Surmortalité

av JC Premières descriptions par les grecs qui l’ont baptisé cancer à cause de la douleurs ressemblant à celle des pinces d’un crabe Quelques chiffres Environs 280000 nouveaux cas par ans en 2000 (en 1980 178000 nouveaux cas soit + 60%) Surmortalité en Picardie de 10% (consultations trop tardives) Deuxième cause de mortalité après les maladies cardiovasculaires Trois types de cancers sont en augmentation: Le cancer du sein, les cancers liés au tabagisme, le cancer de la peau OMS: estime

diabète. En effet, le risque d'amputation est multiplié par 10 à 30 par rapport au sujet non diabétique. La plupart de ces lésions démarrent par un ulcère du pied post traumatique ou chronique qui va s'infecter secondairement puis se gangrener. Une surmortalité dans les suite d'amputation, avec 50% de décès à 5 ans. On s'attend à une multiplication par 4 de nombre de pied diabétique à traiter dans les 10 ans à venir. II - Physiopathologie Les lésions du pied apparaissent sur un diabète évolué souvent

humain est lourd -600 000 victimes (contre 1,4 million pour la 1ère GM) -France ne fait pas partie des pays les plus touchés -proportion élevée de victimes civiles (près de la ½) -La France connaît un déficit démographique: baisse de la natalité, surmortalité indirecte, migrations A. Un pays ravagé et meurtri • Un pays traumatisé par la violence de la guerre -traumatisme lié aux massacres perpétrés lors du repli allemand -l’intensité des bombardements, l’utilisation de nouvelles armes -nombreuses

prolongement de deux années, à l’exclusion de toute autre modification. Les lois d’invalidité ont donc été prolongées de 59 à 61 ans et celles d’incapacité de 64 ans à 66 ans. Le BCAC a étudié la table de mortalité aggravée qui serait plus adaptée à la surmortalité des invalides entre 60 et 62 ans. Les conclusions sont que la table la plus adaptée est la TH00-02, majorée de 50%. Une comparaison entre la TD88-90 et 150% de la TH00-02 a montré que la TD88-90 restait bien adaptée au provisionnement c'est-à-dire

sortir de la guerre quelques 50 M de morts, majoritairement des civils. A cela il faut ajouter un phénomène déjà connu depuis la Première guerre mondiale, à savoir le déficit démographique : la baisse de la natalité pendant (sauf exception), la surmortalité (conditions de vie, épidémies) ont provoqué un déséquilibre visible dans n’importe quelle pyramide des âges. A cela il faut ajouter le phénomène des réfugiés, lui aussi déjà constaté pendant le premier conflit mondial mais qui prend là un phénomène

condition ouvrière et ses difficultés : les cadences de travail, le chômage, le licenciement, la maladie, le niveau des salaires, les accidents,… En effet, depuis la mise en place de l’industrialisation au siècle précédent, on est en présence d’une surmortalité chez les ouvriers spécialisés. Ce partage de la vie quotidienne des ouvriers, a permit à ceux-ci d’avoir une autre vision de l’Eglise, une Eglise plus proche d’eux. L’Eglise est donc entré à nouveau dans la vie des ouvriers ce qui lui offre de

rentrés plus tard dans le conflit. (300 milles morts qui ne sont que des pertes militaires). Nous pouvons constater que les pertes peuvent varier. 1-3 De lourdes séquelles démographiques. Aux victimes directes du conflit, il faut ajouter la surmortalité liée à la pénurie. Prenons l’exemple de la France, de 1946 à 1948, les français auront encore plus faim que durant la guerre. La ration alimentaire ne sera supprimée qu’en 1949. Les populations ont subit un vieillissement et une féminisation dû

africaine, européenne, indienne). La région Guadeloupe présente des spécificités démographiques telles que des caractères sociodémographiques, une part non négligeable des moins de 20 ans, un taux de natalité supérieur à celui de métropole, une surmortalité infantile, la tertiarisation de l’économie et l’éco-référence du PIB avec trois secteurs majeurs tels que le tourisme, l’agriculture et l’industrie.

dit en passant, rend presque ridicules les craintes quant à une possible invasion de « plombiers polonais ». Dans la plupart de ces pays, la population a déjà commencé à baisser. Le phénomène est spectaculaire en Russie, où il s’accompagne d’une surmortalité masculine qui a réduit l’espérance de vie à moins de 60 ans : il naît aujourd’hui chaque année deux fois moins de Russes qu’il n’en meurt. 2. Cette évolution s’accompagne, chacun le sait, d’un vieillissement accentué ; la part des moins de 20

toujours des captifs dont personne ne voulait à cause de leurs état de santé, de leur âge, ou de leurs aspects. Le vendeur s’ingéniait donc à les insérer dans des lots pour lesquels il consentait des ristournes avantageuses. Dans les habitations, la surmortalité infantile, les maladies et les mauvaises conditions d’hygiène de l’époque entrainait un taux de mortalité de l’ordre de 50 pour 1000. En effet, en plus de la mortalité élevée due aux difficultés d’adaptation et aux conditions de travail usantes