Syllepse

à l’origine le mot signifie « faire, fabriquer ») C) Une utopie - Rime chaleureux/heureux + savoureux/vigoureux + narine/marine = Vison euphorique, les sens apportent le bien être et le bonheur. - « Charmants climats » = syllepse (Mot à pendre dans tous les sens du terme) = Les paysages envoutent le poète et le lecteur. - Description méliorative des hommes et des femmes (2ème quatrain) = Perfection utopique - « La nature donne… » : Personnification = description idyllique

narrateur. Tout d’abord , on insistera sur des retrouvailles , l.1 se détache de tout le passage, par son extrême brièveté et par la disposition typographique et par l’usage du passé simple . « Je » commente une phrase qui fonctionne comme une syllepse de sens : le verbe « sortir » renvoie à la sortie de l’appartement et la sortie du roman. Le verbe et la scène qui suit souligne la complicité des amants . Dans le paragraphe 2, l’harmonie est marquée par la constante et les buts de la ville

tirait” → grossissement “ ni fin ni règles” → il ne peut pas se contrôler et ne possède aucune règle ecclesiastique OUI TB d’avoir remarqué la syllepse de ses (jeu sur le double sens d’un mot)Indices de temp “Pendant ce temp”, “continuellement”, “Après” + imparfait tout du long du passage→ Personnage vulgaire, manque d’étiquette.Au lieu d'étudier sérieusement, il ne pense qu’à manger, plus d’importance

vu Vénus à travers la forêt ?"/"Avez-vous vu Vénus au sommet des collines ?" Ici le poète s'adresse "à ceux qui passent dans l'ombre", c'est-à-dire aux personnages du poème qui sont les morts et la nature, mais aussi au lecteur. Vénus désigne par syllepse de sens la planète qui se lève, appelée aussi étoile du soir, étoile du matin, ou "étoile du berger" et la déesse de l'amour. Dans le vers « que dit-il le brin d'herbe ? Et que répond la tombe ? » le poète s'adresse au lecteur pour lui transmettre

dans cette partie finale, l’orateur résume les faits essentiels. Par la suite sont présentées les figures de la rhétorique: l es tropes : ce sont des figures de pensées, de procédés et de substitution. Les syllepses : ce sont les jeux de mots fondés sur l’homonymie et la paranomie; les jeux de sonorités et les figures de construction. À la fin de ce chapitre, il est énuméré les genres de l’éloquence celles-ci sont: le genre

Exposé d’histoire : Les grèves de 1947-1948 Exposé rendant compte de l’ouvrage : Mencherini, Robert, Guerre Froide, grèves rouges : Parti Communiste, stalinisme et luttes sociales en France : les grèves insurrectionnelles de 1947-1948, Paris, Syllepses, 1998 « La cherté de la vie, conséquence de la politique réactionnaire et pro-américaine du gouvernement frappait en premier lieu la classe ouvrière dont les salaires demeuraient souvent inférieur au minimum vital » dit Maurice Thorez pour justifier

le creuset d’une possible interprétation des divergences entre les deux penseurs, on peut penser qu’elle renvoie, ici encore, à ce qui en fait l’ombre et la saveur, c’est-à-dire d’avoir constitué, dès l’origine, ce que Pierre Bayard appelle une « syllepse théorique » : qui l’utilise risque fort de ne pas parler de la même chose que son voisin, ce qui n’empêche nullement le dialogue (de sourds) d’avoir lieu.

» de Marc Raffinot, édition La Découverte-collection repère, Paris, 2008. - « L’effet boomerang de la dette du tiers monde » de Susan George, édition La Découverte, Paris, 1992. - « L’Afrique sans dette » de Damien Millet, édition CADTM (Liège)/ Syllepse (Paris), 2005. - Hebdomadaire Jeune Afrique n° 2488 de Septembre 2008, « Togo, retrouvailles Bruxelloises » par Georges Dougueli. - « Et si le Tiers Monde s'autofinançait » de Jacques B. Gélinas, édition Ecosociété, Montréal, 1994. SOURCES Sitographie

se suicide en croyant que sa bien-aimée avait hélas perdu la vie, alors qu'elle était encore en vie. On en conclut donc que le théâtre qui est créateur d'illusion est belle est bien destructeurs d'illusion. Cette définition du théâtre est un syllepse d'autant plus que tout cela est paradoxal étant donné que le théâtre qui crée des illusions, les détruit également. Le théâtre se sert de l'illusion crée par les personnages pour détruire les illusions des protagonistes.

artistique. En effet, si le langage poétique existe c’est parce que le langage est équivoque ; et c’est cette dimension qui permet toute la beauté de la poésie. Parce que notre langage contient des mots qui pour la plupart peuvent être utiliser en syllepse, il permet de multiples degrés d’ interprétation d’une phrase, ainsi que l’invention d’images métaphoriques. Le langage poétique peut donc offrir une multiplicité de sens. Ces sens ont été placés volontairement ou non par l’auteur du poème. Le lecteur