Surpâturage

contribue à l'assèchement de nappes phréatiques. Elle favorise par ailleurs la salinisation des sols. L'élevage, lorsqu'il amène à regrouper des troupeaux importants de bétail sur des surfaces insuffisantes, favorise la désertification par le surpâturage. Le surpâturage est la consommation excessive des ressources végétales d'un espace par des animaux trop nombreux, avec pour conséquence d'empêcher le renouvellement de la végétation. L'agriculture extensive occupe de grands espaces aux faibles rendements

vaccination) -grande part du cheptel en parrage naturel : limite les risques de blessure au prés , coût modéré | -Vermifugation très fréquente en raison du phénomène de surpâturage -triple vaccination pour les poulinières : coût de revient élevés | Gestion de la SFP | | petite surface , phénomène de surpâturage -pas d'autonomie alimentaire aucune production | Méthode de mise en vente | Facilitation de la commercialisation avec : - la valorisation des reproducteurs et

génétiquement modifié. Cela permet d'améliorer, par exemple, la culture d’une plante ou ses qualités nutritives. Déforestation : déboisement excessif et démesuré qui ne respecte pas l'environnement (défrichement, exploitation abusive, incendie, surpâturage). Commerce équitable : commerce équitable qui vise à assurer des revenus décents aux paysans des pays du Sud en développement (PED) par la vente directe de leurs productions aux consommateurs du Nord sans passer par les circuits commerciaux habituels

l'homme a contribué à accentuer les effets de cette longue sécheresse. Avec, la déforestation, pour répondre aux besoins des populations rurales, mais aussi urbaines (sous forme de charbon de bois, encore plus destructeur du couvert végétal), le surpâturage par la surexploitation de terres déjà très appauvries pas la sécheresse et épargnées jusque-là à cause de la mobilité des troupeaux, et l'utilisation de sols fragiles, pour pallier la diminution des ressources habituelles. Ces actions, intervenant

L'impact de ce mode d'agriculture sur l'environnement se limite au rejet de l'eau de drainage, et peut être réduit si l'on parvient à bien estimer les besoins de la plante. Cela permet de compenser un peu les dégâts déjà causés pas l'urbanisation, le surpâturage et les labours trop profonds qui sont notamment à l'origine de l'accentuation de l'érosion de 45% des sols européens et de la perte annuelle d'environ 60000 hectares de sol. Pour pallier à cette perte, la culture hors sol optimise l'espace et peut

sont pas : - Les terres agricoles subissent un défrichement ancien et des pratiques culturales qui ont de plus en plus d’impact la composition et la structure du sol. - Le maquis et la garrigue* dans les région méditerranéenne résultent d’un surpâturage ou d’un écobuage* qui ont remplacé une forêt primaire (présente avant l’action de l’homme) - Les forêts actuelles sont souvent entretenues par l’Office nationale des forêts (ONF), quelques unes sont totalement artificielles comme les Landes, une

surfaces. En effet, il y a beaucoup de zones déboisées qui sont transformés en zone agricole. 16% de la forêt Amazonienne a été convertit en culture pour le soja. Il y a beaucoup de culture qui ont comme destination l’industrie agro-alimentaire. Le surpâturage est aussi en cause car le bétail mange toute la végétation ce qui empêche sa régénération * Les concessions minières dans des zones forestières. Effectivement les ressources minières sont exploitées ce qui va empoisonnés la végétation.

climat plus rude, elles sont des zones d’intenses érosions et de concentration rapide des eaux qui forment les crues et les inondations qui peuvent être ravageuses pour les parties basses des bassins et des plaines. Le phénomène est accentué par le surpâturage et la déforestation, par l’imperméabilisation du sol par les constructions, les aires de stationnement et les routes, en particulier dans les zones de fort développement urbain et touristique. À l’inverse, l’abandon des secteurs les plus difficiles

quantité d'éléments nutritifs des végétaux, possède une structure stable et bien développée qui lui permet d'absorber et d'emmagasiner une grande quantité de pluie. Si le couvert végétal disparaît, que ce soit pour la culture ou à la suite de surpâturage, d'incendies ou d'aléas climatiques, des changements vont subvenir dans le sol. La vitesse de ce changement dépend de la température, de la topographie (le relief, forme, configuration d'un lieu), des précipitations, du sol lui-même et du mode d'aménagement

économique engendre dans certains cas des perturbations dans les équilibres écologiques, du fait de la surexploitation des ressources naturelles : émissions de gaz à effet de serre (énergies fossiles), surpompage (eau), surlabourage (terres arables), surpâturage (ressources végétales), surpêche (ressources halieutiques). Augmenter la production de biens matériels ou le transport (pour répondre à l’accroissement démographique par exemple) peut aggraver ces perturbations. Ces effets sont particulièrement