Les troubles Schizophréniques
= psychose dissociative
1% de la population de la France, on retrouve cette maladie dans toutes les cultures
Age de survenue entre 18 et 35 ans
Le début de la maladie se fait de façon insidieuse ou par un épisode de délire aigu.
On retient le concept de vulnérabilité (combinaison de plusieurs facteurs pour que la maladie se développe)
Parmi les malades schizo 20 à 25% d’entre eux vont guérir, 20 à 25% qui auront une forme grave, les 50% restant auront une évolution intermédiaire : des accès aigus et des périodes d’amélioration.
Les TSZ quels qu’ils soient sont toujours à l’origine d’une grande souffrance pour la personne et l’entourage.
Ils imposent des soins continus en suivi ambulatoire ou en hospitalisation.
Ces troubles entravent l’acquisition et le développement de l’autonomie personnelle. Quand les malades exercent une activité professionnelle, il est demandé un poste plus adapté car il y a une capacité diminuée.
Il existe une surmortalité chez la personne schizo, une tentative de suicide sur deux, la surmortalité peut être liée aux suicides mais aussi aux pathologies somatiques non traitées ou mal traitées.
Ils ressentent des changements étranges, pénibles de la perception de soi, ce qui va provoquer de l’inquiétude et de la perplexité.
Ce qui leur donne l’impression d’être sectateur de soi-même, une impression d’irréalité, la peur de devenir différent, la peur de perdre ses sentiments, de n’être plus humain.
La personne est préoccupée par des idées philosophiques, idées abstraites, phénomènes surnaturels, elle éprouve des sentiments d’anxiété, de dépression, de tensions internes, des troubles du sommeil, des difficultés intellectuelles, une sensation de perdre le contrôle de ses pensées, des idées de suicide, un absentéisme à l’école.
Le tableau clinique :
3 syndromes importants :
Syndrome dissociatif
Syndrome délirant
Syndrome autistique ou déficitaire
Quelle que soit la forme clinique il y aura