Suzeraineté

forts inefficaces. Le système féodal dans lequel les seigneurs avaient des privilèges en échange d’un devoir de protection des sujets, devint caduc. Droit En droit, un changement structurel se produisit au xvie siècle, avec le passage de la suzeraineté (société de type féodal, serment d’allégeance), à la souveraineté. Le roi contrôlait directement le royaume à l’aide d’une administration mieux structurée, surtout en France et en Espagne. Il s’agissait encore d’une administration très légère

pratiques religieuses du nord, bien avant l'apparition « officielle » des Samaritains. Le royaume de Samarie a été envahi et détruit par l'Assyrie en 722 avant notre ère, qui en a fait une de ses provinces. Le royaume de Juda accepta par contre la suzeraineté assyrienne, et survécut donc. Juda ne reprit une pleine indépendance que sous le règne de Josias (de -639 à -609)[13], jusqu'à sa destruction par les Babyloniens et à la déportation de sa population en 586-587 avant notre ère. L'origine des Samaritains :

sarrasines qui réduirent pratiquement à néant cette société cultivée et industrielle. Les Comtes de Provence réinvestissent alors l’ancien site grec. Au XIVème siècle après JC, les Niçois, lassés par des troubles incessants, se placent sous la suzeraineté de la Maison de Savoie. Ils vont y rester jusqu’en 1860 avec deux interruptions : de 1691 à 1731, le Comté de Nice appartient à Louis XIV et, de 1792 à 1814, il est rattaché à la République puis à l’Empire et devient pour la première fois le département

et Hugues le Grand. 946 : Libération de Louis IV d'Outremer, soutenu par le pape et le roi de Germanie Othon Ier. | LothaireFils de Louis IV d'Outremer | (954-986) | 954 : Sacre de Lothaire à Reims, Hugues le Grand reçoit en contrepartie la suzeraineté sur la Bourgogne et l'Aquitaine. 956 : - Mort d’Hugues le Grand, son fils Hugues Capet hérite du comté de Paris et du duché de France. - Avènement d'Otton, fils d'Hugues le Grand sur le duché de Bourgogne. 961 : Affrontement entre le

action punitive contre le Duc de Lorraine et Barrois Charles IV qui s'était allié avec l'Empereur d'Allemagne, avait surtout pour but de se saisir du Barrois; Le Roi Louis XIII apportant que le Duc Charles IV avait refusé de lui reconnaître la suzeraineté du Barrois mouvant. Le 18 juin 1632 Louis XIII partit de Ste Ménéhould à la tête d'une armée de 13 000 hommes pour se saisir du Barrois resté sans défense (Le Duc Charles IV réarmait ses troupes en Alsace en accord avec l'Empereur, en vue de prendre

• A cet égard le titre de "père des dieux et des hommes" que lui assignent régulièrement les poèmes homériques et hésiodiques ne doit pas être pris au pied de la lettre, mais métaphorise (au titre de la parenté classificatoire) une relation de suzeraineté; la Théogonie le signifie, de manière parfois plaisante: 21. C'est cet ordre sacré que méconnaît Créon lorsqu 'il laisse pourrir sur la terre le cadavre de Polynice, puis lorsqu'il prétend enfermer Antigone, vivante, chez les morts: voir Sophocle

trésor. Monnaie de Philetairos |   Philetairos |     Cependant Philetairos refuse et utilise une partie de l’argent pour réparer les murs de sa ville et lever une armée. Il paye quand même une partie de sa dette et reconnaît la suzeraineté des Séleucides. C'est un habile homme politique, il proclame l’indépendance de Pergame, sans prendre le titre de Roi pour ne pas faire ombrage à Antiochos I (280-261) le successeur de Séleucos I Nikâtor, mais c'est son portrait qu'il fait frapper

PARAGRAPHE1 : Le roi empereur en son royaume Le XIII ème siècle est essentiel, le roi de France n'a pas de supérieur, notamment remarquable avec le règne de Saint-Louis. Progressivement, au cours de cet essentiel siècle, on passe tout doucement de la suzeraineté (le roi utilise à son profit la hiérarchie féodale) à la notion de souveraineté (autre nature, caractère d'une puissance suprême, ne doit subir aucune limite, ne se limite au monde des vassaux, mais tous les ressortissants du royaume sans exception)

accumulation est contraire à la notion même de ligesse. Dans ce cas, le fief en principe redevient le critère déterminant de l’importance des obligations dues au seigneur et de la hiérarchie féodo vassalique. Section 2. L’affirmation de la suzeraineté royale §1. Le roi est un seigneur territorial et féodal À l’origine, le roi capétien n’exerce d’autorité réelle que sur le domaine royal qui s’est réduit au fil du temps. C’est un seigneur territorial et banal. Les premiers rois capétiens

féodo-vassaliques. Les spécialistes du droit de l’époque pour désigner la qualité du seigneur qui a comme vassal d’autres seigneurs → superanus (seigneurs suzerain → seigneurs dont les vassaux ont eux-mêmes des vassaux → à la tête. Plusieurs niveaux de suzeraineté) le Roi de France va vite comprendre l’intérêt de cette pratique Au-dessus de tous → suzerain de tous = le Roi de France. Les comtes, les princes, les marquis vont en profiter pour se constituer des principautés de plus en plus grandes. Ils vont