Sylvie Brunel

Beauce, diagnostic de l’état du sol d’un champ de blé. Les limites de la révolution verte Le dispositif qui a sauvé l’Inde de la famine il y a quarante ans est aujourd’hui à bout de souffle. Agriculture, comment mieux se nourrir ? Dans les Alpes, Sylvie Brunel explique qu’une autre agriculture est possible. Indonésie, quand le business détruit la forêt Effets de la déforestation dans l’île de Bornéo. OGM, problème ou solution ? Analyse du problème depuis un champ en Alsace. Monsanto, la controverse Une

fabrication du même produit « consomme dix fois plus d’énergie que le Japon ». Il est aussi nécessaire de rappeler que les pays émergents ne dispose pas des mêmes moyens financier que les pays développés pour protéger l’environnement, et que selon Sylvie Brunel les pays développés font preuve d’hypocrisie en accusant les pays du Sud de contribuer à l’augmentation de la pollution mais en ne partageant pas avec eux leur savoir. En effet, de nombreuses entreprises polluantes sont délocalisées dans les PED

l’irrigation. Sylvie Brunel explique que le règlement des problèmes de l’eau se heurte à plusieurs difficultés à surmonter : l’eau doit être considéré comme faisant partie de l’intérêt collectif, d’un bien public. Même si today, l’eau est privatisé, le but des transnationales privées est de favoriser une répartition aisée. Coopération des volontés nationales, des états, qu’il y ait des actions complètes et complémentaires entre organismes publics et privées. Il manque selon Brunel une approche réellement

révolutionnaire et non-réformiste, doublée d'un anti-humanisme prononcé. Jean Bastaire voit l'origine de la crise écologique chez Descartes selon qui l'homme devait se « rendre comme maître et possesseur de la nature »30. Au contraire, la géographe Sylvie Brunel critique le développement durable, car elle y voit une conception de l'homme comme un parasite, et la nature comme un idéal. Or, pour elle, l'homme est souvent celui qui protège la biodiversité, là où la nature est le règne de la loi du plus fort

Burundi. Les causes des famines ont évolué : autrefois dues aux aléas climatiques (sécheresse, humidité excessive, prédateurs, maladies, tempêtes, coups de froid), elles sont aujourd’hui essentiellement : ➢ politiques (voir le doc de Sylvie Brunel) : détournement de l’aide alimentaire, utilisation de la faim comme d’une arme contre des minorités rebelles et ➢ économiques : embargos, manque d’infrastructures de transport, de circuits commerciaux, d’industrie agro-alimentaire… La

l'amélioration du niveau de vie, l'amélioration de l'éducation et des systèmes de santé et l'allongement de l'espérance de vie. Les critiquent qui ciblent véritablement les objecteurs de croissance sont les suivantes : La critique tiers-mondiste : selon Sylvie Brunel économiste du développement et géographe, une des principales critiques opposées à la décroissance par ses détracteurs est que les classes bourgeoises des pays développés, sous couvert de protéger l'environnement, souhaiteraient en fait empêcher

Jean-François Copé apprécie que le ministre de l'Immigration lance un débat sur un thème qu'il porte lui-même depuis des mois… Peu importe. Éric Besson est satisfait. Après les tests ADN, la fermeture de Calais, le livre publié par son ex-épouse, Sylvie Brunel, le voilà encore dans la lumière. «Ce débat ne me fait pas peur, confie-t-il. Je le trouve même passionnant.» Passionnant, mais très critiqué dans l'opposition. Des Verts au Front national, beaucoup dénoncent une opération destinée à récupérer

ressources naturelles, qui rend le capital naturel non substituable c’est la soutenabilité forte. Une autre critique est faite sur le développement durable, le fait qu’il ne puisse servir qu’aux pays du Nord et non aux pays en développement. Sylvie Brunel géographe spécialiste du Tiers-Monde trouve que les idées de développement durable servent aux idées protectionnistes des pays du Nord pour permettre d’empêcher  le développement du commerce des pays du Sud. Ce qui va ainsi offrir un prétexte au

par Sylvie Brunel « A qui profite le développement durable » le définit comme une « ambition normative d’établir un état de bien- être universel en écologisant et en humanisant l’économie ». A la représentation classique des trois anneaux, entrelacés, permettant de concilier les trois « E » (Economie, Equité, Environnement), s’ajoutent ainsi deux flèches : L’une en abscisse incarnant l’espace, et l’autre en ordonnée représentant le temps. Schéma à scanner et coller cf page 64 livre s brunel Toute

révolutionnaire et non-réformiste, doublée d'un anti-humanisme prononcé. Jean Bastaire voit l'origine de la crise écologique chez Descartes selon qui l'homme devait se « rendre comme maître et possesseur de la nature »20. Au contraire, la géographe Sylvie Brunel critique le développement durable, car elle y voit une conception de l'homme comme un parasite, et la nature comme un idéal. Or, pour elle, l'homme est souvent celui qui protège la biodiversité, là où la nature est le règne de la loi du plus fort