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conscience, n'accède pas à ce dont je suis seul à être conscient: l'assertion est fausse, il y a intention de le tromper. Si on avait voulu cette signification on aurait demandé: peut-on se mentir à soi même? (Voir l'aide N°76 Peut-on mentir? sur ce sujet). -Si peut-on signifie doit-on, le problème moral est posé (que dois-je faire?). Est-ce juste de mentir à autrui? Peut-on faire à autrui ce que nous ne voulons pas qu'il nous fasse? On peut donc prendre le deuxième sens. => Recherche des

INTRODUCTION:La conscience est l'intuition qu' a un sujet de son activité psychique, de ses actes, du monde et de lui-même donc il s'agit d'une part d'un rapport intérieur et d'autre part d'un rapport extérieur. Que vaut l'opposition de l'intériorité et de l'extériorité de la conscience? Ainsi, il y a une opposition direct en conscience puisqu'on parle d'intériorité c'est a dire la subjectivité, la pensée réflexive et l'extériorité s'opposant à l'esprit, la perception extérieur. Comment s'oppose

nous nous sommes rendu compte qu’ils ne pouvaient pas faire l’objet d’un sujet de TPE en première scientifique puisque la caractéristique même de ces phénomènes est qu’ils sont inexplicables de manière scientifique. C’est alors que nous nous sommes intéressés au bonheur qui, au fil de nos réflexions, nous a menés vers le thème des émotions. Nous avons choisi ce sujet en raison de l’intrication qu’il nous suscite. En effet, ce sujet nous intrigue et nous fourni une multitude d’interrogations. De plus

Le noyau du groupe nominal est donc le mot « sanglots » qui oriente immédiatement le texte vers une sonorité triste. Il faut 3 vers bref (4,4,3) indissous par la structure syntaxique et très proche par leurs sonorités pour préciser à la fois leur sujet grammatical et le thème du poème. La sensibilité du poète : Elle est double (physique et affective) comme le souligne la répartition des mots « blesse », « cour », « longueur », « monotone » qui s'appliquent à la fois au domaine affectif et au domaine

endroit, position, importance. • savoir : a) Comme nom, ensemble de connaissances acquises par l'apprentissage ou l'expérience. b) Comme verbe, avoir appris quelque chose, et pouvoir le dire, le connaître, le répéter. [pic] L'énoncé un peu vague du sujet invite à une formulation plus précise de la ou des problématiques en jeu. On peut se demander ce qu'est la connaissance de soi en posant le problème de l'introspection, et si autrui n'est pas mieux placé que moi pour me connaître dans la mesure où

s’oppose-t-elle pas à la réalité qui est plus concrète ? En effet, les produits de notre pensée, de notre imaginaire, ne peuvent correspondre à la réalité hors de notre esprit. La pensée s’oppose-t-elle nécessairement à la réalité ? Dans ce sujet, « pensée » et « réalité » possèdent toutes deux un sens subjectif car chacun a sa pensée, sa réalité vécue. Afin de déterminer le rapport entre pensée et réalité il faut dégager un sens plus objectif de ces deux termes. On peut cependant distinguer

LE SUJET I- De la transparence de soi à soi. Introspection: regard à l'intérieur → analyser et observer ses propres données psychiques. Définition de la conscience selon Alain: capacité de réflexion et d'auto-analyse → conscience morale et psychologique. Mais elle est aussi synonyme de pensée authentique: pensée authentiquement c'est en effet prendre sa pensée comme un objet de pensée et la soumettre à un examen critique. Pensée de Descartes: Le procédé du doute → « Doutons de tout

COMMENT REUSSIR SA DICTEE 1- Bien relire. 2- Cherchez les verbes. - A chaque verbe, posez la question : Qui est-ce qui fait l’action ? Vérifiez le sujet et l’accord du verbe avec ce sujet. - Attention aux sujets inversés. - Cherchez les verbes se terminant par le son « é » : remplacez-les par prendre. - prendre : le verbe doit être à l’infinitif, donc ER - prenait : le verbe doit être à l’imparfait, donc AIT ou AIENT -

désirs ou de nos intérêts) qui fournit une assise au choix volontaire. A l’inverse, le désir ou le souhait témoigne de la subjectivité : le monde tel que nous nous le représentons ou l’imaginons, dimension fantasmatique ou illusoire dans laquelle le sujet projette son désir et modèle le réel selon son gré. En outre, contrairement au choix qui fait intervenir la liberté de la volonté, le souhait témoigne plutôt d’un affect d’une passion que l’on subit sans en connaître l’origine ni les chances de succès

Désir et imaginaire Dans cet extrait de « La Nouvelle Héloïse », publié en 1761, Rousseau va expliciter la notion de désir, comme fortement lié à l’imagination. Pour finalement montrer où réside véritablement le bonheur. Pour lui désir est quelque chose de positif, contrairement à ce que peut penser l’opinion général. Le désir se trouve-t-il dans le désir lui-même, ou dans l’objet du désir ? Tout d’abord il fait l’apologie de l’homme en perpétuel état de désir sur l’homme rassasié et satisfait