Sun Life

l’hyperpuissance américaine III. Depuis 2001 : une puissance remise en cause ? Soft power : puissance économique et culturelle – Puissance industrielle acquise par l’effort de guerre – Plan Marshall – Firmes multinationales – American way of life – ALENA – OMC – Extension du modèle libéral américain – Concurrence économique des pays émergents – Dette des États-Unis – Crise économique, 2008 Hard power : puissance politique et militaire – Arme atomique – Conseil de sécurité de l’ONU

relations complexes (lobbying) entre ces trois pôles destiné à influencer les choix publics. - NASA : (National Aeronautics and Space Administration) est l'administration gouvernementale responsable du programme spatial des États-Unis. - American way of life : (ou mode de vie américain) en français, est une expression désignant une éthique nationale ou nationaliste américaine qui prétend adhérer aux principes élaborés dans la Déclaration d'indépendance des États-Unis : la vie, la liberté et la recherche

l’Union Soviétique (URSS). Les EU décident, en 1947, d’apporter une aide à l’Europe appauvrie par la guerre : c’est le plan Marshall. Cette aide déclenche entre les EU et l’URSS un conflit indirect que l’on qualifie de « guerre froide » American way of life (mode de vie américain) 1941 Comment les Etats-Unis en s’opposant à l’URSS de 1945 à 1989 ont-ils défendu voire imposé leur modèle économique (capitalisme), culturel et politique (démocratie libérale)? 2.1. Le plan Marshall et le début de la guerre

hollywoodiens dans les salles de cinéma françaises. Malgré le peu d’importance que semble avoir cette demande américaine, elle est une vraie avancée dans l’américanisation des cultures. On assiste effectivement alors à une diffusion de l’  « american way of life », ses idoles, ses musiques, ses habitudes alimentaires ou encore vestimentaires, qui entraîne une culture de masse de la culture américaine. Toutefois, l’uniformisation n’est pas totale, quelle qu’elle soit, puisque des inégalités et distinctions

est psychologue américain né en 1946. Il est diplômé de Harvard en psychologie clinique et développement personnel. ,OHVWG¶DERUGMRXUQDOLVWHSXLVLOHQVHLJQHjO¶XQLYHUVLWpGH+DUYDUG ,OSDUWLFLSHG¶DERUGDXFRQVHLOG¶DGPLQLVWUDWLRQGX « Mind and Life Institute » qui facilite la rencontre HQWUHOHVVFLHQFHVHWOHERXGGKLVPH,OIDLWSDUWLHGHO¶ « Association Américaine pour le Progrès de la Science ª'¶DXWUHSDUWLOHVWFR-fondateur du « &ROOHFWLISRXUO¶DSSUHQWLVVDJHG¶XQHLQWHOOLJHQFH émotionnelle

portrait peu flatteur de la ménagère étatsunienne moyenne de la fin des années 1960. Pourtant, cette uvre n’est pas une caricature : un tel personnage fait partie du quotidien de l’époque. Dans cette scène, c’est la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée, dressant face à chacun de nous un miroir. Le consommateur apparaît comme un drogué ou un zombie errant dans les rayons d’un supermarché, seul. L’acte d’achat est présenté

caractérisé à la fois par son réalisme et par son humour. -Il travaillait soit en faisant poser ses modèles ou, à partir de photographies. -Il représente dans la plupart de ses œuvres, avec minutie, la vie des Américains moyens, « The American way of life » (« le mode de vie à l’américaine ») -Quand dans les années 60, la photographie remplace l’illustration dans la publicité et les magasines, il quitte le Saturday Evening Post et travaille pour la revue Look. Contexte historique de l’œuvre : -

omniprésente au lendemain de la guerre de 1939. Les divers produits manufacturés américains se généralisent en Europe occidentale et le mode de vie Etatsuniens devient une nouvelle façon de concevoir sa vie et sa famille ; on parle alors d’  « American way of life ». L’urbanisation démesurée, la société de consommation, les pubs, l’invention des crédits, le niveau de vie élevé et cætera séduisent beaucoup les européens ; ce modèle est de plus valorisé par les médias. Cette nouvelle expansion des Etats-Unis provoque

demande), la non-intervention de l’Etat (économiquement et socialement). Cela engendre un modèle culturel et social basé sur : la société de consommation : le rêve Américain. C’est un mode de vie largement diffusé par les médias « american way of life », la célébrité. Je me fais par moi-même et la société de consommation est le culte de la réussite. Il y a-t-il des limites ? OUI 1- Pays d’intolérance, discrimination. *Jusque dans les années 60 les minorités sont rejetées. Nombreuses revendications

libérale est un régime de séparation des pouvoirs et de pluralisme, où la souveraineté appartient au peuple. • Sur le plan économique, c’est le pays du capitalisme libéral, caractérisé par la propriété privée et la libre entreprise. The american way of life s’impose dans le monde entier comme partie intégrante du « rêve américain », relayé par une culture de masse hollywoodienne. Le soft power du modèle américain est donc considérable. 2. 1947 : année de la rupture, début de la guerre froide • Ce