Surhomme

Dans toute l’histoire de l’humanité, on a cru à un « Dieu » : un être parfait, incarnant la perfection, qui aurait tout créé, qui serait présent partout et qui saurait tout; se rapprochant du surhomme annoncé par Zarathoustra et développé par Nietzsche mais, différent par le fait que le surhumain n’est pas un être suprême. Aujourd’hui, on croit toujours à un « Dieu » mais, la croyance de celui-ci n’est pas présente chez autant de gens. Pourtant, si tous étaient conscients de la théorie que Descartes

la foi, dépassant le ressentiment et la volonté de néant qui dominèrent l'histoire de l'Europe sous l'influence du christianisme ; ceci notamment par l'affirmation d'un Éternel Retour de la vie et par le dépassement de l'humanité et l'avènement du surhomme. L'exposé de ses idées prend dans l'ensemble une forme aphoristique ou poétique. Peu reconnu de son vivant, son influence a été et demeure majeure sur la philosophie contemporaine de tendance continentale, notamment l'existentialisme et la philosophie

que seule peut offrir la femme, absolutisation de l’amour et consécration à lui de son existence ; la rédemption redevient possible ; * refus fréquent de la contrainte, rejet des limites, accès à une grandeur surhumaine et presque divine, le "surhomme" de Nietzsche n’est pas loin. CONCLUSION : Au début du 19eme siecle, dom juan est marqué par l’instabilité : souffrance et le mal de vivre. Mais ceci va changer au cours du 19eme siecle. Le défit religieux du comportement de Dom juan n’est

les idées de l'ennemi représenté par les personnages. L'art de l'affiche était une arme de propagande privilégiée : • Les affiches du camp national utilisaient des slogans sur l'unité de l'Espagne, la foi2 et le catholicisme et le prototype du surhomme. De même, des symboles fascistes ou triomphalistes de base, tels que l'aigle3 ou le joug4 et les flèches, ainsi que la croix gammée nazie (orientée dans la direction opposée à celle de la tradition), sont apparus. • Dans les affiches du camp républicain

heureux et en harmonie). « L'utopie est la vérité de demain. » Victor Hugo 2 L’utopie dans Robinson Crusoé L’idée à la base du roman de Daniel Defoe est l’utopie civilisatrice : Robinson Crusoé en est l’archétype. Il n’est pas un surhomme. Il est un précurseur, exprimant l’idée que la bonté n’est ni dans l’inné (la nature) ni dans l’acquis (la culture) mais est une affaire de personne. On en vient donc à l’opposition de Robinson, modèle de l’homme civilisé et incarnation de la culture

confièrent souvent l’exécution de leurs dernières volontés ». Nous avons là une phrase dont l’idée invraisemblable voir absurde. De plus, il rajoute l’adverbe « souvent » qui donne appui au caractère un peu fictif de cette phrase. C’est presque un surhomme ! « Les pauvres pleurèrent sa perte lorsqu’il mourut » sans doute pour laisser sous-entendre son immense générosité. Il est connu de tout le monde lorsqu’il dit que « toute la ville fut attristée » et d’autant plus aimé par tout le monde, ligne

figure héroïque d’un martyr puisqu’il engage sa vie pour une cause sacrée ; aussi se présente-t-il comme un prophète : sa parole provient d’une instance qui le dépasse et devient donc irréfutable. Comment peut-on alors se soustraire à l’appel de ce surhomme : héros national qui se donne pour sauver son peuple ? Comment ne pas suivre son ordre et participer avec lui au devoir sacré ? L’art d’Achille Mauzan est mis d’une manière admirable au service de la propagande italienne et a pu certes convaincre

On peut le voir grâce à sa mâchoire protubérante, à sa chevelure blonde et bien coiffée. Sur cette affiche Mussolini évoque la virilité, le surhomme et donne une vision guerrière de l’Italie et montre aussi au monde qu’ils sont puissants.Le Parti de Mussolini a de grandes ambitions. Mussolini veut un pays fort et puissant dans tous les domaines. Il a une obsession de la grandeur et cela peut

vie, source de toute valeur 16 2. L’évaluation des valeurs 17 3. La généalogie de la morale : morale des forts et morale des faibles 17 4. Par-delà bien et mal 18 a. La sagesse tragique 18 b. L’éternel retour 19 c. Le surhomme 19 5. Nietzsche et le nazisme 19 Conclusion 20 Classification des théories morales 20 Le fondement de la morale 21 La source de la moralité 21 Annexes 21 Quelques idées supplémentaires 21 Le taoïsme 21 Le pardon 21

extremes entre lesquels se constitue la cité des hommes : comme un pion isolé sur un jeu de dames, dit Aristote, a l’inverse meme de la prudence (sophrosyne) qui constitue l’essence de l’homme comme animal raisonnable. Le Destin est la marque du surhomme et de la bete. Pour le Grec, le destin ne peut que donner lieu a une procédure d’expulsion ; c’est ainsi que Platon chasse le poete de la cité, car il introduit par ses chants a la gloire des héros tragiques la disproportion et le danger d’une trop