Symbolique Du Monstre Rhinocéros Ionesco

du monde ? | Litterature.indb 7 7 06/09/11 11:52 met en valeur le renflement du ventre. Tournant la tête vers le miroir, la Madeleine met en valeur une chevelure qui tombe majestueusement sur ses épaules. 3. Aussi une lecture symbolique de la toile s’impose-t-elle : l’esthétique de la simplicité répond d’une éthique religieuse : pureté retrouvée (blancheur immaculée de la chemise), dignité et pudeur (l’érotisme demeure discret), humilité et recueillement par la pose des mains

du monde ? | Litterature.indb 7 7 06/09/11 11:52 met en valeur le renflement du ventre. Tournant la tête vers le miroir, la Madeleine met en valeur une chevelure qui tombe majestueusement sur ses épaules. 3. Aussi une lecture symbolique de la toile s’impose-t-elle : l’esthétique de la simplicité répond d’une éthique religieuse : pureté retrouvée (blancheur immaculée de la chemise), dignité et pudeur (l’érotisme demeure discret), humilité et recueillement par la pose des mains

caractéristiques, vous pouvez vous inspirer de quelques stéréotypes mais soyez surtout sensible aux différentes fonctions des personnages féminins dans ces extraits. Ces caractéristiques peuvent être très concrètes mais elles peuvent également être plus symboliques ou énigmatiques. ® Mobiliser ses connaissances L’hyperbole L’hyperbole est une figure d’amplification. Elle repose sur l’utilisation de superlatifs, d’adverbes, de comparaisons ou encore de métaphores. Les finalités de l’hyperbole sont variées

témoigne la puissance poétique de la première phrase de Salammbô. 3 – Rédiger la réponse p. 472 (ES/S) p. 592 (L/ES/S) Les comparaisons donnent une deuxième personnalité aux deux personnages : le Pharaon et Madame Thénardier. En cela, ils sont des monstres, êtres composites. Le Pharaon est, par le biais de comparaisons qui renvoient à des objets ou des matières, déshumanisé : – casque allongé en mitre ; – la conque de l’oreille ; – un semis de points semblables à des prunelles d’oiseau ; – formés de

témoigne la puissance poétique de la première phrase de Salammbô. 3 – Rédiger la réponse p. 472 (ES/S) p. 592 (L/ES/S) Les comparaisons donnent une deuxième personnalité aux deux personnages : le Pharaon et Madame Thénardier. En cela, ils sont des monstres, êtres composites. Le Pharaon est, par le biais de comparaisons qui renvoient à des objets ou des matières, déshumanisé : – casque allongé en mitre ; – la conque de l’oreille ; – un semis de points semblables à des prunelles d’oiseau ; – formés de

opinion.   HUGO V., Dernier Jour d’un condamné.   HUGO V., L’Homme qui rit. Avec des parallèles possibles sur les femmes que l’on mutile en Inde (cf La Cité de la joie), ou la mafia (en Inde) qui enlèvent/achètent des enfants pour en faire des monstres et les faire mendier ensuite.   KOUROUMA A., Allah n’est pas obligé.  MORGAN B., Mon voisin, c’est quelqu’un, édition Fayard.   ORWELL G., 1984,   SARTRE J.-P., Les Mains sales. pièce de théâtre   SEPULVEDA, Le Vieux qui lisait des romans

réorgaLIRE L’ŒUVRE 5 nise le royaume du colérique selon des principes de politique humaniste, allant jusqu’à faire éduquer le fils de Picrochole par Ponocrates. Alors que le Pantagruel se contente de la symbolique carnavalesque pour châtier le tyran, le Gargantua dépasse cette symbolique et instaure le règne de l’humanisme éclairé. LA NARRATION 7. Les deux romans débutent par la généalogie du héros (procédé épique) et s’achèvent sur sa victoire devant l’ennemi. Mais on relève des différences

concept et rendant imminente la révolution de l’esthétique et de la poésie. Et c’est toujours Baudelaire qui dédiera un Hymne à la beauté, cette beauté apparentée au laid : « Que tu viennes du ciel ou de l’enfer, qu’importe, / O Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu !/ Si ton œil, ton souris, ton pied, m’ouvrent la porte / D’un Infini que j’aime et n’ai jamais connu ? / De Satan ou Dieu, qu’importe ? Ange ou Sirène, / Qu’importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours, / Rythme, parfum

un sujet qui lui permît de développer des sentiments romains. Il choisit l'histoire de Néron et de Britannicus, et la suivit fidèlement ; mais il limita son action qui devait se passer en vingt-quatre heures. Il ne voulut peindre en Néron que le monstre naissant, afin que le personnage restât humain et pût exciter sinon la sympathie, du moins l'intérêt des spectateurs.   — Barjazet (1672) Racine n'a pas toujours imité les anciens. Une anecdote racontée par un ambassadeur à Constantinople lui a inspiré

...................................................... 5 2 L’identité du personnage Être de papier, le personnage n’existe que par le travail du lecteur à partir des indices. Le lecteur découvre le personnage à travers : “ son identité : nom symbolique ou non, état civil, anonymat (K. dans Le Procès de Kafka, 1925) ; Ex. : « épouser Félicien d’Hautecœur, un jeune riche à cinquante millions » (Émile Zola, Le Rêve, 1888). Le prénom signifie « bonheur ». La particule aristocratique promet l’ascension