Sylla

selon Plutarque le nombre record de 320 paires de gladiateurs[27]. Parallèlement, César poursuit son activité judiciaire, pour des causes qui flattent le courant des populares. En 64 av. J.-C., il intente des procès contre d’anciens partisans de Sylla, fait condamner Lucius Liscius et Lucius Bellienus, payés pour avoir ramené la tête de proscrits. Mais il échoue contre Catilina, les jurés se refusant à condamner un membre de la vieille famille des Cornelii[28]. L’année suivante en 63 av. J.-C.,

est tout d’abord envoyé à Rome pour étudier le droit. À l’âge de 17 ans, comme tout citoyen romain, il fait son service militaire. Il reprendra ensuite ses études en droit. En -79, il prononce le Pro Roscio Amerino : il s’attaque à un affranchi de Sylla et gagne son procès mais il va s’éloigner de Rome pendant deux ans par prudence. De retour à Rome, il épouse Terentia et lui donne un fils, Marcus et une fille, Tulia. Il continue son activité d’avocat, ce qui lui forge sa réputation et lui créer des

époque qu’il fait la connaissance de Pompée. Démobilisé à la fin du conflit en 81 av. J.-C., il revient à ses études de droit. Cicéron fait un début remarqué comme avocat en 81 av. J.-C. En 79 av. J.-C; il s’attaque à un affranchi du dictateur romain Sylla, se sentant soutenu par la nobilitas. Il gagne le procès mais juge plus prudent de s'éloigner quelque temps de Rome. C'est pourquoi il part parfaire sa formation en Grèce, de 79 à 77 av. J.-C. : il y suit notamment l’enseignement d’Antiochos d'Ascalon

Avant que l'année soit finie Catilina survécu à une autre poursuite. sur l'insistance du questeur, Marcus Porcius Caton, des hommes qui avaient profité des proscriptions de Sylla ont été accusés d'assassinat, et le flux de cas ont envahi le Quaesitio de Scicariis, le tribun assassiner, l'un des sept créée ou reconstituée par Sylla. En conséquence, les édiles ont été contraints de venir en aide aux préteurs en charge et de présider des procès pour les assassins. César, qui était étroitement lié à Pompée

est issu d'une famille de noblesse récente propriétaire de terres dans le Picenum région de l'Italie. Son père était un général puissant et le forma au combat si bien qu'à 23 ans il se vit mettre à la tête de 3 légions et combattit pour l’Empereur Sylla en Afrique et en Sicile. A seulement 25 ans il triompha et on lui donna le surnom de Magnus le grand en latin En -72 il combat et Sertotrius en Espagne puis écrase avec Crassus les troupes de Spartacus. Il repousse aussi les pirates de la Méditerranée

réconcilier tout le monde. Depuis la professionnalisation de l’armée par Marius, et la constitution de légions dévouées à leurs chefs, ceux-ci sont de plus en puissants et les luttes sont plus personnelles que politiques. Les guerres civiles entre Marius et Sylla, au début du siècle, ont donné l’exemple. b) Début de la guerre Elles débuteront en -49 avec le retour des Gaules de César, riche, couvert de gloire, possédant des légions entraînées, et bien décidé à briguer le consulat pour l’année -48, afin

Catilinaires. (texte denoncant Catilina sur sa vraie nature, puisuqu’en réalité, il voulait tuer Cicéron). -Fresque de la bellum civile * environ -150 : Tibérius et Caius Gracchus veulent moins d’injustices entre plébéiens et patriciens * Marius vs Sylla : Ils veulent le pouvoir non dans l’intérêt général mais pour le leur uniquement. Ils ont fragilisés les institutions républicaines. * Catilina vs Ciceron : Ciceron à défendu les institutions républicaines contre les tentatives de coups d’états de

l’imperium totalisant royal. Fréquente au Vème et IVème siècle, elle disparait pratiquement au IIIème siècle, sauf pendant les guerres puniques (249, 217, 216, 210, 202) et totalement après, jusqu’aux dictatures constitutionnellement aberrantes de Sylla et de César. Le dictateur est nommé par les consuls sur proposition du Sénat, investi par les comices curiates convoqués par lui-même, celui-ci doit aussitôt désigner un adjoint, le maitre de cavalerie qui lui est étroitement subordonné. Il possède

laissant peu à peu aller à l'arbitraire, ils massacrèrent indifféremment dans leur passion meurtrière bons et méchants et terrifièrent tout le monde ; et ainsi Athènes, accablée sous la servitude, fut lourdement punie de sa sotte joie. De notre temps, Sylla vainqueur, en faisant étrangler Damasippe et d'autres gens de même sorte, dont la force était faite des malheurs de l'État, qui ne le louait de ce qu'il avait fait ? ces scélérats, ces factieux, qui avaient troublé l'État par leurs menées révolutionnaires

rentrait d’un souper, précédé d’esclaves porte-flambeau. Mais la mort l’attendait à deux pas des bains de Pallacine, non loin du cirque Flaminius. Trois jours après le crime, des membres de la famille du défunt avec la complicité d’un riche affranchie de Sylla, Chrysogonus, réussirent à détourner la fortune de Roscius pour l’approprier. Pour éviter tout soupçon, ces derniers accusèrent Roscius, le propre fils de la victime, un jeune homme, dénué d'instruction, vivant dans les champs, étranger aux affaires