Synode

dialoguer un peu plus longuement. Il y eut, comme le rappela par la suite Ratzinger, « cette sympathie spontanée entre nous, et nous avons parlé (...) de ce que nous devrions faire, de la situation de l'Église »A 25. En 1980, il est rapporteur du ve synode des évêques, sur le thème : « Les missions de la famille chrétienne dans le monde d'aujourd'hui ».

Hincmar, archevêque de Reims, extrait du synode de Saint-Macre, 881. 1 Que la puissance royale et l'autorité pontificale sont distinctes. - En effet, l'une correspond à la fonction sacerdotale et l'autre au ministère royal, parce que, comme nous lisons dans les Saintes Ecritures, il y a deux dominations qui régissent ce monde : l'autorité sacrée des pontifes et la puissance royale. Seul en effet notre Seigneur Jésus-Christ a pu vraiment être roi et prêtre. Après son Incarnation, sa Résurrection

Névache les y massacrent sur ordre de l'archevêque d'Embrun, également inquisiteur compétent. Néammoins les vaudois ne sont pas complètement décimés, beaucoup se sont réfugiés à temps de l'autre côté de la frontière, en Savoie. En 1526, le synode des Vaudois décide d'envoyer deux délégués en Suisse et en Allemagne pour s'enquérir des nouvelles doctrines de Luther et de Zwingli. Ils reviennent avec leurs livres . D'autres émissaires sont envoyés en 1530 auprès des réformateurs de Neuchâtel

la faveur de votre Bonté nous a valu la confiance de vous le suggérer, nous espérons humblement que vous maintiendrez pour nous en tous points la réglementation de la constitution que naguère, à Paris, en votre présence, dans ce grand et universel synode des Gaules, vous avez prescrit d’établir d’après les règles des anciens canons. » Il est nécessaire d’observer qu’une confiance de l’Eglise envers le roi est vérifiée par sa manière d’administrer le royaume par exemple. Elle reconnaît ainsi la bonté

plus il est interdit « aux ministres » (l.15), aux dirigeants calvinistes, de se réunir en Synode (réunion religieuse, le premier en 1559). Enfin il est également interdit d'accueillir des étrangers lors de la pratique du culte protestant, et de tirer profit du culte (« lever deniers » l.15). On voit donc qu'avec cette déclaration, le roi interdit l'organisation religieuse des calvinistes, en empêchant les Synodes et de financer le culte, et qui l'interdit également la propagation du culte en la restreignant

l’archevêque de Rouen était son oncle. * Transfert de l’imperium aux dirigeants de l’Eglise,G.Duby s’appuie sur le conflit qui a eu lieu entre l’archevêque de Narbonne et Béranger,vicomte de Narbonne. Pour porter plainte, Béranger a du s’adresser à un synode épiscopal. Il accusait l’archevêque d’avoir laissé se détériorer les biens de l’Eglise comme la cathédrale. Fort conflit au sein de la même commune, témoigne de la prise de pouvoir de l’Eglise.

hiérarchie du clergé séculier (clergé au contact des fidèles) montre donc que le territoire est organisé et contrôlé par l'Église. Le contrôle des évêques par le pape se fait par l'intermédiaire des conciles tandis que les prêtres sont réunis en synodes. Au XI° et XII° siècles apparaissaient un certain nombre d'ordres (Cisterciens, Franciscains, Dominicains). Ils sont à la recherche d'un idéal de pureté. Ils forment le clergé régulier (soumis à une règle et vivant en communauté à l'écart du monde)

vivante et diverse Le clergé séculier. Le pape peut convoquer le concile, assemblée d'évêques réunie pour régler des problèmes importants, comme le concile de Latran IV à Rome en 1215. L'évêque peut rassembler les prêtres de son diocèse; c'est un synode, dont les décisions doivent ensuite être appliquées. Le clergé séculier. Vivant à l'écart du monde, priant pour le salut de tous, les moines se considèrent comme l'élite de l'Église. Cet idéal de perfection suscite plusieurs réformes, comme celle

appelé le plus souvent Tsar même si sa dénomination officielle est impierator (император), issu de la dynastie des Romanov. Le christianisme orthodoxe était la religion officielle de l'Empire, et était contrôlée par le souverain au travers du Saint Synode. Les sujets de l'Empire étaient séparés en classes comme les "dvoryanstvo" (noblesse), clergé, merchands, cosaques et paysans. Les sujets nés en Sibérie et en Asie Centrale étaient officiellement enregistrées comme "inorodtsy" (étrangers). En supplément

Souabe et la Thuringe, qu’il gouverna en souverain mais sans prendre le titre de roi. Allié de Pépin, il combattit les Aquitains, les Alamans, les bavarois, et les Saxons tout en soutenant énergiquement la réforme religieuse entreprit par Boniface (synode en 742 et 743). En 747, laissant Pépin seul maître, il renonça au monde et se fit moine, d’abord à Soracte puis au Mont-Cassin. Carloman : (751/771). Fils de Pépin le Bref et frère de Charlemagne, il devint roi des Francs à la mort de son père (768)