Syllepse

cherchant l’amour et la protection de la nature :      •    La nature est bienveillante et apparaît comme son unique bien. « mon auberge » (v7) montre que la nature lui offre le gîte et le couvert = nourriture spirituelle.      •    « doux frou frou » = syllepse (deux sens) :                                              - léger bruit de feuilles                                             - connotation féminine : spectacle rêvé qui fait de chaque étoile          une danseuse qui a un tutu faisant du bruit

change tout » Prosopopée Donner la parole à la mort ou à des objets inanimés Disparition d’un monde cruel : Voiture qui parle : «  Adieu monde cruel » Antanaclase On reprend les mots en leur donnant un autre sens Mystère -> miss terre (WWF) Syllepse Utiliser un mot à la fois au sens propre et au sens figuré Darty : « L’affaire est dans le sac » Visuel au sens propre : une affiche avec un sac Anachronisme Rupture d’un élément dans le temps Parallélisme Construction d’un énoncé en 2

et Rinne Cia, The Roma Journeys, Die Romareisen, Steidl Publisher. Un ouvrage photographique racontant les voyages des Roms, qui nous permet de savoir ce que vit ce peuple au quotidien. -Garo Morgan, Les Rroms, une nation en devenir ?, Éditions Syllepse, 2009 -Rothéa Xavier, France, Pays des droits des Roms ?, Carobella ex-natura, 2003. Ouvrage sur la situation sociale des Roms et de leur intégration en France. -Williams Patrick, Tsiganes : identité, évolution, Etudes Tsiganes, Syros Alternatives

beauté et n'ont rien à voir avec le monde du mal. Sur cette première figure se greffe une métaphore, le mal est considéré comme une plante qui a atteint sa maturité (fleur) dans le cœur de l’homme. Et sur cette deuxième figure se greffe encore une syllepse de sens (double sens), le mal, au singulier, actualisé par un article défini désigne toutes les formes de souffrance, le mal physique autant que métaphysique, le mal social (le poète s’intéresse aux êtres déchus), le mal moral (sadisme et gout du

Prolifération, écriture envahie par... = quand qqch occupe une grande partie du texte· Synesthésie = mobilisation simultanée de plusieurs sens· Unité thématique = quand un seul thème est abordé· Lyrisme = tonalité exclamative + dimension poétique· Syllepse de sens = qd mot peut être lu dans deux sens différents· Blanc typographique = commenter la présence de blancs par exemple dans un poème (silence, respiration, ellipse ?)· Horizon de lecture = ce à quoi le lecteur s’attend· Prose = forme de texte

v » et « b » : imite le bouillonnement de la vie (la sève est vivante pour Gautier). Renforcé par « bout » qui est un mot fort. L’arbre est comparé à un soldat blessé. Baume : pommade qui guérit. Et matière odorante. Sens propre et figuré : syllepse. 4ème strophe : La comparaison va se faire. Les traits communs à l’arbre et au poète sont la solitude ( " On ne voit en passant par les landes que le pin, et "le poète" est ainsi dans les landes du monde"), la souffrance ("sa plaie au flanc"

ainsi distinguer de nombreux champs lexicaux tels que le champ lexical du discours et des mots : « mots »(v.1,27,30,31,35 );   « lexique »(v.12)et « discours »v.33 ; le champ lexical des figures de style :« tropes » (v.23), « alexandrins » (v.24), «syllepse,hypallage,litote»(v.33). Ces champs lexicaux sont employés pour appuyer l'importance des mots et de la langue dans ce texte. On peut également relever toutes les mentions en rapport avec l' univers de la langue marquées les mentions d'objets ayant

au centre de l’image. De cette façon , on les met bien en évidence. Couleurs sombres, nuit c'est une toile, de la peinture à l'huile Figures de styles Métaphore : l’arbre represente l’homme Lune represente : le savoir , la lumiere Syllepse : la lune n’a rien à faire dans l’arbre Cou .

expression qui est à double-entente, un sens normal et un sens caché Voltaire quand il écrit poeshie en parlant des essais poétiques du futur Frédéric II auquel il enseigna le français, fait un rappel moqueur de son orthographe approximative. Voir aussi syllepse l’antiphrase ou la contre vérité emploi, dans une situation caractérisée, des mots contraires à sa pensée pour mieux l'exprimer. Cette figure qui sous-tend l'ironie est proche de la litote, de l'antithèse et de l'euphémisme (sur une maladresse) :

d’expression : répétitions (anaphore, tautologie : répète le même mot avec le même sens. Polyptote : utilisation de deux mots de la même famille). Emphase. Rimes banales (deux infinitifs du même groupe). Paronomase : presque homophonie. Diaphore. Syllepse.