Symbolique du cheval

attribue au nouveau né des couleurs. Gargantua reçoit le bleu et le blanc, symboles de la joie céleste. Le narrateur critique le bien fondé de la symbolique des couleurs. Chapitre XI Récit de l’enfance de Gargantua qui se divertit par des activités aussi hétéroclites qu’absurdes. Chapitre XII Episode des chevaux de bois : on offre à Gargantua des chevaux de bois afin qu’il devienne bon cavalier. Chapitre XIII Gargantua invente le torchecul… le plus agréable de tous étant un oison duveteux

D’autres métaphores s’appuient sur des références à la mythologie, chère à la poésie de la Renaissance : la nuit est représentée sur un char tiré par des chevaux noirs comme Hélios, dieu du soleil est représenté sur un char tiré par des chevaux blancs, et l’aube pourrait être Artemis, déesse de la nature et de la fertilité, qui éparpille sur les prés des gouttelettes, des trésors qui rendront la nature florissante. Dans le premier tercet, la femme

Hippologie Article détaillé : Hippologie. Cheval domestique vu de profil, présentant une robe bai-brun classique et une liste blanche en tête. Voir aussi : « cheval » sur le Wiktionnaire. L'hippologie (du grec ἱππος « cheval » et λόγος « discours ») étudie le cheval dans sa globalité1, ce qui comprend le fonctionnement biologique et anatomique, ainsi que le comportement et l'entretien. Le cheval est un mammifère herbivore, membre de la famille des équidés qui compte aussi l'âne

Les personnages du taureau, à gauche, et de la jument, au centre du tableau, forment un couple récurrent dans l'œuvre de Picasso29, et leur valeur symbolique dans Guernica a suscité de nombreuses interprétations contradictoires. Selon Juan Larrea, le taureau, en tant qu'animal totémique de l'Espagne, représenterait le peuple espagnol protégeant Madrid (représentée par la mère éplorée et son enfant), tandis que la jument représenterait les Nationalistes espagnols. Cette interprétation se base sur

taureau à gauche est l'incarnation de la brutalité, de l'obscurité dans la corrida. Le cheval, quant à lui, fait preuve de terreur, et de douleur du peuple. La colombe symbolise la paix. La fleur, en bas au centre, symbolise la fragilité, la vie et l'espérance. Des femmes, sur le côté pleurent la liberté agonisante. Et pour terminer la fleure représente la lueur d'espoir et l'épée brisée complète la symbolique de paix.

sexuelle Dès l'age de 3 ans, Hans présente un intérêt à son « fait pipi » (c'est ainsi qu'il nomme son sexe) et à celui des autres ; et particulièrement à celui de ses parents. Il imagine que sa mère a un grand « fait pipi » comme celui d'un cheval car sa mère est de grande taille. IL aime être vu entrain d'uriner et regarde sa mère et bertha aux toilettes. Hans présente alors une grand curiosité sexuelle, il cherche à découvrir et ainsi, il compare son « fait pipi » aux autres. Lorsque

mais exprime de manière plus universelle l’horreur et le désespoir liés à la guerre. La composition, chaotique, donne à voir des personnages morts ou en pleine détresse. La charge émotionnelle de l’œuvre est renforcée par différentes références symboliques : La pietà (motif de la Vierge Marie pleurant son fils Jésus mort). La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont une forme de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante

José se dévoile complètement ; il se présente tel qu’il semble avoir réagi, avec ses défauts et ses aspects ridicules. Il se ridiculise en effet : " Compère " "coffre-fort ", mais Don José prend ses paroles au premier degré et n’y voit pas de sens symbolique : " C’est pour attacher mon épinglette " Ensuite, Don José est dévirilisé et dévalorisé par Carmen, elle le transforme en couturière, il n’a plus de réaction, il capitule : « monsieur fait de la dentelle » " moi, je me sentais rougir, et je

biblique évoquant un éléments du contexte florentin, comme déjà avec le David de Donatello. Un seul point de fuite placée derrière la tête du Christ. Le regard est donc complétement happé vers le christ, puisque tout mène à la lui, chaque ligne ( symbolique également présente ici, tout nous ramène à Jésus et son enseignement.) La composition montre un genre de triptyque, s’inspirant alors des compositions des retables médiévaux. La partie centrale montre les apôtres disposés en arc de cercle. L’éclairage

représentation symbolique. L’enfant commence à utiliser des symboles (images ou mots) pour représenter des objets, des situations, des événements. Il acquiert ainsi une fonction symbolique: elle est définie par la capacité d’évoquer un objet ou une personne en son absence. L’apparition de cette fonction fait entrer l’enfant dans une nouvelle période: celle de la préopératoire. Dans un premier temps, l’enfant va détourner la fonction des objets, comme par exemple: transformant un balais en cheval, ensuite