Surpâturage

est un frein à la démocratie, ainsi que le problème de la piraterie, de la corruption Les problèmes environnementaux La forêt : chaque année, on une perte de quatre millions d'hectares de forêt. On a une progression de l'aridité au Sahel ( surpâturage, déboisement ). La gestion des déchets avec des décharges à ciel ouvert. On a une multiplication de marées noires : 7 000 marrées noires dans le delta du Niger depuis 1970. Conclusion : il faut nuancer les diagnostiques pessimistes sur l'Afrique

régions montagneuses, la pratique de l’écobuage (des résidus des récoltes et des herbes sont rassemblés, enfouis dans le sol et mises à feu lors de la préparation des champs) ▪ Les cultures intensives et la déforestation (feux de brousse, surpâturage, déboisement) sur les flancs des versants et sur les vastes surfaces. En limitant l’infiltration, ces pratiques sont à l’origine du tarissement des eaux situées en aval, l’augmentation du ruissellement sur les pentes et de l’érosion de

climat plus rude, elles sont des zones d’intenses érosions et de concentration rapide des eaux qui forment les crues et les inondations qui peuvent être ravageuses pour les parties basses des bassins et des plaines. Le phénomène est accentué par le surpâturage et la déforestation, par l’imperméabilisation du sol par les constructions, les aires de stationnement et les routes, en particulier dans les zones de fort développement urbain et touristique. * À l’inverse, l’abandon des secteurs les plus

importante avec 3% des bovins, 7% des ovins et caprins et 38% du cheptel camelin. Cet élevage est aujourd'hui confronté à de nombreuses contraintes: - il est fortement dépendant des aléas climatiques; - l'environnement est gravement menacé par le surpâturage notamment autour des points d'eau dans les zones de concentration du cheptel; - l'intégration insuffisante de l'agriculture et de l'élevage avec pour conséquence la perte de fumier naturel et l'utilisation incomplète des sous-produits dans l'alimentation

complexes qui mobilisent plusieurs échelles géographiques : globale (ONU ; UE ; ONG), nationale (Etat), locale (populations). Exemple : l’arganier dans le Sud du Maroc. Cet arbre de petite taille, adapté à un milieu subaride mais menacé par le surpâturage, constituait traditionnellement la ressource oléicole des populations berbères. Puis l’huile d’argan a été gravement menacée par les huiles d’importation à vil prix (soja, notamment). Mais à présent, le Nord lui a découvert toutes sortes de vertus

sables et le chergui) ;  Intensité du phénomène d’érosion éolienne et d’ensablement des exploitations et des infrastructures ; 19 Marocdroit.com ‫موقع العلوم القانونية‬ AZEKRI NOURDINE  Dégradation très poussée des parcours par le surpâturage et la succession des années de sécheresse très sévères entraînant une insuffisance et un déséquilibre de la ration alimentaire du cheptel ;  Inexistence des eaux superficielles ;  Faiblesse des superficies agricoles utiles avec des sols squelettiques

-récupération des résidus de sarclage et d e récolte; exploitation des arbres fourragers; fauche d e s talus --. Dans cet environnement, les khars les plus pâtures sont de manière évidente les plus dégrades. Les sentes qui zèbrent les versants et le surpâturage peuvent donner naissance Q des glissements en planche de la couverture pédologique favorisés par les schistes sous-jacents lorsque le pendage est conforme. 1-4 Bilan Cérosion est généralement avancée comme un problème prioritaire dans les

Mêmes ces arbres protégés pour leurs rôles nourriciers et leurs usages dans la médecine traditionnelle subissent des menaces par le contournement des normes sociales qui les protègent. - Rareté du pâturage, sédentarisation des peulhs et surpâturage L’absence de jachère et l’extension des superficies par l’introduction de la culture attelée ont appauvri les pâturages tout en entraînant l’accroissement du cheptel. Faute de pâturage, les éleveurs se sédentarisent en associant la culture vivrière

économiques surtout en raison de l’extension des cultures, de la collecte du bois à des fins énergétiques, de la sécheresse et des incendies. La déforestation a été évalué en 1995 à environ 31.000ha de surfaces forestières perdues par an. Le surpâturage provoque une dégradation des écosystèmes sylvopastoraux et de leur biodiversité, surtout dans les régions de forte concentration du cheptel. Il en résulte l’érosion des sols, la dégradation des ressources en eau et la perte de la biodiversité, ce

contraintes comprennent, selon les régions du pays, la faiblesse et l'irrégularité des pluies; la pauvreté, la déstructuration, la salinisation, l'acidification, la toxicité et l'érosion éolienne des sols; la réduction des aires de pâturage et le surpâturage; la réduction des aires de reproduction halieutiques; la réduction des superficies de formations forestières avec la destruction du couvert végétal; l'avancée des dunes vives et la remise en mouvement des dunes anciennes; le comblement et l'ensablement