Superfluidité

permet justement une séparation plus facile de ses éléments. Pour info, l'air se liquéfie à 153,15 °C. A partir de températures aussi basses, les gaz liquéfiés changent complètement de comportement, on peut alors utiliser la supraconductivité, la superfluidité ou encore le transport de gaz sous forme liquide à un prix modique. Air Liquide innovera ensuite sur : - 1913 L'oxygène servira à l’oxycoupage de tôles métalliques. - 1952 arrivée d'AL de la cryogénique. - 1987 et 1988 Air Liquide

moins le socle global de la physique à toutes ses échelles. Mais à l’échelle macroscopique, ses manifestations ne nous apparaissent pas étranges, à l’exception d’un certain nombre de phénomènes a priori curieux, comme la supraconductivité ou la superfluidité , qui justement ne s’expliquent que par les lois de la physique quantique. Au demeurant, le passage du domaine de validité des lois paradoxales de cette physique à celui des lois, plus simples à imaginer, de la physique classique peut s‘expliquer

e e pas finie et r´siste encore aux chercheurs, depuis 50 ans; sa mise en oeuvre sur ordinateur est coˆteuse en e u 4. On aurait cependant tort de consid´rer que les effets quantiques ne se manifestent qu’` des ´chelles microscopiques. e a e La superfluidit´ ou la supraconductivit´ sont des effets quantiques qui se manifestent a des ´chelles macroscopiques. Les e e ` e ´toiles a neutrons sont des objets essentiellement quantiques o` la pression par exemple est principalement due au principe e ` u d’exclusion

microscopique de particules13 dans le niveau 1 , mais un nombre macroscopique, N0 − N . Quand T → 0, N → 0 et toutes les particules peuplent l’tat fondamental. La condensation de Bose–Einstein est lie au phnomne de superfluidit, observ par exemple pour l’Hlium (4 He). Mais l’tude dtaille de la superfluidit requiert de tenir compte de l’interaction entre les atomes d’Hlium. Elle explique aussi la supraconductivit, la proprit de certains matriaux de laisser passer le courant sans rsistance basse temprature. Cela

moins le socle global de la physique à toutes ses échelles. Mais à l’échelle macroscopique, ses manifestations ne nous apparaissent pas étranges, à l’exception d’un certain nombre de phénomènes a priori curieux, comme la supraconductivité ou la superfluidité, qui justement ne s’expliquent que par les lois de la physique quantique. Au demeurant, le passage du domaine de validité des lois paradoxales de cette physique à celui des lois, plus simples à imaginer, de la physique classique peut s‘expliquer

plus rares à pouvoir mettre aussi clairement en relief la physique des interactions électrostatiques pures. Par ailleurs, à des températures extrêmement basses, en dessous de 2, 17 K, l’hélium liquide devient un « fluide quantique » dont la superfluidité est une propriété unique que seule la mécanique quantique peut expliquer. Environ trente pour cent de la matière cosmique créée peu après le Big Bang se trouve sous forme d’hélium, ce qui en fait, après l’hydrogène, le deuxième élément le plus

des solides (chaleur spécifique, conductivité, rigidité, propriétés optiques, etc.) à partir d’un modèle microscopique ; 5. d’expliquer des propriétés purement quantiques de certains corps comme la supraconductivité de plusieurs métaux et la superfluidité d’un liquide comme l’hélium. 1.2.2 De nouvelles applications technologiques La mécanique quantique est à la base de nombreuses inventions de la technologie moderne. 1. Le laser permet de générer un faisceau lumineux extrêmement cohérent et

tendance ` faire : les bosons s’aggr`gent tous dans e e a e l’´tat de plus basse ´nergie. Ce fait est ` l’origine de la condensation de Bose-Einstein, qui est ` l’œuvre e e a a dans plusieurs ph´nom`nes spectaculaires comme la supraconductivit´ ou la superfluidit´. e e e e 67 Chapitre 7 Paradoxes et Interpr´tations e 7.1 Chat de Schr¨dinger o Un des aspects les plus ´tranges de la m´canique quantique est sans doute la coexistence de deux types e e d’´volution pour le vecteur d’´tat : l’´volution

parit´ et de renversement du sens du e temps. 1932 D´couverte du positron dans les rayons cosmiques par Anderson. e 1938 Kapitza d´couvre la superfluidit´ de l’h´lium, ph´nom`ne quantique a e e e e e ` l’´chelle macroscopique. London explique ce ph´nom`ne ` partir de la e e e a condensation de Bose–Einstein. 1941 Th´orie de Landau de la superfluidit´. e e 1945 Bloch et Purcell d´couvrent ind´pendamment la r´sonance magn´tique e e e e nucl´aire . e 1946 Etude des semi-conducteurs

superficiellement superficialness n., surface f. superficiary adj., superficiel, relatif à la superficie superficies n. sing., surface f. superflow n. (méca.), super-écoulement m. superfluid adj. (phys.), superfluide superfluidity n. (phys.), superfluidité f. supergiant (star) n. (astro.), étoile f. supergéante superheat (to) v. t. (thermo.), surchauffer superheater n. (instr., thermo.), surchauffeur m. superheating n. (phys.), surchauffage m. (au-dessus du point d’ébullition) superhet(erodyne) n