Sujet Histoire Totalitarisme

solutions, des points de vues sur tout ce qui concerne l’art et la chose militaires d’aujourd’hui et d’hier. Suivant cette nouvelle conception, nous serions vraiment heureux si vous nous faites part de vos suggestions, de vos avis et critiques sur les sujets proposés et les problèmes soulevés au fil des articles. De même, n’hésitez pas à nous suggérez des thèmes particuliers que vous aimeriez voir traités. Pour ce numéro 5 de LVS mag, nous vous proposons un thème récurrent bien que peu traité qu’est

Méthode de la dissertation en Histoire I. Lire e t comprendr e l e suje t 1. Comprendre le libellé et le sens du sujet Avant tout autre chose, il s’agit de comprendre parfaitement le sujet. Il faut déterminer le sens précis de chaque terme, (noms propres, noms communs spécifiques, verbes - sujets, les faux amis) donc pour cela il faut bien connaître les notions et concepts e mployés. Il faut aussi comprendre le sens global du sujet, c'est - à - dire comprendre

où se pratique ce qui relèverait aujourd’hui d’une histoire culturelle de la guerre (et qu’on désigne dans les catégories savantes de l’époque comme une "psychologie" du combattant). Pierre Renouvin se tient donc à l’écart de cette veine de l’histoire de la Grande Guerre, jusqu’à ce qu’il retrouve le problème des "mentalités" par une autre voie. Dans la continuité de ses travaux sur 14-18, il devient en effet le promoteur d’une nouvelle histoire des relations internationales (par opposition à l’histoire

L’Argumentation I) Argumenter Thème : Sujet abordé par un texte. Pour le repérer, il faut s’intéresser au titre de l’œuvre, aux champs lexicaux présents. Thèse : Opinion ou point de vue de l’auteur sur le thème qu’il traite. Argument : c’est un élément de raisonnement (un fait, une remarque, une réflexion, une analyse) sur lequel on s’appuie pour justifier une thèse. On repère l’argument par sa place : il suit généralement la thèse qu’il développe. II) Stratégies argumentatives Convaincre :

---La brutalité du discours qui se superpose au récit en cours, rature, efface et réécrit à des fins de (re-)programmation socio-culturelle. L’architecture brutaliste (terme apparu en 46 mais popularisé dans les années 60) a été qualifiée de « totalitarisme philosophique européen », par exemple, sous ses formes les plus exacerbées – insalubrité, ghettoisation, mépris des classes inférieures, contrôle et obstacle à la communication entre individus, le béton «brut de décoffrage ». Pas Le Corbusier,

texte qui légitime la séparation entre le pouvoir spirituel et temporel. Dans cette interprétation, on considère que la séparation entre l'Etat & l'Eglise est du même ressort. Jusqu'au XIIe siècle, l'empereur voulait avoir les deux pouvoirs. Le totalitarisme est né en Allemagne. L'autre thèse est de dire qu'il y a deux pouvoirs, d'une part l'empereur et d'autre part le pape. Ils se sont querellés en permanence. L'empereur avait une armée & le pape pouvait ex communié l'empereur. On retrouve deux

GIAMPICCOLO 1°L/ES Laura 9/03/15 HISTOIRE Composition Sujet : Nazisme et Stalinisme dans les années 1930 ( étude comparée ). A partir des années 1930, deux nationalismes se consolidaient en Europe : l'URSS communiste de Staline et l'Allemagne nazie d'Hitler. Ce sont deux régimes totalitaires dont le terme a été

railler et à nous moquer des vices ». Pour autant, on peut se moquer des défauts d’une personne sans attenter à sa dignité. Or ma liberté est toujours conditionnée par celle de l’Autre, elle ne se déploie que dans le champ des relations d’un sujet avec d’autres sujets. Je comprends parfaitement cette position mais je ne la partage pas, il s’agit si nous allions dans ce sens la fin de la liberté et de l’esprit, c’est le chemin de l’uniformisation de la pensée. Reste que, quels que soient les scrupules

l'ensemble des évènements se déroulant dans le temps, répond à un devenir logique, ce qui fait l'objet du travail de l'histoire comme discipline. Le problème de ce sujet sera donc de savoir si l'esprit humain peut soumettre le cours des événements à une grille d'analyse logique, de façon à en traduire un ordre vraisemblable. Ce sujet recouvre ainsi un paradoxe selon lequel le mot même d'histoire désigne une totalité d'évènements qui possède déjà une unité : celle que lui donne l'esprit humain en

Le pouvoir sans l’état : P.CLASTRES (anthropologue français) La société contre l’état 1974 (livre). Le point de départ est une critique sur les sociétés dites primitives. Ils les définissent d’une façon négative : société sans écriture, sans histoires, sans états. Sans états : Privé de quelque chose que l’on suppose nécessaire a toute société. En quelque sorte incomplète. Rester sur un point archaïque du développent. Ce que l’auteur critique dans cette société c’est l’ethnocentriste. D’où