Surpâturage

forêts, des sols et des oasis. Biodiversité Avec plus de 24500 espèces de faune et près de 8000 espèces de flore, le Maroc occupe une place de choix, après la Turquie, en matière de diversité dans le pourtour méditerranéen. La déforestation, le surpâturage, l’urbanisation et la pollution constituent les causes majeures de l’appauvrissement de la biodiversité du Maroc et de l’extinction de certaines espèces. Pour préserver cette biodiversité, 10 parcs nationaux ont été créés, répartis sur une superficie

ce paysage est purement anthropique ; il est lié à la technique de cultures sur brûlis avec protection active des arbres indispensables, or il couvre d’immenses étendues. La garrigue est un paysage relique hérité de la désertification liée au surpâturage de l’آge du Cuivre. Actuellement, faute de moutons, ces paysages évoluent vers une banale chênaie. La grande plaine de l’Europe du Nord est-elle naturelle ou liée aux essartages et autres déforestations antiques et médiévales ? Moins ravageuses

de plusieurs facteurs entraînant la pollution tels que : les rejets liquides, domestiques et industrielles et les rejets gazeux du secteur de l’industrie et du transport, l’insuffisance du réseau d’assainissement, le déboisement massif et le surpâturage en milieu rural.., etc. De ce fait, la région a réalisé en 2005 des travaux et des actions pour la protection de l’environnement et qui sont: L’installation des stations de surveillance de la qualité d’air à: El Jadida, Jorf Lasfar, et Safi

terres de la planète (soit 3,6 milliards d’hectares) et coûte tous les ans 42 milliards de dollars en perte de productivité, selon le Rapport sur le développement humain (1996) du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Le surpâturage est la principale cause de la désertification, les parcours représentant 90 % des terres qu’elle atteint. Le déboisement et la surexploitation des terres, entraînant en fin de compte l’érosion, ainsi que l’insuffisance du drainage lors de l’irrigation

fluctuations du marché. Le Burundi a une densité de 271 habitants au kilomètre carré, la deuxième en Afrique. Cette pression démographique est à l’origine de la détérioration de l’environnement, qui se manifeste par l’érosion du sol sous l’effet du surpâturage, l’exploitation agricole de terres marginales et la déforestation. Ces facteurs, à leur tour, réduisent la production agricole. Néanmoins, l’agriculture de subsistance constitue la principale source de nourriture et de revenus pour la plupart

en Afrique centrale – et toutes deux sont bien plus menaçantes que le Dust Bowl qui ravagea le Middle West américain dans les années 1930. Dans le nord de la Chine, quelque 24 000 villages ont été abandonnés ou se sont dépeuplés à mesure que le surpâturage détruisait les terres et que les dunes de sable envahissaient les cultures. En Mongolie ou au Lesotho, l’érosion entraîne l’abandon des terres cultivées. Résultats : la disette s’étend et la dépendance à l’égard des importations s’accroît. Haïti

la déforestation rapide est particulièrement délavée par les pluies tropicales. Globalement, l’agriculture est responsable de la dégradation de 28 % des près de deux milliards d’hectares de terres dégradées par l’activité humaine, alors que le surpâturage est responsable de 34 % et la déforestation de 29 %. 1.2.4. L’eau Les ressources en eau douce propre sont indispensables à différentes activités humaines : boire, cuisiner, se laver, irriguer les terres, alimenter l’industrie, mais aussi à la

progressives de terres fertiles constituaient des facteurs sous-jacents importants.15 La baisse de la disponibilité en terres fertiles et en eau a été aggravée par l’arrivée de déplacés venant de zones touchées par la guerre civile au Sud-Soudan. Le surpâturage et la déforestation ont réduit la couverture végétale, entraînant une diminution du volume et de la qualité des terres arables. Le manque d’arbres et de végetation, à son tour, a ébranlé les protections naturelles contre l’avancée des sables. Qui

nécessitent donc la présence d’un couvert végétal le plus permanent possible et qu’il convient de protéger contre plusieurs pratiques, facteurs de dégradation de la végétation et des sols (défrichements, feux de brousse, coupes abusives de bois, surpâturage, …). D. Exploitations agricoles La petite exploitation agricole familiale constitue l’unité de base de l’agriculture ivoirienne. 23 Une enquête réalisée par l’ANADER en 1997 et publiée en 1998 permet de décrire les grandes caractéristiques

conditions climatiques qui se caractérise par la sécheresse ou déficit hydrique occasionne la disparition de certaines formations végétales, consécutivement à la baisse de la nappe phréatique. La dégradation induite par les animaux résulte du surpâturage lié principalement à la transhumance et au mode extensif de l’élevage. Les facteurs anthropiques qui sont du fait de l’homme tournent autour : ➢ Des feux de brousse qui détruisent chaque année la presque totalité du tapis herbacé ;