Surpâturage

soit le prix des facteurs. Graphique 5-8 : zone de substituabilité Dans la réalité, on constate de tels phénomènes, correspondant en général à une surexploitation, par manque de régulation. C’est le cas de la pêche des harengs en mer du Nord ou du surpâturage dans les pays du Sahel. Dans ce dernier cas, la quantité q de viande produite décroît en augmentant trop la taille x1 des troupeaux (point D). Avec une même quantité de terre (horizontale ED de niveau x2) et la valeur x en E, on pourrait accroître

aujourd'hui comme un patrimoine civilisation important. Aujourd'hui, plusieurs facteurs menacent les ressources biologiques et notamment les ressources génétiques et occasionnent leur dégradation . Le déboisement , l'éradication du couvert végétal, le surpâturage, l'érosion des sols , la pollution de l'air et de l'eau, l'utilisation abusive des pesticides et des engrais chimiques et d'autres facteurs sont à l'origine de la dégradation des habitats naturels des ressources génétiques et du déséquilibre des

les écosystèmes fortement dégradés l’appauvrissement du tapis végétal , non seulement traduit une perte de biodiversité et un manque à gagner en matière d’activité pastorale , il constitue de surcroît un facteur favorisant l’érosion éolienne . le surpâturage , le défrichement , la récolte anarchique des plantes qui constitue la principale source d’énergie pour les nomades sont l’origine de cette dégradation amplifiée par la sécheresse récurrentes qui connaît la région ; ainsi que dans plusieurs cas

îáëà÷íûé; ïàñìóðíûé zachmurzony surexploitation ·»ñû·ï³·áñÍáõÙ èíòåíñèâíàÿ ñðàáîòêà nadmierna eksploatacja acoperire (a cerului) supraexploatare 1171 overflow déversement ³ñï³Ñáë ïåðåëèâ przelewanie się deversare 1172 overgrazing surpâturage ã³÷³½³Ýó ³ñ³Í»óíáõÙ ñèëüíàÿ ñòðàâëåííîñòü nadmierny wypas 1173 overland flow 1174 ox-bow écoulement de surface méandre mort ٳϻñ¨áõóÛÇÝ / ɳÝç³ÛÇÝ Ñáëù ÑݳÑáõÝ ïîâåðõíîñòíûé / ñêëîíîâûé ñòîê ñòàðèöà 1175 oxidation oxydation ûùëǹ³óáõÙ

alimentaire causée par la sécheresse et la dégradation des ressources naturelles. La situation a empiré avec la croissance démographique qui a occasionné une plus grande pression sur les terres cultivables. Les périodes de jachère très courtes et le surpâturage ont dégradé les terres de pâture et augmenté l’érosion des sols. Le déboisement s’est accru et les populations, en particulier les femmes, dépensent plus de temps pour la recherche du bois de chauffe que pour la culture des champs. Les producteurs

alimentaire causée par la sécheresse et la dégradation des ressources naturelles. La situation a empiré avec la croissance démographique qui a occasionné une plus grande pression sur les terres cultivables. Les périodes de jachère très courtes et le surpâturage ont dégradé les terres de pâture et augmenté l’érosion des sols. Le déboisement s’est accru et les populations, en particulier les femmes, dépensent plus de temps pour la recherche du bois de chauffe que pour la culture des champs. Les producteurs

pour la culture ou le bétail, cet équilibre se trouve bouleversé, et les sociétés sont alors à la merci de la moindre sécheresse. De souples, les systèmes agro-pastoraux sont devenus fragiles. Les défrichements, la disparition des jachères, le surpâturage entraînent des phénomènes d’érosion et conduisent à terme à une régression du tapis végétal, voire à une véritable désertification (Exemple : au Mali, la proportion des superficies à sol dénudé est passée de 4 % en 1952 à 26 % en 1975). Ce phénomène

partie s’engage à faire des études et prendre toutes mesures pour protéger son patrimoine. L’UNESCO continue à s’intéresser aux relations entre les populations déhéritées et l’environnement et aux questions spécifiques qui en résultent, notamment le surpâturage et le déboisement, notamment à travers son programme MAB (man and biosphere). 2L’ONU et ses satellites L’action des Nations Unies dans le domaine de l’environnement à pris toute sa dimension à la suite de la première conférence sur ce thème organisée

particulier pour les millions de personnes dont la subsistance dépend directement des ressources naturelles. • Au niveau mondial, près de 40 % des terres sont dégradées à cause de l’érosion des sols, de la diminution de leur fertilité et du surpâturage. La productivité des terres décline, avec une perte de rentabilité estimée atteignant 50 % dans les scénarios les plus défavorables. • L’agriculture absorbe de 70 à 85 % de l’eau consommée et l’on estime que 20 % de la production céréalière

chaque fois que le pâturage est épuisé. La densité du pâturage étant faible, la quantité de lait disponible pour la collecte l’est aussi: hormis le périurbain «hors sol», même avec une complémentation et une densification conduisant à un certain surpâturage, on calcule qu’il n’est possible de collecter (dans le sud et sud-ouest mauritanien) qu’entre 1 et 10 litres de lait au km2. Dans un tel environnement du sud mauritanien, où la pluviométrie est de 100 à 200 mm par an, une entreprise privée mauritanienne