le Sud-Ouest

certains Etats fédérés acceptèrent le droit de vote des femmes : comme le Wyoming depuis 1869. Il fut ensuite généralisé dans tout le pays par l’adoption du XIXe amendement à la Constitution fédérale. Au Royaume- Uni, c’est le mouvement des suffragettes qui aboutira à la reconnaissance du droit de votes des femmes en 1918 avec une petite restriction : âge limite de 30 ans. En France, c’est l’ordonnance du 21 avril 1944 qui reconnaît le droit de vote aux femmes. Ordonnance prise par le Général

qu’exerçaient encore trop souvent les prêtres sur l’esprit des femmes. En 1882, la loge Les Libres-Penseurs du Pecq, de la Grande Loge symbolique, quitta l’obédience pour initier peu après Maria Deraismes (1828-1894), « femme républicaine », journaliste et suffragette, mais réintégra son lieu d’origine quelques mois plus tard sans garder Maria Deraismes dans ses rangs. C’est en 1893 que Georges Martin (1844-1916), membre de la Grande Loge symbolique, aidé de Maria Deraismes, alors « maçonne sans loge », fonda

certains Etats fédérés acceptèrent le droit de vote des femmes : comme le Wyoming depuis 1869. Il fut ensuite généralisé dans tout le pays par l’adoption du XIXe amendement à la Constitution fédérale. ⋄Au Royaume- Uni, c’est le mouvement des suffragettes qui aboutira à la reconnaissance du droit de votes des femmes en 1918 avec une petite restriction : âge limite de 30 ans. ⋄En France, c’est l’ordonnance du 21 avril 1944 qui reconnaît le droit de vote aux femmes. Ordonnance prise par le Général