Symbolique du cheval

étaient peints de différentes couleurs et ces couleurs avaient toutes une signification selon les points cardinaux: - Nord: Bleu froid ( Symbolique des vitraux, du 1er Testament. - Sud: Bleu/vert chaud ( Symbolique de la vie de Jésus. - Est: Jaune orangé chaud ( Symbolique de la mort, de la résurrection. - Ouest: Jaune orangé ( Symbolique du soleil levant, de la lumière de Jésus. Feuille - Dos. 9: ➢ Lexique: Voûte en berceau

GUERNICA de Picasso I/Présentation de l’œuvre et de son auteur A/ L’auteur B/ L’oeuvre II/ Interprétation de la toile A/ Le taureau B/ Le cheval C/ L’enfant mort dans les bras de sa mère D/ Le soldat mort E/ La femme qui boite F/ Le prisonnier brulé vif G/ La colombe H/ La fleur I/ La lampe I/A/ Pablo Picasso naît à Málaga et est le premier enfant de Don José Ruiz-Blasco.[] Le nom de Picasso n'est pas en fait très espagnol et serait d'origine italienne. En effet, un de ses

Critique de lecture: « Cheval de guerre » Résumé : Un cheval raconte sa vie à la première personne comme si il parlait. Ses souvenirs les plus lointains remontent au jour où sa mère et lui ont été vendus et séparés pour toujours. Lui, a été acheté par un fermier alcoolique qui le maltraite. Heureusement, le fermier a un jeune fils âgé de 13 ans, Albert, qui prend le poulain en affection. Ensemble, le jeune garçon et le cheval grandissent à la ferme. Albert donne un nom au cheval, ce sera Joey. Il

détruisent la petite ville de Guernica. l’oeuvre de Picasso « Guernica » est la représentation d’une scène de ce massacre. Guernica est une huile sur toile mesurant 7 m 52 de long sur 3 m 51 de largeur. Le tableau est composé de couleurs monochromes symboliques. En effet, cela accentue l'impression de mort. Les formes géométriques, quant à elles, rappellent l'art primitif africain. La toile est découpée en plans triangulaires et se présente comme un montage de l'actualité de l'époque en noir et blanc.

principal, loin de là, le chasseur est l'élément déclencheur qui fait que tout bascule : C'est lorsqu'il fait son entrée que la Reine passe du côté obscur de l'âme humaine. Elle choisit de tuer sa belle-fille, une enfant, pour préserver sa suprématie symbolique. Il y a contraste entre l'image du chasseur, un bon gars, comique avec ses instruments et les animaux en peluche qu'il chasse, et le drame de la situation. Les sept « nains » arrivent lorsque Blanche-Neige s'endort dans leur maison. Ils sont

Sc�e 1 : " Ferme la porte, Suzanne et Conte-moi tout " A la sc�e 4 : " Je vais fermer la porte ". Elles veulent conspirer contre le Comte et c'est l� que le complot se construit. Seule Ch�ubin est l� pour �re d�uis� en femme. 2�) Les ��ents symboliques a ) Le cachet C'est le cachet qui doit �re remis sur le brevet de Ch�ubin pour qu'il devienne officier. Sans ce cachet, le brevet n'a aucune valeur officielle. Ch�ubin va donc avoir un statut alors qu'il n'en avait pas jusque-l�. De m�e, �

plan, de gauche a droite, une femme avec un enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée dans la main droite, un cheval, une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe, une femme s’enfuyant, un personnage dans les flammes d’une habitation. Il y'a de fortes expressions dans ce tableau (femme criant de douleur, cheval terrorisé, soldat mort…), les expressions sont d'autant plus fortes notamment par la déformation des personnages. Au second plan,

bombardement a été longtemps considéré comme le tout premier raid de l'histoire de l'aviation militaire moderne sur une population civile sans défense. Le chiffre donné par le gouvernement basque fait état de 1654 morts et de plus de 800 blessés. La valeur symbolique de la ville renforça le sentiment qu'il s'agissait d'un acte terroriste exemplaire de la répression des antifranquistes. L’œuvre de Picasso « Guernica » est la représentation d’une scène de ce massacre. Comprendre Guernica Guernica est une huile

vie. De plus, cet extrait nous fait comprendre la souffrance et la tristesse que les personnages endurent à ce moment précis du texte. Pourtant "ils ne désespéraient pas", car "tant qu'il y aura de la lumière", ils seront moins effrayées. Pour le cheval, Emile Zola emploit "il voulait vivre", le souvenir est énuméré aussi "vision de sa jeunesse". L'espoir est toujours primordial "l'envie de respirer encore l'air des plaines". Toute cette réminiscence, le fesait "galopait" encore plus vite, pour pouvoir

collines et des arbres. Saint Georges à cheval, la main droite tenant l'épée s'apprête à porter le coup final au dragon, tandis que la lance brisée est par terre. Le saint sur la selle rouge de son cheval blanc, est équipé d'une armure brillante au casque( heaume) doté d'un haut cimier( décoration placée au dessus des casques) tandis que sa cape est gonflée. Dans le fond du paysage à droite, devant un rocher, la princesse fuit et regarde la scène de loin. Le cheval semble prendre peur à la vue du dragon