Sun Yat-sen

système ; pas à ceux qui ont vécu en dehors de la Chine. Toutefois, il faut se rappeler qu'à la fin du siècle dernier et au début de ce siècle, Sun Yat Son a rallié l'opposition chinoise d'outre mer dans son combat contre la dynastie corrompue des Qmg. Les longues années de lutte de Sun furent couronnées de succès en 1911 lorsque la dynastie Mandchou s'effondra. Sun était à Denver aux Etats-Unis au temps de la Révolution lorsqu'il devint le premier Président de la République de Chine. Il ne semble pas

de l’hôpi tal. Plus tard, R. Wilhelm parlera de lui comme de « notre aide ». Dr Li fit, semble-t-il, par tie des chrétiens chinois qui militèrent pour un renouveau national de leur pays et de leur peuple. Cette tendance mena en 1911, sous le Dr Sun Yat-sen, à la révolution et à la chute de l’Empire. Ce fut également le Dr Li (cf. note 1, page 42) qui rendit R. Wilhelm attentif aux exactions des troupes coloniales allemandes qui avaient envahi l’intérieur du territoire chinois à la suite de la révolte

d’une courte guerre contre les Etats-Unis, perd ses différents appuis coloniaux : c’est une guerre dont l’objectif était d’abord Cuba, mais aussi Hawaii ou aussi les Philippines (du nom de Philippe II roi d’Espagne). Il reste des colonies portugaise sen Afrique (Angola, Mozambique) : ce seront les dernières à devenir indépendantes pratiquement, dans les années 1970. 2 L’attrait de l’Asie Dans cet attrait de l’Asie, il y a d’abord l’Inde. Elle est toujours un objectif important en Angleterre,

(1898-1900) est, comme les précédentes, annihilée par un corps expéditionnaire occidental. Mais le 11 octobre 1911, c'est l'armée impériale elle - même qui se mutine et proclame la république ; une assemblée réunie à Nankin le 2 décembre 1911 nomme Sun yat-Sen (Sun Zhongshan) Président provisoire de la république. Ce dernier (1866-1925) a joué un rôle important dans les mouvements rénovateurs qui aboutissent à la proclamation de la république ; il considère que la reconstitution de la Chine doit se faire

préconisée dans le cas de Kanji utilisés seuls, des radicaux des verbes et des adjectifs. Cependant, encore des exceptions peuvent s'ajouter : les noms de famille qui peuvent être un mélange de KunYomi, On-Yomi... Par exemple, le Kanji 千 se prononce "sen" quand il est utilisé seul (pour dire "mille") alors qu'il est prononcé "chi" lorsqu'il est associé à un autre Kanji (comme pour 千代 prononcé "chiyo" qui veut dire "centaines d'années"). On constate, pour les nombres en japonais qu'on préfèrera la

gens appartenaient à de tels groupes. Certains des penseurs chinois du début du 20ème siècle qui s'intéressaient à la modernisation de la Chine ont reconnu la nécessité de détruire les groupes sociaux à petite échelle comme la famille : " (Selon Sun Yat-Sen) le peuple chinois avait besoin d'une nouvelle montée de patriotisme, qui mènerait à un transfert de fidélité de la famille à l'état ... (Selon Li Huang) les attachements traditionnels, particulièrement à la famille devaient être abandonnés pour

question chinoise Les Japonais pensaient se rendre rapidement maître d’une Chine divisée car, en effet, depuis 1911, la situation politique de la Chine était extrêmement confuse. 1911 ayant vu le parti national populaire, le Kyo Min Tang du Docteur Sun Yat Sen renversé la dynastie des empereurs manchous et proclamé la république. Seulement, les républicains ne contrôlent que le sud de la Chine. Le nord reste aux mains d’anciens féodaux ou de bandes armées : les fameux seigneurs de la guerre. Pendant 15

politique et ils pouvaient faire avancer la politique communisme dans le chaos chinois. Ils vont soutenir et s’allié avec le Parti Nationaliste chinois dont le boss est SUN YAT SEN donc stratégie de front unique. Mais Sun va mourir remplacé par TCHANG KAY CHEK. Il va prendre ses distances par rapport a cette alliance prôné par SUN. Les communistes vont rompre avec stratégie du front unique. La stratégie du front unique va revenir dans 1930s avec le front populaire en France avec 1936. Stratégie du

delà de la permanence de l’exaltation du communisme, l’image que la Chine entend donner change : d’une Chine révolutionnaire, on passe à une Chine nationaliste fière de son passé (à l’occasion des festivités de 2009, un immense portrait de Sun Yat Sen, le fondateur de la république en 1912) et de sa puissance. P. 78-79 Carte La République populaire de Chine, puissance asiatique La victoire des communistes en 1949 est suivie par la mise en place de la République populaire de Chine. Le pays

le plus lourd de conséquences pour l'avenir. En plein chaos politique depuis 1916, la Chine voit apparaître des groupes marxistes dans la mouvance du nationalisme chinois195. La Russie soviétique et le Kuomintang, parti nationaliste dirigé par Sun Yat-sen, nouent une politique d'alliance : le Komintern s'emploie dès lors à favoriser la naissance en Chine d'un parti communiste qui s'allierait aux nationalistes. Différents groupes de sympathisants communistes, issus notamment du mouvement du 4‑mai