Surpâturage

du capital ligneux, et met en péril la forêt à long terme. L’autre menace principale est le surpâturage en forêt. Dans l’ensemble du Moyen Atlas le cheptel dépasse la capacité fourragère des terres de parcours, et la forêt est fortement mise à contribution pour faire l’appoint. On estime ainsi que selon les provinces, la forêt fournit 20 à 30 % des besoins alimentaires des troupeaux. Le taux de surpâturage est estimé à 50 % au moins dans les forêts de la province de Khémissat, et à plus de 30% ailleurs

économique engendre dans certains cas des perturbations dans les équilibres écologiques, du fait de la surexploitation des ressources naturelles : émissions de gaz à effet de serre (énergies fossiles), surpompage (eau), surlabourage (terres arables), surpâturage (ressources végétales), surpêche (ressources halieutiques). Augmenter la production de biens matériels ou le transport (pour répondre à l’accroissement démographique par exemple) peut aggraver ces perturbations. Ces effets sont particulièrement

développement des herbacées. On distingue deux zones où agit la force de tonte animale : • La zone de reconquête : ce sont les parcs de nuit. Ils ont une surface d’environ 3000 m2 et sont déplacés tous les deux jours. En effet, il y a un risque de surpâturage si on parque le troupeau plus de deux nuits sur un même espace : développement de plantes indésirables (plantes nitrophiles) et érosion localisée du sol. Après le passage du troupeau, on peut combiner une action de coupes manuelles suivie d’un brûlage

semblables : Des forêts de chênes verts ou de chênes liège, de pins de diverses variétés, avec de nombreuses plantes odorantes Des formations arbustives largement dégradées, maquis ou garrigues, sur d’immenses espaces. Une fragilité très grande : surpâturage destructeur des ovins, déforestation par les hommes et surtout ravages réguliers du feu. Une aire définie par une plante cultivée : l’olivier Des civilisations fondées sur la trilogie méditerranéenne, blé-vigne-olivier, associée à l’élevage ovin

connaît une érosion des sols relativement importante en raison à la fois des facteurs naturels défavorables (Relief, climat, géomorphologie, couvert végétal, etc…) et d’une forte pression humaine sur le sol et la flore (Le défrichement des forêts, le surpâturage et les pratiques culturales inadéquates). Les mesures de l’envasement dans les retenues de barrages et des transports en suspension au niveau des stations hydrologiques permettent d’évaluer la dégradation spécifique dans la zone entre 1150 et 3900

bassin méditerranéen dans les années 1940 – 60 pour faire face à des graves problèmes de sédimentation dans les retenues artificielles et de dégradation des routes et des terres. Il s’agit avant tout de mettre en défens les terres dégradées par le surpâturage et le défrichement, et de restaurer leur potentiel d’infiltration par l’arbre, considéré comme le moyen le plus sûr d’améliorer le sol. Dans le cadre de la présente étude, nous nous sommes particulièrement intéressé aux changements socio-économiques

fortement amplifiée par les feux de brousse qui Profil Environnemental de la Côte d’Ivoire - Rapport final, Août 2006 Consortium AGRIFOR Consult 6 touchent 30% du territoire. Toutefois, l’impact environnemental négatif de l’élevage (surpâturage, feux de brousse) reste bien en deçà de celui de l’agriculture. ■ En 1900, la Côte d’Ivoire disposait d’un couvert forestier de 16 millions d’hectares. La croissance économique enregistrée jusque dans les années 80 s’est faite au détriment de ses

durant une bonne partie de l’année, la banane, le kiwi, etc. demandant une grande quantité d'eau pour pousser. La forêt arganière d’Admine, occupe la partie nord de la plaine du Souss. Elle été la convoitise de plusieurs intervenants : l’homme, le surpâturage des chèvres et aussi la construction du nouvel aéroport " AGADIR ALMASSIRA " NB : Le formateur doit localiser avec les stagiaires sur une carte les régions administratives OFPPT/DRIF 23 Résumé de Théorie -2 Géographie touristique du

détroit de la Volga). Ces aménagements forts n’ont pas eu que des bénéfices. Ainsi, l’élevage s’est grandement réduit alors que l’économie pastorale a disparu. De plus, le passage d’un élevage occasionnel à un élevage sédentaire a entraîné le surpâturage des terres. Enfin, une mauvaise gestion des terres agricoles (surrirrigation sans canaux de drainage, entrainant l’hydromorphie des sols et donc des remontées de sel) menace les terres agricoles de stérilité. Il y a quatre grandes villes dans le

8 planètes pr pouvoir assurer cela. ® dégradation des sols: 1/4 des terres cultivables de la planète st dégradés car elles ont été excessivement soumises aux engrais Þ elle st mortes (= inutilisables), la vie végétale ne peut plus continuer ® surpâturage: les troupeaux trop important par unité de surface. La couverture herbacée disparaît petit à petit Þ les déserts s'accroissent Ex: 1972 à 2002: 4millions de tonnes d'engrais supplémentaires Þ pollution des cours d'eau, océans, nappes phréatiques