Surpâturage

Ce phénomène représente une des catastrophes naturelles à long terme. La désertification est amplifiée par le réchauffement de la planète, et par l'extension des activités humaines telles que l'irrigation, l'industrialisation, le tourisme et le surpâturage (au Sahel notamment). Ses effets, qui résultent d'une dégradation lente des terres, sont souvent confondus avec ceux des sécheresses, avec lesquelles elle interagit. C'est un processus de dégradation des sols qui peut avoir lieu dans des zones arides

pluviométrie et de l’intensité de pâturage. Les arbres sont absents, sauf dans quelques habitats localisés. Les Géophytes sont souvent abondantes. Les gelées, le feu, le pâturage permettent la domination d’herbe et empêchent la création d’arbres. Le surpâturage a tendance à augmenter la proportion de plantes pionnières, rampante et les graminées annuelles. C’est dans les zones de transition entre la domination herbe aigre-doux que la gestion rigoureuse est nécessaire afin de maintenir l’abondance des herbes

positive est fonction de l’incrément d’une bête .Puisque l’éleveur reçoit tous les revenus de la vente de l’animal additionnel, l’utilité positive est quasiment +1 b) La composante négative est fonction du surpâturage additionnel provoque par la bête supplémentaire .Mais comme les effets du surpâturage sont partages par tous les éleveurs, l’utilité négative pour chaque éleveur qui prend une décision est seulement une fraction de -1. Ainsi, en ajoutant les utilités partielles individuelles, l’éleveur rationnel

brûlis, encore pratiquée dans certaines régions : une parcelle défrichée par incendie est cultivée pendant quelques années avant d'être abandonnée. Dans la plupart des cas toutefois, le défrichement vise à l'obtention de terres cultivables. Le surpâturage ( ou pâturage excessif ) est un autre facteur de la disparition des forêts. *Les incendies détruisent parfois de vastes surfaces, à l'image de l'incendie qui a ravagé plus de 37 000 km ² de forêts à Bornéo en 1982-83. 400 000 hectares ont disparu

érosion hydrique, et le vent, érosion éolienne, déplacent des particules de sol. Elle devient problématique lorsqu’elle est accélérée par des mauvaises pratiques de gestions des sols qui mettent ces derniers a nu un travail du sol inadapté un surpâturage ou une coupe de bois laissant un couvert végétal insuffisant en sont les principaux exemples. La diminution de la quantité de sol d’un endroit désiré vers un lieu non souhaite (ruisseaux, bâtiments…) résulte de l’érosion. 2) Les causes humaines

sur brûlis, encore pratiquée dans certains régions: une parcelle défrichée par un incendie est cultivée pendant quelques années avant d'être abandonnée. Dans la plupart des cas, le défrichement vise à l'obtention durable de terres cultivables. Le surpâturage est un autre facteur de la disparition des forêts. La surface des forêts et autres terres boisées touchées par le feu chaque année serait de l'ordre de 10 millions d'ha, ce qui représente environ 0.3 % de la surface totale des terres boisées dans

forêt et sur les terres de parcours 17 319 320 Le parcours en forêt: Cas des pays du Maghreb Karmouni Abdelouahab1 RESUME Le parcours forestier est une tradition méditerranéenne encore vivace dans les pays du Maghreb. En raison du surpâturage, la forêt souffre et la régénération y est souvent absente. Pour réhabiliter cet écosystème, les pouvoirs publics propriétaires de la forêt ont adopté une stratégie basée sur la connaissance du milieu et des hommes, sur l’organisation des populations

Abdoul Karim -Garba Adamou Ibrahim -Maman Galandi Abdoulaye -Achirou Dan Azoumi Abdoulaye -Ado Louche Souleymane Plan de l’exposé Introduction I. Accélération des processus de l’érosion a) Le déboisement b) Le surpâturage et la surexploitation II. Synthèses et perspectives sur l’ érosion a) Aménagement de l’espace b) Le reboisement Conclusion Bibliographie Introduction

est parfois difficile à établir ; la dégradation anthropique des sols (ex : réchauffement des pergélisol) peut favoriser des émissions de méthane qu'on jugera ou non naturel, de même qu'une aridification anthropique induite par le drainage, le surpâturage, la salinisation et dégradation des sols favorise des envols de poussière qu'il est difficile de différencier des envols naturels à partir des déserts supposés naturels ou originels. Principales sources de la pollution : La pollution atmosphérique

et les aires de pâturage ; l’assèchement des plans et points d’eau sous l’effet conjugué des sécheresses, des vents et des températures élevées rendant ainsi difficile l’agriculture irriguée pratiquée dans la zone ; l’ampleur du phénomène de surpâturage dans les zones du Tadress et d’In Gall liée à la pression des animaux transhumants venant du Sud ; des inondations (même si elles sont rares) dans la région comme en témoigne l’exemple de cette année dans l’Aîr où un kori ensablé a changé de