Syntaxe abstraite

valet transparaît : Langage qui reste fruste : Arlequin continue à fredonner sans paroles (début de la sc. 5), à jurer (" palsambleu " sc. 6), à utiliser un langage familier : " Oui Da " ( sc. 6) Fautes de langage qui demeurent : les fautes de syntaxe (" à cause que je suis le maître " (sc. 5), les pléonasmes : " quand je suis gai, je suis de bonne humeur " (sc. 5) ainsi que les termes inappropriés (" Friponne " qualifiant l’aristocrate Euphrosine, sc. 6) 2/Son naturel simple aussi :

La Ponctuation (exposé) La ponctuation est un ensemble de signes graphiques servant à ordonner le discours dans la langue écrite. Elle permet d’organiser et de présenter le texte, d’une part, et de faciliter la compréhension du texte, d’autre part. Elle complète le message transmis par les lettres et les mots en ajoutant d’autres informations, introduites grâce aux signes. Ces signes de ponctuation sont principalement au nombre de dix. Voyons maintenant les principales fonctions de la ponctuation

énumération de quatre adjectifs et noms apposés. Les vers 3 et 4 prolongent cet effet d’allongement par l’enjambement du vers 3 sur le vers 4 (Baudelaire affectionne l’effet d’amplitude obtenu en faisant déboucher un enjambement sur un vers à syntaxe énumérative régulièrement rythmé. Voir La Chevelure). En outre ils produisent un effet de balancement 3/3//3/3 qui imite la démarche élégante et étudiée de la passante : Une fem / me passa // d’une main / fastueuse Soulevant, / balançant //

caractéristiques de l'objet : fragilité et utilité paradoxe : conçu et construit pour être brisé, détruit; fragilité préméditée qui fait partie intégrante de l'objet disproportion dans la phrase dans sa construction : une syntaxe compliquée pour exposer la conception, une syntaxe simple pour évoquer sa destruction simple et rapide. Autre paradoxe : le contenant (le cageot) dure encore moins longtemps que le contenu. « fondantes », « nuageuses » mettent en évidence la fragilité et le côté éphémère

OUTILS D'ANALYSE | CITATIONS | INTERPRETATIONS | 1. Ton du texte : lyrique (émotions / sentiments) dramatique satirique philosophique | | | 2. Champs lexicaux et Niveau de langue | | | 3. Syntaxe : Construction des paragraphes Ponctuation Discours Énonciation Temps des verbes Rhétorique | | | 4. Figures de style | | | 5. Pour les poèmes, ajouter : Rime Rythme Vers Mètre Allitération

En quoi cette scène comique représente une tentative pour Trivelin d’influencer Arlequin ? I. Une scène comique 1) Une scène de confrontation - « savez-vous » (l.1) forme interrogative qui invite Arlequin à faire un choix + « que je vous propose » = subordonnée complétive qui montre bien que l’idée du mariage vient de Trivelin. - Interjections : « Bon ! »(l.2) qui marque le refus d’Arlequin + « Mais ! »(l.3) conjonction de coordination qui montre l’opposition + « Oh » (l.24) : Arlequin se moque

déséquilibre : le grand devient le petit : « terre/ un point », « vaste/ qu’une pointe », « imperceptible/ample » et « enfler/ atomes ».  Antithèse accentuée par le chiasme « trait imperceptible/ample sein » ( nom/épithète//épithète/nom)  La syntaxe : longue protase qui nous projette dans l’univers de l’intuition géométrique (vision dans l’espace) ; absence de connexions logiques, le sens suffit , l’asyndète traduit l’implacable progression. B – Le mouvement vers l’infiniment petit 2 paragraphes

| PRÉSENTATION &emdash; EXPRESSION | Lecture expressive du texte (débit, articulation, liaisons...) |    |    | Voix appropriée (volume, tonalité, articulation, rythme...) |   |   | Correction du registre de langue utilisé, grammaire, syntaxe |   |    | Précision du vocabulaire |    |    | Liberté prise vis-à-vis des notes |    |    | Expression spontanée des idées |     |    | Utilisation de procédés de style dans ton intervention |    |    | Motivation et conviction |    |

culturelles "v11:""scythe""(peuple de sauvage) v13:""Venus""" "Symbole de la barbarie Invitation à l'amour: Physionomie épicurienne" Conclusion: C'est une invitation qui est pretexte à un exposé presque philosophique sur l'amour. Les signes sont la syntaxe, le lexique, les rythmes et les rimes. Le Plaisir des jeux verbaux, plaisir d'ecrire va de pair avec celui des jeux amoureux.

jamais entendu parler auparavant, et ne me sentais pas particulièrement attirée par le titre et la couverture. Et pourtant, dès les premières phrases, Sorj Chalandon a su me prendre dans les mailles de son filet. Avec un vocabulaire dépouillé et une syntaxe apparemment simple, l'auteur réussit à faire naître des images aussi puissantes que poétiques. Sorj Chalandon économise les mots mais jamais les images. L'écriture, en ce sens, est le reflet des personnages qui composent l'histoire : des taiseux au