Symbole De Polyphème

cultivent la vigne, le blé, l’olivier. Toujours sur les Cyclopes : ils ne disposent pas de place publique, de lieu de rencontre/d’échange (l’Agora) ; ils habitent le sommet des hautes montagnes, dans de profondes cavernes : ils ne bâtissent pas. Polyphème : un monstrueux géant, qui ne « ressemblait même pas à un homme mangeur de pain ». Le barbare n’est pas comme le Grec. L’être humain tout seul, pour les Grecs, ne compte pas ; ce qui compte, c’est l’être humain intégré dans quelque chose (Cité

charmantes creations du VIe siecle, qui reunissent le sentiment gothique a la suavite grecque; sur sa pointe la plus elevee est Zancle, fondateur de la ville, contemporain d'Orion et de tous les heros des epoques fabuleuses. Derriere lui, un chien, symbole de la fidelite, leve la tete et le regarde; cette figure est soutenue par un groupe de trois amours adosses les uns aux autres, dont les pieds trempent dans une barque supportee elle−meme par quatre femmes ravissantes de morbidezza, entre lesquelles

Cosette avait un nimbe.» (IV, 8, 1). - Marius et Cosette sont «deux cygnes se rencontrant sur la Jungfrau» (IV, 8, 1), événement tout à fait improbable mais dans un lieu symbolique, Hugo considérant (déjà en II, 1, 2) cette montagne de Suisse comme symbole de toute pureté. - Le sourire qu’a Cosette conversant avec Marius «faisait de ce dialogue une idylle digne d’un bois qui serait dans le ciel.» (IV, 8, 1). - «Marius, en plein azur, croyait entendre une strophe chantée par une étoile.» (IV, 8, 1).

de sixième. Il n’y a pourtant pas à craindre que les élèves de la classe terminale aient le sentiment de revenir une fois encore sur une figure connue, si l’on s’intéresse moins aux épisodes narratifs spectaculaires (le combat contre le cyclope Polyphème, par exemple) qu’au sens même du cheminement d’Ulysse. Ulysse se comprend d’abord en regard d’un autre personnage, celui d’Achille : l’un incarne la fougue et les vertus du héros jeune, qui tire sa gloire de mourir au combat ; l’autre, pourtant très

d'une enceinte (exemples Serra Orrios, S'Arcu 'e is Forras) ; elle abritent des offrandes. ♦ Les temples d'eau ou sources sacrées sont plus importants. Une cinquantaine d’entre eux ont été identifiés. On y pratique un culte des eaux, élément rituel symbole de la divinité ou entremise de celle-ci. Etant donné que la plupart de ces sanctuaires restent en usage à l'Âge du Fer – ils sont alors agrandis – on ne connaît pas précisément leur nature au Bronze Récent. Ils servaient sans doute comme sanctuaire

moi. Et puis s’ils essaient de me battre encore je leur ferai du mal comme j’ai fait à la bête vivante. Je leur ferai très mal. Texte O : Extrait de L’Odyssée d’Homère : épisode du cyclope Ulysse et ses compagnons arrivent sur l’île du cyclope Polyphème et partent à sa rencontre afin de lui demander son hospitalité, ceci suivant les coutumes et le respect des usages du monde antique grec. Et quand [le cyclope] eut achevé tout ce travail à la hâte, il alluma le feu, nous aperçut et nous dit : - Ô

cette réponse, don Juan se révèle pour ce qu’il est, c’est-à-dire quelqu’un de rusé qui agit avec perfidie, dans l’ombre, sans vouloir assumer ses responsabilités. On pensera à celui qui est l’archétype de l’homme rusé, Ulysse, lorsqu’il disait à Polyphème que son nom était « Personne ». On relèvera aussi que ce refus de donner son nom, dans une société où respecter et faire respecter l’honneur de son nom était essentiel pour un noble, révèle que l’attitude de don Juan est tout à fait contraire à ce

entrée dans Les Chants dans un inconnu littéraire situé en marge du corpus littéraire connu et civilisé, un inconnu sauvage, à la manière d'Ulysse rencontrant la sauvagerie aux frontières du monde grec connu et civilisé1 sous les traits du cyclope Polyphème ou des Lestrygons.2 C'est cette expérience sauvage qui détermine d'après Marcelin Pleynet3 la "situation paradoxale" de Lautréamont dans la littérature française : "Sans lui notre culture reste incomplète et comme inachevée, notre littérature apparaît

Quasimodo ! – Diable d’homme ! dit Robin Poussepain, encore tout contus de sa chute. Il paraît : c’est un bossu. Il marche : c’est un bancal. Il vous regarde : c’est un borgne. Vous lui parlez : c’est un sourd. – Ah çà, que fait-il de sa langue, ce Polyphème ? – Il parle quand il veut, dit la vieille. Il est devenu sourd à sonner les cloches. Il n’est pas muet. – Cela lui manque, observa Jehan. – Et il a un œil de trop, ajouta Robin Poussepain. – 76 – – Non pas, dit judicieusement Jehan. Un

merveilleux état: Tu me serviras de pâture. Sur l'animal bêlant à ces mots il s'abat. La Moutonnière créature Pesait plus qu'un fromage, outre que sa toison Etait d'une épaisseur extrême, Et mêlée à peu près de la même façon Que la barbe de Polyphème. Elle empêtra si bien les serres du Corbeau Que le pauvre animal ne put faire retraite. Le Berger vient, le prend, l'encage bien et beau, Le donne à ses enfants pour servir d'amusette. Il faut se mesurer, la conséquence est nette: Mal prend