Surmortalité

retentit également sur la qualité de vie, elle influe sur l’estime de soi, l’intégration puis l’évolution sociale, elle est à l’origine de stigmatisation et de discrimination. L’obésité apparue durant l’enfance est associée chez l’adulte à une surmortalité, principalement d’origine cardiovasculaire. L’obésité est une source d’inégalité sociale de santé. [...] La prévention doit tenir compte de la diversité des facteurs qui contribuent au développement de l’obésité : évolution des modes de vie (alimentation

population a aussi souffert de séquelles démographiques, entraînant le déficit de naissances, les couples ayant été séparés, les enfants ne sont pas nés. De même il y a aussi la malnutrition, rendant sensibles la population aux maladies, d'où une surmortalité. Les sociétés sont féminisées, les hommes mourant plus à la guerre, de même, la population vieillit à cause du manque de naissances. Le tout entraîne alors une reconstruction qui s'annonce difficile. On fait donc appel à une main d'œuvre étrangère

Grande Alliance ? Annonce du plan : I. Un traumatisme sans précédent. A. Un lourd bilan - Les pertes humaines Doc 1 p. 26 un désastre démographique Plus de 50 millions de morts : victimes civiles majoritaires La baisse de la natalité, la surmortalité liée aux privations pendant le conflit provoque un déséquilibre durable des pyramides des âges Trente millions de réfugiés La déportation, les bombardements des villes et l’expulsion à la fin du conflit des Allemands (12 millions) et des Japonais

mais pas de preuve. On pense que ce qui a éteint l’espèce est un phénomène de sélection. De plus, leur alimentation est beaucoup plus carnée. Elle est sujette aux intempéries et on pensait que les femelles étaient moins  fécondes en plus de la surmortalité infantile.

souffrent de problème respiratoire, mais les populations sont avertis souvent le lendemain. Il y a donc une hausse des températures sur les villes. Avec 2003, on voit que les villes avec toit en ardoise ont plus souffert de la canicule. Conséquence : surmortalité liée à la qualité de l'air entre 3 et 5% en région parisienne dans les années 1990. Environ entre 10 000 et 15 000 décès par an peuvent être en lien avec la pollution. Les transports sont le plus responsable avec 27%, l'industrie 21%, le bâtiment

deuils : 50M de morts : 35M d’Européens, majorité de civilsè racisme des nazis sur les Slaves et les Juifs + engagement des civils dans la Résistance + déportation de M de personnes, déportés pol et raciaux + bombardements ( Londres, Dresde) + surmortalité due au froid et à la sous-alimentation. Donc M-O insuffisante et peu productive. 1) Le coût de la guerre : a. Les destructions : Europe ravagée, surtout à L’Est. Dans l’Europe de l’Ouest, surtout la FR ( champs ruinés ; usines, habitat rural

certaines périodes : XIème au XIVème s on a des progrès dans la production agricole qui explique la meilleure situation démographique. * Mais cette croissance est fragile comme le montrent les crises démographiques qui se caractérisent par une surmortalité. Les causes en sont les 3 fléaux : les pestes, la guerre et la famine, exemple : la peste noire arrive en Europe en 1347 elle fait en 5 ans entre 30 et 50% de mort. Ainsi au XIVème et XVème s alors que la mort est très présente se multiplient les

le plus meurtrier de l’Histoire : les estimations sont d'environ 60 millions de morts. Les civils sont autant touchés que les soldats voire plus à la suite des bombardements, des déportations et de la volonté d’extermination. Il faut ajouter la surmortalité des enfants et des personnes âgées à cause de la sous-alimentation et de l’impossibilité de soigner correctement les épidémies. Quelques pays ont subi des pertes épouvantables. En Pologne, 18% de la population a disparu. Là où les pertes sont très

les pays les plus touchés. Mais la France, elle-même, doit assumer 600 000 victimes. Ces pertes sont dues aux conséquences directes des combats, mais il faut y ajouter - quoique plus difficilement quantifiables -les pertes indirectes liées à la surmortalité de guerre. C'est-à-dire aux effets des maladies, des épidémies toujours propagées par les armées en guerre, de la malnutrition, etc. Ainsi, dans les années qui suivent le conflit, le rachitisme des adolescents est une pathologie courante

humaines ou naturelles. Dans le cas irlandais, culture vivrière de la PDT a été dévastée par le mildiou ce qui entraîna la famine, aggravée par système foncier et non-intervention anglaise. Le système jusque-là en équilibre stationnaire fut brisé → surmortalité et émigration. *La population mondiale : « évolution heurtée », par à-coups, en fonction des progrès des systèmes de production (ex. révolution néolithique entre 10000 et 5000 favorise croissance ; plus près de nous : XI – XIV è s. puis XVI –