Suite D Andromaque

Texte pour l’oral : Ubu Roi : Acte V, scène 1. Introduction : Nous sommes au début du dernier acte, donc la fin approche : fin de la pièce, et la fin de leur règne est déjà accomplie. Les Ubu ont tout perdu : leur statut, leurs compagnons, suite à différentes guerres… Ici cette scène montre leurs retrouvailles imprévues et totalement absurdes. C’est l’occasion pour Jarry de mettre en place une scène utilisant toutes les ressources du registre comique : c’est la dernière confrontation ridicule

grâce à celle-ci, Diomède peut blesser Arès lui-même. Les dieux regagnent l'Olympe. | Chant VI |   Les Troyens faiblissant, Hector demande à sa mère Hécube de prier Athéna, et les femmes troyennes se rendent à son temple. Il rencontre sa femme Andromaque près des portes Scées et, devant ses reproches et ses larmes, justifie sa place au combat. Puis, ayant serré contre lui son fils Astyanax, il rejoint les troupes avec Pâris. | Chant VII |   Conseillé indirectement par les dieux, Hector provoque

scène une injustice, dont la solution est trouvé par « un fou » qui mit d'accord tout le monde. Il y a aussi le cas du théatre tragique. Rien qu'à l'énonciation du mot « tragique » on sait que l'histoire se terminera mal. Comme par exemple dans Andromaque de Racine, où presque tous les personnages péririont ou seront malheureux. Enfin, il y a les histoires dont la fin est préméditée. C'est en effet le cas pour Le Rêve de Zola. Dès le début les ressemblances entre les légendes que lit l'héroïne

mouvement artistique qui est le néo-classicisme, ce mouvement provient d’un besoin de retour à la simplicité et qui s’oppose à toutes formes de futilités. On peut retenir le chef de file Jacques Louis David (1748-1825) et plusieurs de ses œuvres comme : Andromaque pleurant sur le corps d'Hector en 1783 et le Serment des Horaces en 1785. Du coté de l’architecture Étienne-Louis Boullée (1728-1799), à première vu, ses plans paraissent « utopiques » et irréalistes. Mais on pourrait l’interpréter d’une autre

Allitération (féminin) : C’est la répétition de sons identiques. A la différence de l’assonance, le terme « allitération » est réservé aux répétitions de consonnes. Exemple : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes? » (Racine, Andromaque, V, 5) ou encore « La chasseresse sans chance / de son sein choie son sang sur ses chasselas. » (Desnos, corps et biens, « Chason de chasse ») Amplification : L’amplification se fonde sur une gradation entre les termes d’une énumération ou dans

Racine étudie au collège d’Hargourt pour ensuite devenir meilleur ami avec Boileau. De plus il rencontre Molière par hasard puis il lui offre son aide pour une œuvre. Par ailleurs Jean Racine fait paraître plusieurs œuvres tels qu’ Andromaque qui est une tragédie. Il monte également sa tragédie Alexandre ou encore Bérénice . Le mouvement littéraire de Jean Racine est le classicisme, c’est un mouvement littéraire du XIIe

hésitations. Les sonorités L’allitération : Répétition d’une ou de plusieurs consonnes qui sous-tend une idée, une impression. Plus courante en poésie qu’en prose. Ex. 1 : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes? » (Racine, Andromaque) → harmonie imitative : sifflement Ex. 2 : « Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. » (Rimbaud, « Le dormeur du val ») → effet de dureté L’assonance : Répétition d’une ou

que dans la tragédie, le personnage n’a aucune liberté d’évolution, la fatalité est à la fois extérieure et intérieure à lui. Il est passif, immobile, il ne peut sortir du seul caractère que lui a donné l’auteur. Ainsi, dans la pièce de Racine : Andromaque, Pyrrhus n’est qu’un pantin poétique, il ne peut échapper à cette passion conférée par Racine : une personnalité unique caractérisée par un héro sanguinaire, avec une âme pieds et poings liés par la passion amoureuse. Même dans la comédie on retrouve

Frans Pourbus le Jeune réalisé avant 1620 Louis XIII, surnommé « Louis le Juste », est né le 27 septembre 1601. Il monte sur le trône suite au décès de son père Henri IV, en 1610, alors qu'il n'a que 8 ans. Le pouvoir est donc assuré par sa mère, Marie de Médicis. Durant sa régence, de graves troubles éclatent dans le royaume et provoquent une instabilité politique. Suite aux exigences de sa mère, le jeune roi se marie avec Anne d'Autriche. Il obtient enfin le pouvoir le 16 Avril 1617, fait exiler sa

jure ». Le Pauvre qui a fait l’aumône « pour l’amour de Dieu » finit par refuser de blasphémer. Dom Juan la lui jette alors « pour l’amour de l’humanité ». Les mises en scène diffèrent alors sur ce qui s’ensuit, puisque Molière ne précise rien sur la suite de cette scène. Ainsi, Bluwal, qui met la pièce en scène pour la télévision , imagine qu’au moment où le libertin jette la pièce, le Pauvre la ramasse avidement. En revanche, dans sa mise ne scène plus récente, Mesguich montre le pauvre sortant de