Suis Je Maitre De Mes Desirs

choix, parfois de prise de risques et d’un acte volontaire. Cependant, Jean Jacques Rousseau dans du contrat social, écrit : « l’homme est né libre et partout il est dans les fers (menottes en métal auxquelles on attachait les esclaves). Tel se croit maître des autres qui ne laisse point d’être plus esclave qu’eux ». Il fait une distinction entre une liberté de droit et une servitude dans les faits. En ce sens Rousseau renvoie implicitement à la déclaration des droits de l’homme et du citoyen : « tous

 Dans ce texte, Platon pose la question suivante : la modération permet-elle, oui ou non, d'atteindre la vie heureuse ? En d'autres termes, la modération de nos désirs ne vaut-elle pas mieux que la débauche ? Après tout, la réponse à cette question n'est pas évidente, et ce dialogue le montre très bien, puisqu'il se terminera sans que les deux protagonistes, Socrate et Calliclès, aient pu trouver un accord. Notre extrait s'ouvre donc par la parole de Socrate, qui tient la tempérance pour une vertu

et la loi. Rousseau a voulu montrer qu’il n’y a pas de liberté sans lois mais aussi il défend l’idée qu’indépendance et liberté ne doivent pas être confondues. Nous pouvons donc nous demander si être libre, c’est être indépendant et satisfaire ses désirs ? Car la liberté politique se définit comme la possibilité d’agir selon sa propre volonté sans gêner celle des autres, nous croyons bien que nous sommes libres que lorsque nous sommes indépendants et donc la loi gène notre liberté, peut-on concevoir

pourtant, l’homme est généralement attiré par ce qu’il ne pourra jamais atteindre comme l’immortalité. Problème philosophique : Désirer l’impossible n’est-ce pas prendre le risque d’être dans un perpétuel état d’insatisfaction ? Mais maîtriser ses désirs est ce possible ? Cela permet-il d’apaiser l’âme ? Thèse de l’auteur : Descartes affirme dans son Discours de la méthode, que pour être heureux il faut lutter contre cette attraction pour l’ impossible, il affirme la possibilité de pouvoir ne désirer

éthiques ; ce qui est moral. Une bonne règle de vie peut donc être aussi bien une règle de vie qui conduit au bonheur qu'une règle de vie morale. Il convient ainsi de se demander si limiter ses désirs à ses principes de vie est une bonne morale ? Pour cela nous montrerons dans un premier temps la valeur des désirs puis nous étudierons le désir comme obstacle au bonheur. Le désir est la recherche d’un objet que l’on sait ou que l’on imagine être source de satisfaction. On ne désire que ce qu’on n’a

Meghouar L’illusion Spontanément l’illusion apparait comme une tromperie des sens m’induisant en erreur.Mais cette qualification première apparait très vite trop réductrice Au-delà de ce jeu d’apparence elle se veut projection de mes désirs sur la réalité devenant construction mentale. En ce sens ses effets sont tout autre en plus de l’erreur elle trouve en mon désir la juste mesure pour exister. Non simple conséquence de mes sens, ce produit de mes idées au pouvoir consolateur se veut synonyme

Qui suis-je ? Descartes définit le sujet comme substance pensante, consciente de sa pensée, « Je pense donc je suis », « cogito ergo sum ». Je suis ainsi conscient de mes actes, je suis maître de mes pensées. Ma conscience est l’essence de ma pensée, et ce « je pense » que nous sentons au fond de nous mêmes est permanent, toujours identique a lui même. Un être inconscient ne pourrait avoir conscience de la temporalité. L’être est alors conscient qu’il existe a travers le temps. Il existe deux types

Les hommes ont-ils besoin d’être gouvernés ? [Introduction] La plupart des hommes ont toujours étaient gouvernés, autrement dit, ils ont toujours étaient dominés. En effet, auparavant, l’esclave était dominé par le maître et lui-même dominé par les dieux. De nos jours, ce sont les plus riches qui dominent les plus pauvres et il y a également la religion qui domine depuis toujours les hommes en leur dictant la conduite à tenir dans leur vie quotidienne. Par ailleurs, l’homme est le plus évolué

littéraire au lycée René Cassin (91) Le manuel d’Epictète peut il rendre tout homme d’aujourd’hui heureux ? Epictète naquit en Phrygie, à Hiéropolis dans l’esclavage. Son nom propre lui vient de cette origine. On raconte qu'un jour son maître dur et cruel, s'amusait à torturer la jambe de son esclave, celui-ci l'avertit plusieurs fois qu'il allait la lui briser. Il la brisa et Epictète se contenta de remarquer : « Je vous avais bien dit que vous me la casseriez. ». Une fois affranchi,

l’Esprit que dans la dialectique du maître et de l’esclave, le maître ne ressort pas vainqueur. L’homme libre se cache là où on ne l’attend pas : c’est l’esclave qui est le plus sujet à la liberté des deux. Mais pour atteindre cette liberté, il faut passer par l’asservissement, donc le travail n’est-il pas plus un devoir qu’un droit ? Par la dialectique du maître et de l’esclave, Hegel nous apprend que l’homme libre est en fait l’esclave. En effet, le maître est en apparence le vainqueur de