Syndrome inflammatoire

raideur des membres, des mouvements lents, rigides et saccadés Une perte de l’olfaction (odeur), des troubles du sommeil et constipation Une perte d’équilibre qui survient plus tard avec l’évolution de la maladie. Physiopathologie : Le syndrome parkinsonien est une maladie neurodégénérative qui mène à la destruction progressive des neurones du système nerveux central, notamment dans le cerveau. Au cours des premières années de la maladie, la destruction des neurones responsables de la production

exemple dans de nombreuses maladies génétiques rares. Elle peut encore se révéler postnatale, généralement à la suite d'une atteinte infectieuse du système nerveux central (méningites notamment) ou aussi à la suite d'un traumatisme crânien ou d'un syndrome épileptique sévère. Dans les années 70 les étiologies se répartissaient en : 40 % de cause inconnue 20 % de cause périnatale ou la souffrance à l'accouchement tenait une part importante 10 % de cause postnatale (méningite, encéphalite) 30

intellectuelles, une sensation de perdre le contrôle de ses pensées, des idées de suicide, un absentéisme à l’école. Le tableau clinique : 3 syndromes importants : Syndrome dissociatif Syndrome délirant Syndrome autistique ou déficitaire Quelle que soit la forme clinique il y aura toujours le syndrome dissociatif puis s’ajoute un des deux autres Le syndrome dissociatif : Ou désorganisation, c’est la perte de la cohésion et d’harmonie, c’est une rupture de l’unité psychique et physique. ;

d’insulte a/n du SNC CAUSES PRÉNATALES: Désordres génétiques 1. Abbérations chromosomiques: trisomie 21, trisomie13, syndrome du cri du chat 2. Microdélétions: Angelman’s, Prader-Willi, Williams, VCFS 3. Mutations monogéniques: scléreuse tubéreuse (autosomal dominant); phénylcétonurie, Tay-Sachs et la majorité des désordres métaboliques (autosomal récessif); X-fragile et syndrome Rett (X-liés) 4. Multifactoriels: familiaux (facteurs génétiques ou biologiques +/facteurs environnementaux et socioéconomiques)

UE2.6 LA SCHIZOPHRÈNIE Vient du grec : couper fendre la pensée. Il s'agit d'une psychose chronique comportant un syndrome dissociatif et un syndrome délirant. Cette pathologie modifie la personnalité d'une façon durable, profonde et importante. Cette maladie présente 2 versants : le versant déficitaire ou négatif avec d'une part le comportement autistique(repli sur soit) et une désorganisation de la pensée (la dissociation) le versant productif ou positif où le malade tente une reconstitution du

situationnels (événement), biologiques (prédisposition, tempérament), de personnalité ( ce qui se construit, comportements) | Troubles anxieux et névrotiques 1. Les aspects terminologiques | 2. Les syndromes anxio-phobiques | 3. Les syndromes obsessionnels-compulsifs | 4. Les syndromes hystériques | - Structure de la personne névrotique moi bien construit, sentiment d'appartenance propre. Maintien du contact avec la réalité et distinction ac les fantasmes - Symptômes : liés à

ancien maçon au chômage depuis 5 ans. Pas de sécurité sociale connue à ce jour. De plus, il est diabétique de type 2 et a une hypercholestérolémie. Au niveau de ses antécédants il présente un Angor depuis 10 ans, il y a 5 ans il a développé un syndrome coronarien aigüe ( SCA). Aucune allergie connue. Il présente également des antécédants chrirurgicaux, en effet il a eu une pose d'une endoprothése sur l'IVA. Histoire de la maladie : il fait des Angor depuis 10 ans. Il y a 5 ans il a fait

vais déduire une cause morbide) ----> syndromes (ensemble de symptômes) ----> maladie (symptômes+syndrome). Visée classificatoires (maladies) - Etiologies : comprendre les causes des maladies. 3 grands champs succeptible de nourrir des causes : ce qui concerne ----->la sphère biologique (corps), ----->l'environnement (éducation, lieu où on evolu), ----> la cause psychique (façon de fonctionner sur le plan psychique). - Thérapeutiques Signe -- syndrome -- maladie -- ethiologie -- taxinomie

s’observer dans de très nombreuses maladies organiques et psychiatriques. Quelle qu’en soit la cause, il peut conduire à la malnutrition et à ses complications sur la santé de la personne. En psychiatrie, l’anorexie est un des symptômes principaux du syndrome dépressif. En moyenne, une adolescente sur cent est anorexique L'anorexie touche 2 % des femmes. Ce refus de s'alimenter traduit un mal-être profond et peut avoir des conséquences dramatiques sur la santé. l’anorexie ne doit jamais être prise à

repos et de cycles d'entraînement à intensité variable. Les signes de surentraînement sont très individuels et subjectifs. Ils sont donc inconstants. Dès que l'un ou plusieurs de ces symptômes apparaissent, il faut alors penser à ce diagnostic. Le syndrome du surentraînement s'accompagne d'une dépression de la fonction immunitaire. L'athlète surentraîné est donc plus vulnérable aux infections. Les meilleurs indicateurs du surentraînement sont l'augmentation de la FC, de la consommation d'O2 et du taux