Suzeraineté

joue un rôle décisif dans le choix politico- religieux de l’installation de la ville, les préoccupations économiques et commerciales s’imposent dès le 13ème siècle pour l’implantation des cités marchandes portuaires. Ainsi en 1400, refusant la suzeraineté du royaume javanais de Majapahit, un prince de Palembang s’installe sur une voie de commerce international. Il en est de même pour la plupart des villes portuaires d’Asie du Sud-Est. Une fois le site choisi, l’établissement du plan de la ville

pas un tel traité qui soumet les populations au Kharâj et à la jizya. En fait ces sources parlent plutôt d’un accord global entre le prince arménien Théodoros Rshtuni et Mu’âwiya, alors gouverneur de Syrie. Ce traité, tout en reconnaissant la suzeraineté arabe, était très favorable aux Arméniens. Et les arabes ne conservèrent pas une emprise durable sur Dwin qui fut soumise alternativement à la domination byzantine et arabe. Ce ne fut qu’après l’accession de Mu’âwiya au califat que l’autorité arabe

l’Etat contemporain. C’Est-ce système qui va supplanter toutes ces autres formes qui existaient auparavant, pour en 1648 signés traités de Westphalie affirmé qu’il n’existe QUE cet Etat. L’élément clé qui va permettre cela est le passage de la suzeraineté à la souveraineté. Passage d’un lien personnel qui pouvait unir le chef et ses hommes, à un lien patrimonial. Roi des Français et roi de France. Roi des français ( lien perso avec la pop/vassaux)/ roi de France ( rattaché à un territoire, dès lors

par une simple acclamation. La succession du droit d'henes à partir de Philippe Auguste (1180-1223) est devenue une coutume qui est acceptée et reconnue par tous. Le roi est donc souverain à compter de Philippe Auguste. B/ La distinction par la suzeraineté. Les rois capétiens parviennent progressivement à se hisser au sommet de la hiérarchie seigneuriale en s'appuyant sur l'hommage lige. Ce processus est visible au travers des structures administratives locales qui tendent à contrevenir aux intérets

principautés, indépendantes, et dont les détenteurs sont parfois plus puissants que le monarque. Les rois vont chercher à établir progressivement leur autorité sur tout le royaume par l’extension de la suzeraineté tout d’abord, puis par la reconnaissance de leur souveraineté. A. De la suzeraineté à la souveraineté du roi. Les rois ne cherchent pas à lutter contre le système féodal lui-même, mais plutôt à se placer au sommet de sa hiérarchie. On affirme dans un premier temps que le roi ne tient

(politique). Il est quelqu’un qui possède un pouvoir de ban, c’est le début de la souveraineté. Ce pouvoir de ban ne concerne que les vassaux du roi et les poestes, à l’extérieur il n’est que pour les vassaux importants. § 2 : un seigneur féodal A. La suzeraineté Royale en théorie *L’abbé Suger est le conseiller du roi Louis VI Le Gros et Louis VII Le jeune : il va développer deux grande idées dans sa théorie : - le roi est au-dessus de la hiérarchie féodale qui compte au degré les grands vassaux du roi

Section 1 : La justice royale : une justice en reconstruction. Sur le plan politique, l’œuvre essentielle est au monarque de s’affirmer comme un véritable souverain. Cette conquête de la souveraineté va être longue et va se faire par étape : Suzeraineté. Le roi médiéval est en quête de pouvoir. Quelle est la marque du pouvoir politique c’est le devoir de rendre la justice (le pouvoir judiciaire). Parfois dans les esprits, les deux se confondent. Le recouvrement effectif du pouvoir judiciaire c’est

intérêt au droit romain, notamment avec le code Justinien de 529 qui est la plus grande codification de droit romain antique, les accepte parfaitement et semble même qualifier ce royaume de nouvel Empire d’Occident. Mais l’empereur garde une certaine suzeraineté romaine donc byzantine sur le royaume franc. Le roi franc reçoit d’un représentant impérial les insignes de sa charge de représentant de l’empereur. En effet les Francs « se conforment […] aux usages romains en ce qui concerne les contrats, les

dernier fera toujours preuve d’une attention particulière pour ses anciens pays héréditaires. Il agrandira encore l’héritage bourguignon :vers le sud et surtout dans le Nord (En 1521 il conquiert au sud le Tournaisis, Cambrai et il récupère la suzeraineté de la France sur la Flandre et l’Artois (Traité de Madrid 1526). Au nord Ch. Q annexe la Frise, plus tard l’Overrijssel et Utrecht et en 1536 Groningue, la Drenthe, une petite dizaine d’années plus tard (1543) la Gueldre et le Zutphen.) Profitant

des valeurs chevaleresques refuse de reculer et est fait prisonnier. Il est contraint de signer le traité de Madrid en 1526, qui ampute la France d'un tiers de son territoire mais reprend la guerre aussitôt libéré. En 1529, il doit abandonner la suzeraineté de la Flandre et de l'Artois, deux possessions de Charles Quint. Ce dernier renonce à revendiquer la Bourgogne33. C'est sous le règne de François Ier que l'Auvergne rejoint le domaine royal. Bien que combattant la Réforme dans le royaume, François