Sur Quoi Ma Conscience Morale Fonde T Elle Sa Légitimité

Poitiers Commission paritaire des journaux et publications : n°0712C81975 Dépôt légal : avril 2011. Achevé d'imprimer : avril 2011 Numéro hors-série réalisé par Le Monde © Le Monde – rue des écoles, 2011 sommaire Le sujet p. 5 chapitre 01 – La conscience, l’inconscient chapitre 02 – La perception chapitre 03 – Autrui chapitre 04 – Le désir chapitre 05 – L’existence et le temps p. 6 p. 10 p. 14 p. 18 p. 22 La culture p. 27 chapitre 06 – Le langage chapitre 07 – L’art chapitre 08 – Le

article paru dans le volume 24 de Purushartha 2004 Littérature et poétiques pluriculturellles en Asie du Sud pp. 39-78 Nirmal VERMA L’art et la conscience dans l’Inde d’aujourd’hui* les crochets indiquent les coupures et les passages résumés Nirmal Verma est avant tout un romancier (Un Bonheur en lambeaux, Actes-Sud, 2000, Le Toit de tôle rouge, Actes-Sud, 2004, Antim Aranya [La dernière forêt], 1999), créateur d’une prose poétique musicale et métaphysique, centrée sur

EcoleDirecteOLYMPE DE GOUGES DECLARATION DES DROITS DE LA FEMME Une oratrice combative En quoi cette œuvre relève-t-elle de la « littérature d’idées » ? SOCRATIVE : AVEZVOUS BIEN LU ? Etape 1 : Comprendre la structure de l’œuvre Quelle est la fonction des différentes parties de la brochure ? 1.La cohérence du discours Reliez chaque partie du texte des Droits de la femme à chacune des fonctions globales suivantes : Partie de l’œuvre Fonction principale Epitre dédicatoire à la Reine Texte liminaire

Médiation », un terme polysémique et flou « Le décalage représenté/représentable, réel et mis en scène, est évident. Pourtant, le second a fini par rattraper le premier, et l'effet multiplicateur du spectacle a, en retour, accéléré les changements moraux, sociaux et de croyance à l'échelle globale, puisque le théâtre, à cette époque, met en contact les centres (les capitales) et les périphéries (les villes moyennes et les provinces), des milieux étroits d'où émanent ces représentations, eux-mêmes

point, croyonsnous, notre sentiment ne saurait nous tromper. L’injustice, chacun de nous l’a ressentie à un moment ou un autre de son existence, de façon précoce. Il n’est pas exagéré de dire que c’est par elle que s’éveille chez l’enfant une conscience morale, c’est-àdire la faculté de porter sur ce qui existe un jugement de valeur. C’est dans la relation à autrui, vécue sur le mode de la rivalité, ou du moins de la comparaison, à l’occasion d’un partage, d’un classement, que naît le sentiment d’injustice

multiples (rappel) - Que les inégalités économiques et sociales sont cumulatives et systémiques (rappel) - Que rechercher une forme d’égalité (droits, chances, situations) revient à faire des choix dans ce qui est considéré comme juste et injuste. - En quoi les différentes conceptions de la justice sociale adhèrent et/ou renoncent à certaines formes égalités. - La conception utilitariste de la justice sociale ainsi que ses limites (Bentham) - La conception libertariste de la justice sociale et le fait

qu’on appelle scientiste. Le scientisme est une foi dans le progrès technologique qui doit permette de régler tous les problèmes des hommes ; les problèmes techniques, les problèmes de santé mais aussi les problèmes moraux. Dès lors, la religion et la philosophie même, perdent leur légitimité puisque la science est sensée apporter les réponses aux questions qu’ils posent. Le XXème siècle va démentir cette foi scientiste. Il a démontré que, si la science peut amener le meilleur, elle peut aussi amener

dissocié de l’idée d’empire se confond avec l’Europe, elle fonde l’Europe du Moyen-âge. Cette période prolonge l’idée du pouvoir universel de l’empire romain de l’antiquité car « Rome n’est plus dans Rome », mais elle voit parallèlement l’essor inéluctable des Etats-Nations La découverte du nouveau monde proclame la fin de la période médiévale l’Europe prend là conscience d’elle-même, qu’elle est un ancien monde. Quels effets cette conscience d’elle-même et la formation d’Etat-Nation va alors avoir

des problèmes et s’adapter Les relations personnelles Le paternalisme : l’autorité est incontestable, se manifeste par des relations bienveillantes et chaleureuses même s’il y a une distance hiérarchique Le contrôle social : respect de l’autorité morale grâce aux relations personnelles La loyauté : attachement aux valeurs de l’organisation, relations créent un climat de confiance et de loyauté L’odre hiécharchique Le souci de l’ordonnancement : établir des ordres de grandeur, fixer les rangs des

  La définition la plus communément admise de la sanction est celle désignant l’acte qui vise à réprimander un manquement, une faute, une transgression ou une action ayant engendrée un préjudice, qu’il soit matériel, corporel ou moral. Il s’agit alors d’une forme de réparation, de compensation ou même de la conséquence d’une conduite considérée comme nuisible et non tolérée. Dans cette définition, la sanction représente le dépassement d’une certaine limite fixée après laquelle l’acte en lui-même