Synchronisme

(partie fixe) un champ magnétique tournant. Si l’on place un aimant au milieu qui joue le rôle du rotor, l’aimant, en cherchant à s’aligner sur ce champ magnétique, provoque la rotation du rotor (arbre moteur). Il tournerait à la vitesse de synchronisme V S = 2p f / p. C’est comme si l’on avait un moteur synchrone. Si l’on remplace l’aimant par une masse magnétique conductrice constituée par un rotor en court-circuit ou un rotor bobiné, sous l’action du champ tournant, des forces électromotrices

échantillonnées pour les dérivés des flux rotoriques deviennent donc : d φ (n) − φrα(n − 1) φ rα(n) = rα dt Te et φrβ (n) − φr β(n − 1) d φ rβ (n) = dt Te En régime permanent les deux flux de la machine, rotorique et statorique évoluent au synchronisme, ainsi la pulsation statorique ωs peut être assimilée à la vitesse de déplacement du flux rotorique ωmr. Ainsi ωs devient : φ rα (n)(φ rβ (n) − φr β (n − 1)) − φr β (n)(φ rα (n) − φr α (n − 1)) Te (φ 2 rα (n) + φ 2 r β (n)) ω s (n) = (III

des doctrines de Zénon et d'Épicure, l'abandon des cultes nationaux qui s'en est suivi, dit-on, et la fin des deux républiques. On néglige d'ailleurs de remarquer que ces deux exemples sont à peu près les seuls que l'on puisse citer d'un pareil synchronisme ; que l'empire des Perses était fort dévot au culte des mages lorsqu'il est tombé ; que Tyr, Carthage, la Judée, les monarchies aztèque et péruvienne ont été frappées de mort en embrassant leurs autels avec beaucoup d'amour, et que par conséquent

chevauchement) deux fragments de pellicule et de les scotcher l'un à l'autre. Les collures ainsi réalisées ne résistent cependant pas aux défilements trop saccadés de certaines machines. La synchroniseuse : appareil qui permet d'assurer et de conserver le synchronisme de l'image et du son lors de leur défilement en fixant chaque bobine (image et son) dans des couloirs munis d'ergots (mécanisme de blocage). La synchroniseuse est très utilisée à Hollywood au temps des tables verticales. Elle offre au monteur une

couple résistant (Cr) des machines et donc une rupture de l’équilibre entre celui-ci et le couple moteur (Cm), s’ils ne sont pas éliminés rapidement, ils peuvent conduire à la perte de stabilité de groupes générateurs et à des fonctionnements hors synchronisme préjudiciables aux matériels. Des temps d’élimination des courts-circuits de l’ordre de 100 à 150 ms sont généralement considérés comme des valeurs à ne pas dépasser sur les réseaux électriques THT [9]. II.3.3.2) - Tenue de matériels : Les court-circuits

de la simultanéité dont discutent aussi les cubistes et les orphistes à Paris à la même époque, s’efforçant de le transposer sur le plan artistique se consolide dans l’esthétique futuriste vers 1912. Il comprend, sur la base du dynamisme, le synchronisme de divers événements et leur cristallisation dans l’œuvre d’art. La simultanéité est comprise de manière large : elle englobe la perception visuelle et émotionnelle aussi bien que les souvenirs et les associations d’idées et de sentiments

maximum d’honores et créant ainsi des regroupements inédits, promis souvent à un grand avenir (Champagne, Dauphiné, Anjou, etc.), ils ne se soucient pas assez de leur emprise « à la base ». L’apparition des châteaux privés Synchronisme entre les révoltes de châtelains, la prolifération anarchique de nouveaux châteaux, la remise en cause globale de l’autorité publique, et l’apparition des coutumes territoriales. 1er changement caractéristique des années 1020 : construction de

Hopfield est bas´ sur le mod`le de William Little[Little(1974)]. e e e Une diff´rence importante du r´seau de Hopfield par rapport ` celui de Little concerne l’asyne e a chronisme du r´seau. En effet, Hopfield consid`re qu’il n’existe aucune preuve de synchronisme e e dans le cerveau et par cons´quent chaque neurone du r´seau est responsable de la mise ` jour e e a de son ´tat. e entrée entrée entrée entrée entrée Fig. 3.14 – Le r´seau de Hopfield. e La figure 3.14 pr´sente le mod`le g´n´ral

On montre l’évolution de la puissance maximum disponible p vm (ω 0 ) en fonction de la vitesse de rotation du générateur électrique. Si le groupe électrogène est à vitesse fixe, alors la puissance fournie p f (ω 0 ) est limitée par la vitesse de synchronisme de la machine électrique. La puissance varie entre les points P6 et P4 (puissance maximum). Si le groupe électrogène est à vitesse variable alors la puissance disponible p v (ω 0 ) varie entre P1 et P5 en passant par P2 et P7. La différence entre

Sans doute demeure-t-il des imperfections mais cellesci, on le verra, peuvent être facilement soignées sans remède de cheval. L'infériorité du présidentialisme majoritaire est dans sa fragilité. Il ne fonctionne convenablement que si l'absence de synchronisme entre l'élection du président et celle des députés n'a pas abouti à des semi-alternances aussi peu confortables à interpréter qu'à assumer. La cohabitation entre des pouvoirs dont les compétences, quoi qu'on raconte, sont juridiquement beaucoup