Surpâturage

régulièrement le sol pour l’aérer. Dans certains cas, ce sont des relations conflictuelles; et l’absence de mycorhizes peut entrainer la mort de la plante/arbre. Exemple : Dans les Alpes : abandon, baisse de la main-d’œuvre, développement de l’industrie, surpâturage… Il a fallut limiter les crues et le (verdissement) de la montagne du au déboisement. On s'est retrouvé face à un gros problème de la replantation ou du reverdissement pour empêcher l'érosion des terres de Montagnes ; C’est le rôle de RTM (restauration

le saltus (zone en culture et zone inculte) y cohabitent encore aujourd'hui avec une proportion d'inculte croissante vers la montagne, jusqu'à déboucher, comme dans les Abruzzes ou en Sardaigne, sur des sommets dénudés, au déboisement lié à un surpâturage séculaire. L'aménagement des pentes en terrasses et la maîtrise de l'eau ont longtemps été les principes directeurs de l'occupation du territoire : l'eau est surabondante lors des violentes pluies de printemps et d'automne, absente au cœur de la

doivent se déplacer sur de longues distances. Il faut donc négocier le passage sur les pistes de transhumance avec les agriculteurs sédentaires et organiser l’accès aux points d’eau et aux pâturages afin d’éviter l’assèchement des puits et le surpâturage. Ceci nécessite une organisation complexe qui ne peut être géré que par un régime communautaire excluant ceux qui n’appartiennent pas à la communauté pastorale. Dans les années 80 le consensus parmi les économistes du développement a été

Ainsi, les agropasteurs considèrent négativement la présence de certaines plantes issues du surpâturage alors que ces mêmes espèces intéressent les praticiens de la médecine tibétaine qui valorisent leurs propriétés médicinales. C’est ainsi que l’hétérogénéité des activités pastorales et de cueillettes associées à différentes échelles de valeur et à des décisions sociales – mise en défens en cas de surpâturage excessif, par exemple – favorise à l’échelle du paysage une gestion dynamique de cette mosaïque

terres arables, l’ensablement des palmeraies et des oasis de 5.600 ha par an, les insuffisances en matière d’assainissement et de traitement des eaux usées, l’envasement des ouvrages hydrauliques, l’érosion éolienne, la pollution atmosphérique et le surpâturage. Les pertes 13 en fertilité et en couches arables subies par les sols en raison de l’érosion hydrique sont évaluées à environ 20.000 ha par an. L’évolution démographique (et notamment la forte urbanisation) et la croissance économique engendrent

Cévennes, envisage un pays vidé de ses derniers habitants et entièrement dévolu à la forêt et à son exploitation. Le reboisement a pris l’allure d’une épopée dans le cas de l’Aigoual, seigneur chauve des Cévennes au milieu du xixe siècle, du fait du surpâturage estival. Georges Fabre (1844-1911) en est le héros : polytechnicien, major de l’École forestière de Nancy, il choisit la Lozère en 1868, le Gard en 1875, et se consacre à l’Aigoual jusqu’à sa mise à la retraite, en 1908. Interprétant de manière

Cévennes, envisage un pays vidé de ses derniers habitants et entièrement dévolu à la forêt et à son exploitation. Le reboisement a pris l’allure d’une épopée dans le cas de l’Aigoual, seigneur chauve des Cévennes au milieu du xixe siècle, du fait du surpâturage estival. Georges Fabre (1844-1911) en est le héros : polytechnicien, major de l’École forestière de Nancy, il choisit la Lozère en 1868, le Gard en 1875, et se consacre à l’Aigoual jusqu’à sa mise à la retraite, en 1908. Interprétant de manière

est, dans de nombreux cas, accompagnée de la destruction des sols ou de la désertification. Les activités humaines qui entraînent la désertification sont principalement liées à l’agriculture. En effet selon les spécialistes de la question: - le surpâturage détruit le couvert végétal qui protège les sols contre l’érosion ; - la surexploitation épuise les sols ; - le déboisement détruit les arbres qui maintiennent la terre sur le sol. 4- La pollution de l’air La qualité de l’air est détériorée par

sols relativement riches en matières organiques, ainsi que les sols minéraux bruts. Notons enfin, que l’activité humaine concourt fortement à l’érosion du sol, et ce, par la destruction de la couverture végétale, l’extraction des cultures et le surpâturage. Les ressources minières et énergétiques Le sous-sol marocain ne recèle pas moins de 12 substances minières faisant l’objet d’une production régulière (phosphate, zinc, plomb, manganèse, fer, cobalt, cuivre, barytine, argent...) A ceci, il faut

population mondiale). -L’exploitation abusive des ressources forestières par l’homme (besoins croissant en combustible ligneux. -Le passage fréquent des feux de brousse (au Maroc par exemple, les incendies dévastent prés de 3000 hectares /ans). -Le surpâturage. -L’émondage abusif de certaines ligneuses appâtées par le bétail. -Effet de l’industrie par le dégagement de fumée d’où l’effet de serre. III/-CONSEQUENCES : Le phénomène de la désertification engendre des conséquences qui sont à la fois d’ordre