Susan Strange

and so if the State had lost power. But in order to do that, we first need to define what sovereignty is. For Susan Strange, sovereignty is based on the power of a state. She defined power as “the ability of a person or a group of persons so to affect outcomes that their preferences that their preferences take precedence over the preferences of others”[3]. From that definition, Strange explained that the power is based on 4 structures: the structure of security, the financial structure, the structure

guerre préventive Puissance comme expression de l'intérêt national Morgenthau Force et puissance Aron. Sépare critères en 4 catégories tournant autour de la force militaire Soft power Nye. Usage de la force = contre-productif Puissance structurelle Susan Strange, 4 piliers : sécurité, financiers, économiques, savoir Substitue la sécurité à la puissance Kenneth Waltz Sécurité sociétale Caractéristiques de la diplomatie Ulman et Buzan Public / direct / Multilatérale / parfois privé (nouveaux acteurs)

influence individuelle. Les multinationales sont les vecteurs incontournables de la globalisation économique et financière. Leur rôle est devenu si important que l'on parle au début du xxie siècle de « diplomatie triangulaire »[réf. nécessaire] (Susan Strange), c'est-à-dire de relations entre gouvernements, entreprises et entreprises-gouvernements. Pour Robert Cox, la puissance n'est pas simplement une question de souveraineté, d'armée ou de territoires, mais une combinaison complexe d'ordres économiques

système mondial et de tous les acteurs qui y 3 4 M. Hardt et A. Negri (2000), Empire, Editions Exils Essais, Paris, (559p), p236. J.P. Nettl (1968), The State as a Conceptual Variable, World Politics, vol 20, n°4, juillet, (pp. 559-592), p563. 5 Susan Strange (1988), States and Markets, Pinter, Londres, (266p ), p.16. 3 ont un rôle et qui y exercent une certaine forme de pouvoir. La discipline, une fois présentée, constituera un cadre d'analyse précieux permettant d'étudier l'évolution de l'Etat-nation

la théorie de la stabilité hégémonique à la théorie des régimes internationaux : l’école réaliste américaine : 27 A) La théorie de la stabilité hégémonique : 28 B) La théorie des régimes internationaux : 29 III) Le pays britannique de Susan Strange : 31 A) Les 4 structures du pouvoir : 32 B) L’approche britannique de l’EPI comme méthode de diagnostic : 34 Economie internationale : Revues : * Cahiers français. * Problèmes économiques. * Economie internationale. *

système monétaire mis en place à Bretton Woods. Pour Robert Gilpin, un de ses fondateurs avec Susan Strange elle étudie « l’interaction réciproque et dynamique dans les relations internationales entre l’accumulation de la richesse et la poursuite de la puissance »[7]. En général les spécialistes voient l’Économie politique internationale comme une sous-discipline des relations internationales même si Susan Strange, au contraire, considérait les relations internationales comme une sous-discipline de l’Économie

augmentant leur influence individuelle. Les multinationales sont les vecteurs incontournables de la globalisation économique et financière. Leur rôle est devenu si important que l'on parle au début du XXIe siècle de « diplomatie triangulaire » (Susan Strange), c'est-à-dire de relations entre gouvernements, entreprises et entreprises-gouvernements. Pour Robert Cox, la puissance n'est pas simplement une question de souveraineté, d'armée ou de territoires, mais une combinaison complexe d'ordres économiques

moins. En faisant ça, elles contrôlent de plus en plus les moyennes de communication masse et elles diffusent la culture de consommation au niveau global, de cette manière elles deviennent un facteur déterminant sur les actions économiques. Selon Strange, cette globalisation multidimensionnelle, est en effet, un euphémisme poli pour la continuité de l’américanisation du comportement des consommateurs et des pratiques culturelles. Par exemple, mcdonald’s. Dans le domaine politique, on voit une forte

internationales) propre à chaque période, ou Susan Strange avec la notion de « pouvoir de structure » s’exprimant au sein des quatre structures majeures de l’économie politique globale : sécurité, production, finance et savoir. Stanley Hoffman [1982], Le dilemme américain : suprématie ou ordre mondial, Paris, Economica ; Joseph Nye [1992], The Paradox of the American Power. Why the World’s Only Superpower Can’t Go it Alone, Oxford, Oxford University Press ; Susan Strange [1987], « The Persistent Myth of

premier continue à être animé par des motivations classiques d’appétit de puissance et de sauvegarde de sa souveraineté, la recherche de l’autonomie prime pour le second. Cette vision de l’État se retrouve également chez l’économiste britannique Susan Strange qui s’est particulièrement intéressée à la montée en puissance des grandes entreprises multinationales et des marchés financiers libres. « Alors que les États étaient avant les maîtres du marché, ce sont maintenant les marchés qui, sur ces questions