Symbolisme Et Subjectivité

on dit de lui qu’il est un causeur. Ces conférences sont particulièrement appréciées. Mais pour nous ajd elles sont dures à étudier. Il n’a pas le sens de la systématique, il se répète, il ne suit pas sa progression. 1908-1913 * Rappel au symbolisme même année que la Phalange de rêve. * Emergence d’une nouvelle poésie * Moment d’alliance parce qu’il s’allie avec Jules Romains (mouvement-> unanimisme avec les poètes de L’Abbaye) * 1913 : moment de fracture, l’antitradition futuriste

valorisation de l’individu, mission prophétique du poète (certaines de ces caractéristiques sont en contradiction avec Verlaine)-Symbolisme et impressionnisme ne sont pas encore des mouvements, mais Verlaine est un précurseur- · Le Symbolisme : · 2e moitié XIXe siècle· Réaction contre le naturalisme, prolongement de la poésie de Baudelaire· Principes : · Subjectivité de la connaissance ; · Suggérer plutôt que nommer, décrire et raconter ;· Avis qu’on ne peut décrire le monde directement·

renouveler le genre... Avec eux, le paysage conquiert une dimension proprement cathartique... A la mesure et à la grandeur monumentale et pourtant paisible du paysage classique, va s’opposer la violence du sentiment, la démesure de la passion et le symbolisme exubérant du paysage romantique. Ce dernier est une réaction exaltée du sentiment contre la raison (et le raisonnable), une fuite, une évasion dans le rêve, dans l’exotisme ou le passé, un appel souvent grandiloquent au mystère et au fantastique

du lecteur. A cet effet, Todorov, établissant la correspondance entre le symbolisant et le symbolisé écrit « un texte ou un discours devient symbolique à partir du moment où, par un travail d’interprétation, nous lui découvrons un sens indirect » Symbolisme et interprétation. Paris : Seuil, 1978. (p.9) II/ Spécificités de la marche dans les deux œuvres Deux constantes paraissent jalonner les deux romans : la souffrance caractéristique du dénuement des personnages mais aussi une volonté

Jaune DOSSIER POESIE Sommaire I. Rappel Chronologique 3 II. La Pléiade 4 III. Le Romantisme 7 IV. Le Parnasse 12 V. La Modernité 14 VI. Le Symbolisme 18 VII. L’Avant-Garde 22 VIII. Le Surréalisme 25 II. LA PLEIADE La Pléiade se développe de 1549 aux années 1570 environ. Les écrivains de la Pléiade

l’ensemble des étudiants français inscrits dans les écoles publiques, il est impératif de connaître les mouvements littéraires et les registres littéraires afin de pouvoir catégoriser les œuvres d’arts dans la famille du romantisme, du naturalisme, du symbolisme, du classicisme, du fantastique, du grotesque, entre autres afin de lier le texte étudié à une conception de l’écriture propre à une période dans le but de bien le comprendre et d’éviter en les lisant des contre-sens. Or, c’est cela même, une conception

Fontaine (1621-1695)Bossuet (1627-1674) | Voltaire (1694-1778)Montesquieu (1689-1755)Rousseau (1717-1778)Diderot (1773-1784) | | XIX SIECLELe Romantisme | XIX SIECLELe Parnasse | XIX SIECLELe Réalisme | XIX SIECLELe Naturalisme | XIX SIECLELe Symbolisme | | Mvt littéraire et artistique en rupture avec les règle, le goût et le beau classique. | Courant en réaction contre romantisme et qui s’attache à « l’art pour l’art ». Mont parnasse = montagne des muses et Apollon = dieu de la beauté et poésie

l’Autre, détient une part d’inconnu, d’inaccessible. Percevoir le monde par la différence implique un apprentissage de soi. On cherche en l’autre un équilibre entre le même et l’opacité, on ne trouve en soi que l’intime mêlé à l’inconnaissable. Sa subjectivité etrangère devient exacerbée ce qui le conduit a vouloir s'approprier une ville qu'il ne connait pas, il est dans l'illusion de la connaître , « c'est mon domaine c'est mon bien » il navigue dans la ville avec un sentiment legitime sans le vouloir;

qualités typiquement modernes (Gontard 2001 : 283 - 294). Le sociologue Jean-Paul Roseweber a introduit la notion de topique qui résume la substance du modernisme et se compose de quatre composantes - les topos du modernisme qui suivent : la « subjectivité du regard », l’« esthétisation du monde », la « rationalisation de l’agir» et l’« éthicisation des comportements » (Resweber 1998 : 1). Ces dernières sont les notions qui caractérisent le modernisme et le font apparaître comme un système particulier

intime, la plus cachée de moi-même, celle que moi seul puis connaître: l'intériorité de ma conscience. Le vrai moi est caché. Le domaine de la conscience est celui de l'intériorité, une intériorité inaccessible et impénétrable pour l'autre. Ma subjectivité est comme une forteresse où je peux me réfugier et trouver la paix si l'on m'agresse. Personne ne peut venir y troubler la paix que je décide d'y faire régner. Pressé de questions, si je décide de garder le silence, personne ne pourra violer cette