Syndrome de Korsakoff

de troubles de jugements et de perceptions (comme les hallucinations). L’évolution et le pronostic de cette maladie sont très réservés.(Thuilier, 1996). On distingue les psychoses d’origine organique (confusion mentale, maladie d’Alzheimer, syndrome de Korsakoff…) des psychoses dites fonctionnelles sans étiologie organique précise. La psychose prend des formes très variées. Qu’il s’agisse de la schizophrénie, de l’autisme, de la maniaco-dépression ou d’une personnalité paranoïaque, l’approche clinique

l’audition Toucher prend le relai. Plaisir à être en compagnie d’enfant, ou de chien Identité affective, faculté de sentir s’ils sont en milieu hostile à non. Faux diagnostic : Il peut y avoir des maladies de type Alzheimer comme la maladie de KORSAKOFF = dégénératif comme Alzheimer mais sous la déprime. DTA = Démence de type Alzheimer = l’ensemble des maladies Alzheimer, toutes formes confondues. Forme précoce et forme tardive. Le point du praticien : Manifestation de la maladie dissimulé

que l’on constate des signes cliniques et/ou des syndromes très « purs » comme dans la littérature; exemple du syndrome de dysconnexion inter hémisphérique (par atteinte calleuse), de syndrome de réduplication spatiale (par atteinte fronto-pariétale droite), de syndrome de Klüver-Bucy (hématomes bilatéraux temporaux),de syndrome de Korsakoff (artère communicante antérieure), syndrome de l’hémisphère mineur (hématome capsulo-lenticulaire droit), syndrome de Dide et Bocatzo (hématome bilatéral occipital)

donc endommagée. Cela s’explique par l’effet de l’alcool qui agit en fait sur le système nerveux central, c'est-à-dire le cerveau. Document 9 : Molécule d’éthanol. En effet, l’ingestion d’éthanol provoque une neuropathie périphérique et le syndrome de Korsakoff, ce qui entraîne d’importants troubles de mémoire. De plus d’autres drogues provoquent des troubles de mémoire tels que le cannabis : En effet, cette drogue contient des molécules tétra-hydro-cannabinols, cette molécule agit sur la mémoire

périphériques (polynévrite). Des troubles de la mémoire antérograde, la personne devenant définitivement incapable de mémoriser les faits récents, tout en gardant intact les faits anciens. Cela est dû à des lésions de la région hippocampique du cerveau (syndrome de Wernike) Des troubles démentiels plus généraux, liés à des atteintes moins localisées du cortex. Le concept d'addiction En 1990 une définition de l'Addiction est proposée par Goodman : « Processus par lequel un comportement pouvant permettre

zones du cerveau. Si une des ces zones est altérée apparaît une amnésie et une impossibilité à stocker toute nouvelle information. Une des causes classiques est une carence en vitamine B1, comme on peut le voir dans l'alcoolisme chronique ("syndrome de Korsakoff").La maladie d'Alzheimer, qui se manifeste par une perte progressive des capacités mémorielles, commence par une diminution de volume du quart de l'hippocampe. Puis ce sont les neurones de la zone limbique (qui s'occupent de faire le lien entre

Définition C’est une psychose chronique qui débute à l’age jeune entre 15 et 30 ans ; caractériser par une désorganisation de la personnalité avec bouleversement des rapports affectifs intellectuels est social avec autrui et avec la réalité (le syndrome dissociatif). II) Description Clinique 1) Début : peut être Aigue : par un état dépressif ou bien une Bouffée délirante aigue parfois même par un état confusionnel. Un état d’excitation atypique (accès manique). Progressive : insidieux et progressif

personne ne recherche plus que son produit pour retrouver un état de bien être. Ce qu’elle veut par-dessus tout, c’est supprimer le malaise physique et psychique qui l’envahit, ne plus avoir mal. Le terme d’état de manque peut être remplacé par le syndrome de sevrage. Le sevrage, c’est la suppression du produit auquel la personne dépendante à l’alcool est habituée. L’état de manque alcoolique est un « délirium trémens »L’ingestion compulsive de trop grandes quantités d’alcool peut entraîner un coma

risque même des crises d’épilepsie. Le taux de mort neuronale augmente en présence régulière d’alcool et on assiste à une diminution du volume cérébral, en particulier du cortex préfrontal, causant des déficits cognitifs allant jusqu’au syndrome de Korsakoff qui se caractérise par des troubles de la mémoire, du raisonnement, du comportement et de l’humeur. (Pour des revues de la littérature, voir Nevo et Hamon, 1995 ; Fadda et Rossetti, 1998 ; Oscar-Berman et Marinkovic, 2007). CERVEAU

Social l’accompagne dans ses retraits, il a été convenu avec sa tutrice qu’il puisse retirer trois fois 20 euros par semaine. Cet accompagnement n’est pas sans difficultés, puisque Mr Albert de par sa consommation massive d’alcool souffre d’un syndrome de Korsakoff, pathologie agissant sur la mémoire. Puis nous voilà entré dans l’hiver 2005, Mr Bernard relativement mal vient tourner autour des capucins, il reprend contact avec Mr Albert. Ce dernier supporte de plus en plus mal de voir son ami souffrir