Surintendant des finances

alors maîtres des eaux et des forêts. Il a entre-temps participé aux réunions littéraires qu’animait le vieux poète Mainard. La Fontaine ne peut s’adonner à l’écriture qu’à partir du moment où il trouve des protecteurs. Ce sera d’abord le surintendant des Finances, Nicolas Fouquet, qui lui donnera une pension. Lorsqu’il est arrêté et emprisonné sur l’ordre du roi en 1661, la Fontaine reste un temps sans protecteur puis parvient à entrer au service de la duchesse douairière d’Orléans en 1664. Après

père après ses études mais il est plutôt intéresser par la littérature. Au lieu de suivre ses études, il se dispersait vers la littérature. Sa 1ére pièce de théâtre a était sans succès. En 1658, il entre au service de Nicolas Fouquet, Surintendant des Finances, auquel, outre une série de poèmes de circonstances prévus par contrat - une "pension poétique" - il dédie le poème épique Adonis tiré d’Ovide et élabore un texte composite à la gloire du domaine de son patron, le Songe de Vaux, qui restera

vers la Salpetrière. Le grand architecte Phillippe A. Delorme fut chargé de reconstruire un arsenal avec une nouvelle fonction celle de palais de justice. Pour l'anecdote, ce palais de justice accueillit le procès de Nicolas Fouquet, surintendant des finances de Louis XIV: alors que Fouquet menait une brillante carrière de ministre, renflouant les caisses de l'État, il fut arrêté et jugé, sous les ordres du Roi, pour vol d'argent. Le procès dura trois ans et tous les jugements étaient en faveur

il souffrait aisément la mauvaise humeur de ses amis, il ne leur disait rien que d'obligeant, et ne se fâchait jamais, quoiqu'on lui dit des choses capables d'exciter la colère et l'indignation des plus modérés. Monsieur Fouquet alors surintendant des Finances lui donna une pension, et lui fit beaucoup d'accueil ainsi qu'à ses ouvrages, dont il y en a plusieurs où il l'a loué très ingénieusement, et ou les beautés de sa maison de Vaux-le-Vicomte sont dépeintes avec une grâce admirable.

première comédie : l’Eunuque, adaptée du poète latin Térence. La mort de son père, en 1658, le laisse dans une situation financière inconfortable qui le conduit à chercher un protecteur. Il le trouve alors en la personne de Nicolas Fouquet, surintendant des finances pour qui il compose plusieurs œuvres dont des ballades, des sonnets et le poème héroïque Adonis en 1658. Le poète fréquente alors les sociétés précieuses et rencontre d’autres grands artistes dont Charles Perrault et Molière. Il vit entre

Mazarin premier ministre de la France, maître de la France depuis qu’il a triomphé de la Fronde et parrain de Louis XIV meurt mais en donnant des recommandations à son filleul en lui disant de se méfier du surintendant Nicolas Fouquet. Ce texte est un extrait des Mémoires sur les affaires de finances de France pour servir à l’histoire datant de 1663 de Jean-Baptiste Colbert. Jean-Baptiste Colbert (1619-1683) fut présenté par Mazarin à Louis XIV. Mazarin avait une confiance aveugle en cet homme d’une

écrivain et poète français du XVIIème siècle jouant un rôle important dans la littérature française. Pour autant le roi Louis XIV, ne pardonnera pas à l'auteur d'avoir oser intervenir en 1661 pour libérer de prison son protecteur Fouquet, surintendant des finances. La Fontaine eut tout de même de Louis XIV une place d’académicien en 1694, 1 an avant sa mort. Il est actuellement connus grâce à ses Fables mettant en scène principalement des animaux anthropomorphes. Elle contient à chaque fois une morale

Jean-Baptiste Colbert (29 août 1619 6 septembre 1683, Paris) fut contrôleur général des finances de France de 1665 à 1683. Il entre au service du roi de France Louis XIV, à la mort de son protecteur Mazarin. En concurrence avec Fouquet, il pousse le roi à disgracier son rival. Inspirateur et promoteur d'une politique économique interventionniste, le colbertisme, selon laquelle il convient de favoriser activement le développement du commerce et de l'industrie en France par la création de fabriques

Plan de l’expo : l’arrestation de Fouquet INTRO : « jamais dissipateur des finances royales, écrivit Voltaire, ne fut plus nobles et plus généreux que ce surintendant .jamais homme en place n’eut plus d’amis personnels, et jamais homme persécuté ne fut mieux servi dans son malheur. Son nom est parfois orthographié avec un c (Foucquet). qui mena sous le règne de Louis XIV une politique de rétablissement des finances publiques, il ambitionnait de devenir principal ministre à la suite de son maître

le plus longtemps et le monarque qui a régner le plus longtemps en Europe. Madame de Lafayette écrit L'arrestation de Fouquet, après qu'elle est eu lieu, donc après le 5 septembre 1661. Elle y développe les prémices du complot contre le surintendant des finances, et les conséquences de l'arrestation de Nicolas Fouquet. Elle raconte la surprise de l'arrestation, et les diverses problèmes que posaient Nicolas Fouquet, suite à sa trop grande puissance dans le royaume. C'est ainsi que nous pouvons nous