Symbole De Polyphème

puisent dans répertoire ancien puis improvisent Personnage d'Homère : Homère = aède de la fin VIIIe siècle ou personnification tardive d'un collectif d'aèdes. Légende veut qu'Homère = premier aède grec : originaire d'Ionnie + aveugle Aveugle : symbole celui qui voit l'invisible Langue d'Homère : Iliade → hexamètres dactyliques Langue archaïque : déjà au VIIIe, encore + au VI e siècle → combinaison plusieurs dialectes Dialecte homérique : langue composite, poétique marque rupture avec langue quotidienne

moins aisée (pelagos, la mer libre), puis la haute mer (pontos) et le gouffre où le danger est présent , différents naufrages , colère de Poséidon Elle sépare et unis les hommes L’espace humain symbole de la civilisation , de la maîtrise des techniques , un espace intermédiaire régis pas des lois , symbole de L’humanité , cette mesure perpétuelle , confrontée au caractère bucolique magique , merveilleux tout y est mesure, sans excès. On comprend la nostalgie d’Ulysse, d’autant que ce dernier assume

dieux et leurs progénitures (Polyphème…) devra en tirer une morale (utile pour son initiation). Tityos, symbole du désir sexuel extrême, est représenté le foie rongé par deux vautours ; Tantale, qui avait essayé de tromper les dieux (en leur volant le nectar et l’ambroisie ; et en leur servant à manger la chair de son propre fils), est condamné à ne jamais pouvoir ni manger ni boire, l’eau et la nourriture se rétractant à chacune de ses tentatives ; enfin Sisyphe, symbole de la condition humaine (ainsi

aux mortels » = ds le même cosmos = intimement liés  rôle des dieux = veiller à l'ordre du monde  équilibre dieux/Hô = dieux gouvernent ac mesure & raison / Hô leur témoignent respect & obéissance MAIS dieux = rancuniers = Poséidon pr Polyphème - Calypso : nymphe amoureuse  figure féminine qui éprouve tous les sentiments d'une mortelle = éprise d'U., se plaint de l'injustice de son sort MAIS accepte la déci° de Zeus & aide U. à construire un radeau - U. au 1er plan du récit

héros dont la volonté motrice est de surmonter les épreuves qui lui sont imposées. Ulysse se trouve confronté au monde des animaux à de nombreuses reprises. Ces confrontations sont des combats contre leurs ignorances fondamentales. Lorsque Polyphème, le cyclope le plus connu du public, retient Ulysse et ses compagnons dans une grotte, seule la ruse légendaire du héros leur permet de s’en sortir. La solution de survie choisie par Ulysse n’est pas fortuite : brutaux, avides et violents, les Cyclopes

de l’équipe d’Ulysse 31 de surgir de notre enfance « Dans le froid glacé de l’Olympe noire, les dieux malins ont en vain usés de leur puissance, de leurs pouvoirs contre Ulysse 31 ». Finalement, les histoires de la guerre de Troie et du cyclope Polyphème nous revinrent en mémoire non sans une certaine émotion. Au bout de ce long périple jusqu’au plus profond de nos mémoires à la recherche d’Ulysse, il fallut admettre que, malgré tout, nos connaissances se limitaient là, et que beaucoup de travail

réussit à ramener Amphitrite qui s’occupera désormais du palais au fond de la mer de son mari et de son enfant. Poséidon fait peur et son royaume est peuplé de créatures effrayantes comme le Géant Chrysaor né de son union avec Méduse ou le Cyclope Polyphème. Apollon : c’est le dieu des prophéties. Héra qui a appris, bien avant la naissance d’Apollon que lui et sa jumelle, Artémis déesse de la chasse, serait plus glorieux que les siens, interdit a quiconque d’accueillir leur mère Titanide Léto. C’est

d’appréhender le monde et décrit certains phénomènes naturels, rites.  Le Divin se mêle à l’Humain. Valeur symbolique, il permet à l’Homme d’accéder à une pensée supérieure et recèle une vérité première. On est proche du symbole mais pas tout à fait, le mythe est narratif alors qu’un symbole est un objet concret (comme une allégorie).  Les mythes Grecs résument la religion et les rites des Grecs. Ils ont une religion Polythéiste fondée sur l’anthropomorphisme, constituée d’un grand nombre de pratiques

fussent avant qu’on eu hélé trois fois les pauvres compagnons morts dans la plaine » (p.144 v.64-65), « De chacun des vaisseaux, six compagnons guêtrés périrent ; nous autres pûmes fuir le sort et le trépas. » (p.143 v.60-61), - le cyclope Polyphème: « il en prit deux, et comme des chiots, sur le sol les assomma. La cervelle en giclant mouilla le sol. Découpés membre à membre, il en fit son souper. »b( p.150 v.289-291), « [il] attrapa deux autres de mes gens pour son repas. » ( p.150 v.311 et

une course contre la mort. Dans le récit d'Ulysse, on suit le décompte macabre de ses compagnons qui meurent un à un : six compagnons par bateau après la bataille contre les Cicones (IX, v.60-61) ; par deux fois, deux compagnons servent de repas à Polyphème ; un des éclaireurs en pays lestrygon est dévoré par Antiphatas, puis plusieurs autres sont tués par l'assaut des géants ou harponnés comme des poissons, jusqu'à l'anéantissement de tous les vaisseaux, excepté celui d'Ulysse (X, v.131-132). Sur la