Syndicalisme Et Socialisme En Europe

1842, la Prusse a adopté une loi sur les pauvres. En 1883.1889, législation sociale de Bismarck. Développement d’un socialisme d’état : Fréderic II. Dès la fin du XIXème, l’Allemagne se donne une assurance sociale obligatoire contre les risques des accidents du travail. Grâce à cette création, une partie de la population sort de l’Assistance aux pauvres. Grand changement en Europe avec ce pays, les gens (allemands) sont obligés de s’assurer pour ne plus dépendre des proches, de la charité… 3.4%

est l'occasion de découvrir quelque chose (industrie, histoire, paysage). Mais ce livre exalte à chaque page le patriotisme. Nous avons un exemple de nationalisation et de massification. Ce livre a eu tellement de succès qu'il a des équivalents en Europe. Ex : Le Merveilleux Voyage de Nils Holgerson à travers la Suède, Selma Lagerlöf. Sur un plan culturel, cette école à des effets de républicanisme. Il s'agit d'adhérer à l'idéal politique. A travers l'école, on met aussi en avant l'universalisme

naissent ou se développent d’autres besoins. Le patronat va, dès lors, s’intéresser à ce processus d’évolution des mentalités et des besoins sociaux pour le limiter, le contrôler, l’utiliser, tenter d’endiguer le mouvement qui porte vers le syndicalisme et le socialisme, même si celui-ci n’en est encore qu’à ses débuts. Ces interventions qui n’excluent pas la répression sont aussi celles du gouvernement. Elles vont générer les tentatives de détournement de la mutualité et la création des œuvres sociales

était l’image du Léviathan pour les conservateurs qui menaçait la liberté éco et les droits des citoyens. Avec la GF, repris par Mac Carthy, qui parle d’un « socialisme rampant destiné à corrompre les valeurs américaines ». En 1944, La Route de la servitude, Hayek : développe l’idée que les USA avec le ND connaissent une sorte de socialisme etc. Charge terrible. 1e critique sérieuse en 1964 : Barry Goldwater, candidat à l’élection malheureux, défend les libertés, l’autonomie des collectivités locales

ville industrielle) | On rappelle l’évolution du monde ouvrier de 1830 à la fin des Trente Glorieuses ; on étudie la constitution d’une culture ouvrières et d’une conscience de classe. On présente les luttes sociales et politiques (grèves, syndicalisme, partis) et le processus d’intégration républicaine des ouvriers et des ouvrières. | Les sujets d’étude sont tous obligatoires. Pour chaque sujet d’étude, on retient au moins une situation parmi celles indiquées et on garde la liberté

proche de la machine) et nouveau lieu de travail => hausse des rendements (de plus en plus avec l’amélioration technique de la machine) Les fabriques restent de taille modeste mais on assiste à une concentration de travailleurs (favorisera le syndicalisme, la conscience de classe) Les entreprises hésitent à grandir (problèmes de gestion, de coalition ouvrière) La production n’est pas régulière (à-coups), flexibilité, on produit en fonction des commandes. Des fois les fabriques sont débordés alors

compte-gouttes depuis le Soudan par l’intermédiaire des échanges avec les Arabes – L’existence d’un monopole sur le commerce des épices et de la soie avec l’Orient par les villes italiennes (Venise et Gênes) : la pratique de prix exagérément élevés en Europe pour ces produits – La chute de Byzance en 1453 qui renforce le verrou de l’Islam sur le commerce asiatique • Sans oublier les facteurs techniques qui ont permis le succès des explorations (construction de bateaux, conditions de navigation, etc

pour eux, se soumettre à des commandements attribués à des Personnages méta-sociaux, à des universaux silencieux (Dieu, jusqu’à l’avènement de la modernité, puis, par un « polythéisme » retrouvé : la Raison, le Progrès, l’Égalité, la Démocratie, le Socialisme, la Liberté, la Nation, la Patrie, le Devoir, le Travail, la Nature… et j’en passe). Ce n’était pas toujours facile d’obéir, mais, au moins, c’était clair ! Le modèle culturel qui règne aujourd’hui – que j’ai appelé « subjectiviste » parce qu’il

transforment peu à peu en sociétés de résistance pour la hausse du niveau de vie ouvrier. Louis Napoléon Bonaparte essaye de pacifier : il réorganise de manière plus égalitaire le conseil des prud’hommes mais les utopistes arrivent ( marxisme. Le socialisme utopique se base sur la philosophie des lumières, le christianisme évangélique et les doctrines extrêmes de la révolution ( hostilité au capitalisme industriel et aux injustices causées par la libre concurrence ( ils demandent des réformes profondes

civiles locales et de génocides. C'est ce qu'il appelle une « guerre civile européenne », une sorte de nouvelle guerre de Trente Ans1. Sommaire   [masquer]  1 L'après-guerre 2 La culture des années folles 3 Mouvements pacifistes 4 Travailleurs et socialismes 5 Le krach de 1929 6 La montée des nationalistes 7 Notes et références 8 Voir aussi 8.1 Bibliographie 8.2 Articles connexes 8.3 Liens externes L'après-guerre [modifier | modifier le code] Le Conseil des Quatre lors de la conférence de paix réunissant