Suzeraineté

économique, venu notamment des villes d’Italie du nord, favorise le développement des villes et profite aux grands princes territoriaux et aussi au roi. Le contexte de rétablissement du roi passe d’abord par son prestige et par la théorie de la suzeraineté imaginée par Suger qui permet de retourner au profit du roi les règles féodales. Section 1 | Le prestige retrouvé de la fonction royale Le rôle de l’Église est primordial en la matière et il est incontestable qu’elle a grandement aidé

lui l’investiture du comté c’est a dire qu’il reconnaît qu’il tient son comté du roi. Même habitude de la part de Louis VII qui après 2 ans de discutions, obtient de Louis Plantagenêt en 1151, l’hommage pour la Normandie. Cette affirmation de la suzeraineté royal qui s'établit au cours du XIIème siècle a été fortement aidé par deux agents : ce renouveau du pouvoir royal a été possible parce qu’il n’est jamais resté sans représentant jusqu’en 1316 la descendance en ligne direct d’un héritier en a toujours

le roi de France va devoir dépasser le morcellement, le schéma féodal, les structures vassaliques qui lient et enchevêtrent des hommes sur lesquels il n’a qu’un pouvoir limité. Reconquérir le pouvoir … à l’encontre des seigneurs féodaux (de la suzeraineté à la souveraineté, au cours du XIIIe siècle) , de l’empereur germanique, de la papauté. Pour cela, le pouvoir royal utilise le droit romain, assisté par des légistes : des juristes formés dans les universités de droit romain. Ceux-ci affirment

expéditionnaire en Extrême-Orient (1883). Après une courte guerre, l'empereur d'Annam, maître du Tonkin, se soumit: L'Annam et le Tonkin passèrent sous le protectorat français. La crise ne fut pas terminée pour autant car la Chine, qui prétendait à une suzeraineté sur l'Annam, refusa de reconnaître le traité. Il fallut faire aussi la guerre à la Chine ; celle-ci dut en fin de compte s'incliner (1885). La prise de possession des régions situées entre le territoire annamite proprement dit et le cours du

mais aussi de villes qui se sont créées au VIIIe- IXè s. C’est un modèle décentralisé Ces 3 modèles cohabitent. Ils vont rentrer en concurrence. Le modèle de l’Etat royal va apparaître comme étant le mieux. Il est caractérisé par le passage de la suzeraineté à la souveraineté. Le suzerain est un chef de guerre. Le souverain est propriétaire d’un terrain. C’est le rapport de force contre le rapport d’administration. Ce passage va caractériser l’Etat royal. Cette réalité va peu à peu écraser les villes

le symbolique et le pratique, dans la suzeraineté et la souveraineté. En effet la cour des pairs correspond parfaitement à la trame mentale dominante de l’époque : les réflexes mentaux. Les grands du royaume s’ils commettaient une faute, ils ne pourraient être jugés, examiné que par leur semblables c'est-à-dire par leur Pairs. Ainsi la cour des Pairs est bien en lien avec une époque politique : la féodalité, avec un type de rapport au pouvoir : la suzeraineté. Sa composition reflète bien les réflexes

d'écarter la menace contre ses Etats par le double jeu devra se soumettre au Roi de France par le traité de Meaux confirmé à Paris en 1229. Ce document est essentiel pour l'avenir du Languedoc et du catharisme. Non seulement, le Comte reconnaît la suzeraineté de Louis IX mais il promet de chasser l'hérésie sur ses terres. Autre clause fondamentale du traité : il marie sa fille (son héritière) au frère du Roi de France (Alphonse de Poitiers), ce qui implique à terme le retour du Comté de Toulouse dans

peuples, non plus grecs, mais celtes. Le portique ouest nous évoque bien ce moment de l'histoire, en plus d'être un lieu de réunion et de promenade à l'abri du soleil et de la pluie. Ce portique fut en effet édifié par les Etoliens, successeurs à la suzeraineté des Macédoniens, grâce au récolte de leur victoire face aux Galates (peuple celte), après que ces derniers aient saccagé la cité de Kallion en Etolie en 279 av. J.-C. Ainsi, avec les années, la Grèce passant sous le contrôle des Romains, le sanctuaire

opposition et qu’ils ont sans cesse combattus » (l. 5 à 7). A l’issue de la guerre du Péloponnèse, Sparte aurait dû rembourser au Grand Roi les sommes versées pour soutenir son effort de guerre contre Athènes, en échange Sparte reconnaissait la suzeraineté des Perses sur les cités ioniennes. Dans les faits, Sparte oublie toutes ses promesses et mène une politique anti-perse en Asie. Sparte aide d’abord Cyrus le Jeune dans sa rébellion contre Artaxerxés. Les cités ioniennes appellent Sparte au secours

tous les sujets du royaume, même le dernier des serfs dans le Bordelais. Les officiers de Philippe le Bel croyaient en ces principes encore plus que le roi lui-même44. Ces principes montrent clairement la différence entre la souveraineté et la suzeraineté. L’analyse de l’historien s’avère pertinente dans la mesure où elle présente brillamment un pan novateur au sein de la pensée politique au Moyen Age. Toutefois, cette vision fragmentée ne constitue pas un tout : il ne faut pas perdre de vue que