Suzeraineté

royaume de France mais détentrice de la couronne Angleterre.Philippe Auguste a voulu s'arracher à cette encombrannte vassalité, il a voulu maté cette encombrant vassal en revendiquant les terres d'Henri 2 plantagenet, il revendiqua son droit de suzeraineté et pretendit reprendre les terre au roi d'Angleterre à savoir l'Aquitaine et l'Anjou. Cela a valu l'excommunication de la part du pape, il menace d'excomunier Phillipe Auguste. Il ne se laisse pas dicter la loi par le pape et résiste, maintient

l’évolution de l’Etat et aux réflexions politiques qui s’y rapportent. Dès la fin du XVI siècle, l’organisation féodale est supplantée par des sociétés « nationales » dont l’Etat assure l’unité. Aux liens personnels organisés autour de l’idée de suzeraineté se substitue une organisation juridico administrative focalisée par le principe de souveraineté. L’autorité royale s’exerce non plus sur une population protégée ou assistée mais sur un territoire dont les habitants ont des droits et des devoirs

juridique. a. Le renouveau politique : la reconquête du sommet de la hiérarchie féodale Le génie des juristes entourant le Roi est la persuasion des vassaux que le Roi est au sommet de la hiérarchie féodale et que tout dépend du Roi. → Suprême suzeraineté 2 arguments : La fidélité due au roi : ils rappellent aux Grands Seigneurs les clauses de leur contrat. La théorie de la mouvance : les légistes remontent à l’idée que le royaume français faisait partie de l’Empire et que les fiefs que les Seigneurs

Saint-Sépulcre de Jérusalem (1009). LE DÉCLIN DU CALIFAT FATIMIDE À partir des années 1040, des revers en politique extérieure conjugués à des famines répétées multiplient les mécontentements : au Maghreb, les Zirides de Tunisie s’émancipent de la suzeraineté fatimide en 1048 ; en Sicile, les Normands s’emparent de Palerme (1072) que la dynastie ne réussit pas à reprendre ; en Orient, les Seldjoukides prennent la Syrie et Jérusalem (1070). Les Fatimides et leurs vizirs ne peuvent juguler leur déclin

parmi tous les autres. Mais le roi n’exerce pas son pouvoir dans une situation de personne à personne. Section I : L’Etat Royal, une force centrifuge : vers l’indépendance interne § 1 - Les transformations de la suzeraineté royale Le roi est d’abord un seigneur il vit sur sn domaine dont il tire sa puissance, il se distingue comme le symbole très lointain d’un roi de France. Au cours du 13ème siècle , on voit un processus de transformation se mettre

obtempérer au bout d’1 ans et 1 jours on prononce commise du fief (c'est-à-dire la confiscation, c’est le retour). Exemple : La Normandie, le vassal était le roi d’Angleterre, le seigneur était le roi de France et le roi d’Angleterre refuse la suzeraineté du roi de France, le roi de France a fait saisir la cour des paires et vu que Philipe auguste avait une armée assez grande et la Normandie fut le territoire de France. Le pacte commissoire : aujourd’hui veut dire que quand on a pas payer le loyer

vers l'Occident, l'ouvrir aux échanges de toutes sortes, en faire un creuset de cultures, la fortifier, c'est aussi affirmer l'indépendance de l'Égypte. Le pacha entend bien faire de cette province ottomane périphérique une puissance libérée de la suzeraineté ottomane, sinon en droit, du moins dans les faits. Le développement d'Alexandrie reflète ces ambitions qui animent Mehemet Ali: la formidable impulsion qu'elle reçoit au début du XIXe siècle est la traduction directe du nouveau visage qu'entend

souverains → le Roi n'est le vassal de personne, le Roi est le seigneur de tous. Suger va créer ce qu'on appellera l'hommage lige (hommage prioritaire, si le Roi de France déclare la guerre auprès d'un vassal, le vassal se met au côté du Roi). Suzeraineté => peu à peu souveraineté. Roi des français (rex francorum) → Roi de France (rex franciae). 2. La consolidation du concept moderne de souveraineté Lien entre souveraineté et Etat sera théorisé. Roi souverain, n'a aucun supérieur → théorisation :

décidés d’avoir recours à l’arbitrage pour trancher ; Ma Hubert a donné gain de cause aux PB dans la mesure où cet Etat exerçait la fonction étatique sur cette île (impôts ; visites des navires de guerre ; assistance lors de typhon ; contrat de suzeraineté sur les indigènes) L’arbitre définit ce qu’est la souveraineté selon-lui : « la souveraineté dans la relation entre les Etats signifie l’indépendance, relativement à une partie du globe et le droit d’y exercer à l’exclusion de tout autres Etats

ses arrières vassaux, c’est-à-dire les vassaux de ses vassaux. Autrement dit il lui faut s’imposer au sommet de la hiérarchie féodale comme suzerain. Et là nous allons voir la façon dont le roi s’y ai pris. § 2 Un roi suzerain La notion de suzeraineté royale remonte à l’abbé Suger, conseillers Louis vi le Gros [lol ?] dont les dates de règnes sont 1108–1137, donc au xiie siècle. D’après Suger, le roi doit être considéré comme le suzerain c’est-à-dire au sommet de la hiérarchie féodale. Celle-ci