Svt Obésité

psychologique à la nourriture : sensation de dépression, de malaise, de déprime et de « vide » entre les repas qui s’en va lorsque l’on mange. Risque accru de démence sénile et de perte d’acuité cognitive. Plusieurs indices suggéraient un lien entre obésité et démence sénile chez les obèses à un âge avancé. L’obésité peut entraîner dépression, mal-être, complexes, inhibition, rejet de son corps et de sa propre personnalité. L’individu obèse risque de souffrir de discrimination et de mise à l’écart.

Evaluation UE 3.2 S2 Projet de soins infirmiers 18 Juin 2012 1ière année Promotion 2011/2014 La personne que j’ai choisi est une femme de 86 ans qui est institutionnalisée depuis 2007 à la suite d’une perte d’autonomie et d’un diagnostique de syndrome démentiel de type Alzheimer. Ses antécédents médicaux sont la surcharge pondérale avec un IMC de 43, l’arthrose et l’arthrite, l’hypertension artérielle

HTA permanente, traitée ou non ; HDL-cholestérol ≤ 0,4 g/l quel que soit le sexe ; LDL-cholestérol > 1,60 g/l (4,1 mmol/l) ; microalbuminurie > 30 mg/24 heures. Autres facteurs à prendre en compte : obésité abdominale (périmètre abdominal > 102 cm chez l’homme et 88 cm chez la femme) ou obésité (IMC ≥ 30 kg/m²) ; HAS / Service des affections de longue durée et accords conventionnels / Juillet 2007 3 Guide ALD 8 – Diabète de type 2 sédentarité : absence d’activité physique régulière,

considérée comme obèse quand son indice de masse corporelle (poids/taille²) dépasse 30 Quelques chiffres: 50% d'adultes sont en surpoids 1 adulte sur 6 est obèse en France L’obésité apparaît dès l’âge de 6ans 18% des enfants sont en surpoids (obésité de niveau1) 4% des enfants sont obèses de niveau2 2 enfants sur 3 resteront obèse à l’âge adulte Le nombre d'enfants obèses a doublé en dix ans. b) Les risques de l’obésité: Diabète Hypertension, accident vasculaire cérébral et accident

triglycérides ou des lipoprotéines, maladies appelées "dyslipoprotéinémies". * Plus tard dans la vie lorsqu'elle relève d'une alimentation trop riche en graisses, associée aux autres facteurs de risques: tabagisme, sédentarité, hypertension, obésité etc... * Probablement, certains cancers. * Lorsqu'on a, dans sa proche famille, une personne qui a fait un infarctus, on a intérêt à faire un bilan et à vérifier, même si on est en parfaite santé, que l'on n'a pas un cholestérol ou des triglycérides

Feuille de synthèse Les démarches suivis par le groupe : Pour trouver notre sujet mon binôme et moi avons fait des recherches sur Internet afin de trouver quelques idées et quelques conseils pour mieux réussir notre TPE, puis nous avons essayé de trouver un sujet qui liait les matières économique et social ainsi que les sciences de la vie et de la Terre puis nous sommes partis sur ce sujet concernant le MacDonald. Nous avons choisit ce sujet car nous aimons bien les matières concernés et parce

INTRODUCTION Le 21 et 22 mai 2010 c’est tenu la journée Européenne de l’obésité. A cette occasion le président de la république a annoncé que l’obésité infantile serait cause nationale 2011. De plus il a annoncé le lancement d’un plan sur 3 ans afin de prévenir l’obésité chez les jeunes. Pour cela, augmenter les activités physiques à l’école, augmenter la qualité des cantines scolaires et enfin améliorer les dépistages chez les enfants à partir de 2012. Mais ces mesures seront-elles suffisantes 

familial. C’est pourquoi l’aide de professionnels spécialisés est nécessaire. aneb. Anorexie et boulimie Québec. [pdf], disponible sur :http://www.anebquebec.com/anebados/pdf/fr/troubles_alimentaires.pdf, consulté le 27/11/2012). Anorexie, boulimie et obésité qui sont les manifestations les plus graves sont des formes de souffrance distinctes, mais dont les mécanismes peuvent se combiner et, aussi, se disjoindre. (PEDINIELLI et al, 2012) Dans « trouble du comportement alimentaire », les trois

personnes âgées) Veuve, vit seule 2° étage d’un appartement à X|. A 1 fils résidant en X. Bénéficie d’une auxiliaire de vie à domicile. Sur le plan physique : Prothèses dentaires et auditives. 98,4 kg (à l’entrée). 1m65. IMC : 36 (obésité) Sur le plan psychologique : Durant son hospitalisation, Mme B. dit souvent qu’elle s’ennuie, qu’elle se sent seul et qu’elle aimerait retourner chez elle. Elle évoque aussi néanmoins la solitude qu’elle ressentait également à son domicile

écoulements, ainsi que de multiples lésions superficielles au niveau fessier et au bras droit. CONCERNANT SON ASPECT PHYSIQUE : Mme J avait un poids de 84 kilos pour une taille de 1.50m, ce qui correspond à un IMC de 37.33 (c'est-à-dire à une obésité sévère). SUR LE PLAN DE LA GLYCEMIE: Elle connaissait un épisode de diabète insulino-requérant avec une glycémie supérieure à 3. Un diabète insulino-réquérant correspond à une variété de diabète ne nécessitant habituellement pas d’insuline pour