Suis Je Libre De Penser

l’influence qui peut avoir - ou non - des répercutions sur les pensées ou les actions d’un sujet. Les pensées et les actions d’une personne lui sont-elles propres si elles sont influencées par la société ? Peut-on dire que seule les décisions prises avec un libre arbitre sont bien celles de son décisionnaire ? Dans ce devoir, on se verra dans un premier temps que l’on est bien le sujet de toutes nos pensées et de nos actions puis dans un second temps, que l’on est inconsciemment influencé par notre environnement

Peut-on penser une société sans Etat ? Cette question peut au premier abord paraitre choquante dans la mesure où elle insinue l’idée selon laquelle la société serait capable de vivre sans règles imposées par une autorité gouvernante supérieure. Or le mot même de « société » est tout à fait dépendant de celui d’ « Etat ». En effet, sans autorité extérieure légitime, une société ne peut exister, de même dans le sens inverse : un Etat n’a d’existence et de sens qu’avec la présence d’une société, d’un

fois obéir et être libre? On a souvent tendance à penser que la liberté est le fait de pouvoir faire tout ce que l'on veut, tout ce que l'on désire, sans rencontrer ni d'obstacles, nide contraintes. Mais sans contraintes ni obastacles, la liberté est sans limites, elle n'est pas clairement définie. Pour être libre il faudrait obéir à des contraintes, des lois, et la libertéserait définie par ces contraintes et ces lois. On peut donc se demander si il est possible d'être libre et d'obéir à la fois

Etre libre, est-ce n’être responsable de rien? INTRODUCTION: Etre libre, est-ce n'être responsable de rien? La notion de responsabilité peut être vue comme délicate. Sommes nous responsable seulement des actes que nous avons commis? Dans ce cas la, pourquoi la justice ne reconnait pas un criminel qui tue en état de folie par exemple, comme étant responsable de son acte alors que aux yeux de la loi les parents sont responsables des actes de leurs enfants? On constate de ce fait que la question

responsable de sa passivité puisqu’elle ne vient pas d’ « un défaut de l’entendement » ( il est capable de comprendre et de juger par lui-même) mais d’ « un manque de décision et de courage ». Il est responsable car il ne fait pas un bon usage de son libre arbitre, de sa capacité à faire des choix et à prendre des décisions : il laisse autrui prendre la direction de ses pensées. Il manque de courage : il n’ose pas affronter ceux qui le guident pour s’en affranchir , il est faible mais il pourrait résister

pas ses idées, il incite à la réflexion, au libre choix et à l’apprentissage; l’homme se libère du joug de l’ignorance par le savoir. Le Siècle des Lumières offre à l’homme savant la possibilité de se libérer des contraintes de la méconnaissance, puisqu’il permet, par le savoir, une vision plus large du monde qui l’entoure. Ainsi, les bienfaits de la raison contre les absurdités et les préjugés de l’Eglise par exemple, se font ressentir dans la libre pensée et le raisonnement individuel de ce

réglementé. Le triple saut est sans doute né d'une mauvaise interprétation des épreuves athlétiques pratiquées par les Grecs. En effet, les grecs additionnaient les résultats des trois meilleurs sauts du concours de saut en longueur, ce qui conduisit à penser qu'ils pratiquaient un triple saut enchaîné. Ce n’est qu’aux environs de 1904 que le triple saut apparaît sous la forme que nous lui connaissons actuellement (cloche-pied, foulée bondissante et saut). L'acte de naissance officiel du triple saut se

goût à sa propre dépendance. Peut-être n’y a-t-il que peu d’hommes qui parviennent vraiment à se défaire de leur passivité pour accéder au libre exercice de leur raison, qui parviennent à ” marcher tout seul “. Selon Kant, cette dépendance s’explique tout d’abord par la lâcheté et la paresse humaine : il est certes beaucoup plus facile et confortable de ne pas penser soi-même, de s’en remettre aux autres. C’est peut être par souci du moindre effort, par manque de courage que l’homme préfère se décharger

maitre. On peut remarquer que la maitrise peut concerner la formation des pensées, c’est à dire par exemple je peux penser ce que je veux mais aussi le maniement des pensées comme par exemple je ne pense pas ce que je veux mais j’en dispose les moyens librement. Mais aussi, l’expression des pensées, on peut les exprimer comme nous le souhaitons. Contrairement à la parole, la pensée est libre de tous sentiments, de tous jugements et émotions. La pensée dispose d’une liberté infinie. Elle est indestructible

un danger d'exercer la liberté de penser? Doit-on oser" penser? Si la liberté c'est le rapport entre une action et moi, ne suis-je pas responsable totalement de ma décision: puis-je craindre cette responsabilité personnelle de devoir répondre des conséquences de mes actes. En pensant par soi-même, ne passe t-on pas d'une responsabilité collective, d'un "cocon" douillet à une responsabilité personnelle. => Voir Sartre, La condition humaine (totalement libre, totalement responsable, responsable