Surhomme

Ludwig Feuerbach, « L'homme créa Dieu à son image »[16], Dieu comme projection des désirs de l’homme ; Karl Marx, qui conçoit toutes les croyances religieuses comme « opium du peuple » ; Friedrich Nietzsche, avec ses concepts d'esprit libre, de surhomme et de volonté de puissance. L'athéisme philosophique peut aller d'une critique radicale de la religion jusqu’à une attitude de recherche ou d'interrogation constructive sur l'existence de Dieu, ce qui fait partie de la légitime spéculation philosophique

d'Apollon, digne d'un "musée". 5eme partie (Ligne 22 à fin) "son élan" => Gestes puissants, puissance physique. "gonflement des muscles", "montagne de chair" (Métaphore), "roulant, durcissant" => Le corps est pratiquement celui d'un héros, d'un surhomme, d'une force impressionnante : il "enfle". "la clarté autour de lui" => émet un halo de lumière, brille, à l'image d'un "Bon Dieu", "tout-puissant", "beau" => quasi épique, héroïque.

par ses actions. C’est donc la mémoire de son geste qui lui confère une immortalité plus ou moins durable auprès des vivants. Selon les cultures, un héros étymologiquement est un demi-dieu (origine du héros), un personnage légendaire, un idéal, un surhomme ou simplement une personne très courageuse, faisant preuve d'abnégation sans rien attendre en retour. Le genre de héros que nous choisissons peut changer selon les périodes, au fil du temps, mais rechercher ce qu'il y a d'héroïque parmi nous reste

but commun et d’avoir les mêmes lois à suivre. (Contrat social) Nietzsche Il méprise les faibles. Il n’y pas une possibilité d’égalité. Il veut tasser les vielles valeurs pour les remplacer par des nouvelles. On part de la bête pour devenir le surhomme. Il faut arrêter de nier qu’on était des animaux. Il faut suivre nos instincts de vie. Il faut nous assumer en tant qu’animal. On est conditionné par nos instincts et nos pulsions. On ne plus avoir les mêmes valeurs que celle du passé, avec la société

d'une pratique sociale. Il est porté à l'origine par une tradition, il se peut aussi qu’un mythe soit un être imaginaire dont plusieurs traits correspondent à un idéal humain. Un héros est un personnage réel ou fictif de l’histoire un idéal, un surhomme ou tout simplement une personne courageuse. Afin d’illustrer cette notion, nous avons étudié, au cours de l’année, deux documents, l’un sur la légendaire Oum Kalsoum et l’autre sur Gamal Abed Nacer, une figure de la résistance. Alors, quel est

surnaturelles Le héros est personnage réel ou fictif de l’histoire, c’est un personnage exemplaire de la mythologie humaine ou des arts selon la culture le héros peut prendre différentes formes : un demi dieu, un personnage légendaire ; un idéal, un surhomme ou simplement une personne courageuse Saint exupery aborde le sujet de l’ héroïsme dans le roman de vol de nuit par le biais des personnages Rivière d’une part et Fabien d’autre part : L’héroïsme de Rivière se caractérise par des décisions solides

de Samivel n'a pas vieilli d'une ligne et demeure l'un des plus grands classiques de la littérature alpine. Le narrateur et ses deux amis - Bob le bricoleur impénitent et François le distrait - forment une cordée ordinaire. Ce ne sont pas des surhommes, seulement trois amis en vacances s'initiant à l'alpinisme. Ils connaîtront de multiples péripéties, souvent cocasses, parfois tragiques, mais toujours racontées avec l'humour, la malice et la poésie qui sont le propre de l'auteur, et dans lesquelles

responsable de son ignorance) * Sénèque : (stoïcien) * homme n’est pas naturellement mauvais mais ses passions le conduisent au mal. * Nietzche : * mal (obstacle envoyé par dieu) permet à l’homme de se dépasser car il est libre surhomme (Ubermeinch) * refus du normatif : « dans quelles conditions l’homme s’est-il inventé ces jugements de valeur de bien et de mal ? » * « tout ce qui ne vous tue pas, vous rend plus fort » * Leibniz (philosophe optimiste théorie

« il court à eux, il en tue trois de sa main, il blesse même l’amiral » (pg7). => très actif => répétition du pronom « il » lui donne le don d’ubiquité - Hyperbole : « Il y vole en quatre bonds » (pg3) , « Il en tue trois de sa main »(pg7) => SURHOMME, efficace - Termes valorisants : « courage »,  « valeur » (pg7) - Registre épique : Valorisation du personnage et disproportion des forces : « quelques blessures légères » (pg7) => invulnérabilité 3) Le ridicule

mythe d’expression et un mythe de projection, réaliste et utopique tout en même temps. Le Tour exprime et libère les Français à travers une fable unique où les impostures traditionnelles (psychologie des essences, morale du combat, hiérarchie des surhommes et des domestiques) se mêlent à des formes d’intérêt positif, à l’image utopique d’un monde qui cherche obstinément à se réconcilier par le spectacle d’une clarté totale des rapports entre l’homme, les hommes et la Nature. Ce qui est vicié dans le